Lu dans la presse

PSA

Peugeot : négociations serrées sur la nouvelle gouvernance. L’Etat français, le chinois Dongfeng et la famille du constructeur automobile pourraient obtenir deux ou trois sièges chacun au conseil de surveillance. « Les négociations progressent, mais restent tendues », révèle Les Echos. D’autant que Dongfeng et Matignon souhaitent supprimer les droits de vote double, « chose que la famille et les administrateurs indépendants négocient âprement ». Quant au choix de la personnalité « capable de prendre la présidence de ce conseil hétéroclite et d’arbitrer les futures tensions », elle fait aussi débat, ajoute le quotidien, même si le nom de Louis Gallois revient avec insistance. Administrateur indépendant en lien avec l’Etat, « certains jugent que sa nomination donnerait l’image d’un contrôle rampant de PSA par l’Etat ».

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