Belvédère

Changement dans le tour de table de Belvédère. The Bank of New York Mellon a franchi en baisse différents seuils (des 2/3 à 5%) pour détenir désormais 25 actions représentant autant de droits de vote du groupe de spiritueux. Ces mouvements résultent de la réallocation, au profit des créanciers FRN, d’actions préalablement souscrites par la banque américaine, dans le cadre d’une augmentation de capital. L’établissement précise détenir également 25 bons de souscription d’actions (BSA), qui sont exerçables jusqu’au 21 janvier 2015 et pouvant donner droit, par exercice au prix de 2 euros par bon, à un maximum de 25 actions nouvelles Belvédère.

DBV

Sofinnova Partners réduit sa position dans DBV Technologies. Cette société de capital-risque, qui agit pour le compte du FCPR Sofinnova Capital V dont elle assure la gestion, a franchi en baisse le seuil de 25% pour détenir désormais 23,69% du capital de cet acteur spécialisé dans le diagnostic et le traitement des allergies. Sofinnova reste néanmoins le premier actionnaire devant InnoBio (13,3% du capital), le FSI (12,6%), ALK-Abello (6,1%), Lundbeckfund Ventures (5,8%), le management (4,8%) et Shire (4,3%). DBV Technologies a annoncé aujourd’hui un partenariat stratégique avec Stallergenes pour développer des traitements innovants contre les allergies respiratoires. A mi-séance, le titre cédait 2,8%, à 8,30 euros

Samse

CRH France Distribution monte dans le capital de Samse. Cette filiale du groupe d’origine irlandaise CRH Plc, coté à Londres, Francfort et Dublin, a franchi le seuil de 20% pour détenir 21,13% du capital et 23,06% des droits de vote de cette société indépendante de distribution de matériaux. CRH précise que ce mouvement ne résulte pas d’acquisition sur le marché, mais de la récupération des droits de vote double suite au reclassement intra-groupe de sa participation en 2011. Il n’acquerra des actions Samse qu’en cas « d’éventuelle opportunité significative » et déclare ne pas agir de concert avec un tiers. Enfin, il précise qu’il entend rester, comme il l’a été depuis près de 16 ans, un actionnaire de référence de Samse aux côtés de son actionnaire majoritaire [Dumont Investissement], sans en acquérir le contrôle.

Ymagis

BNP Paribas Private Equity monte dans le capital d’Ymagis. La société de gestion, qui agit pour le compte de fonds, a franchi le seuil de 5% pour détenir 5,13% du capital et 3,19% des droits de vote de ce spécialiste des technologies numériques pour l’industrie du cinéma. A noter que ce mouvement ne résulte pas d’achats en Bourse, mais de la souscription à l’augmentation de capital d’Ymagis au prix de 7,65 euros, à l’occasion de son introduction au compartiment C d’Euronext Paris.

GDF Suez

Albert Frère cède 2,7% du capital de GDF Suez. Groupe Bruxelles Lambert a vendu 65 millions d’actions GDF Suez, détenues par sa filiale à 100 % GBL Verwaltung, représentant 8 % des actifs de GBL. Le placement, dirigé par BofA Merrill Lynch et Société Générale Corporate & Investment Banking, a permis de dégager un produit net de 1 milliard. A l’issue de l’opération, GBL conserve 2,4% du capital, représentant pour l’essentiel les actions sous-jacentes à l’obligation échangeable de 1 milliard émise en janvier 2013. A mi-séance, GDF Suez abandonne 2,5%, à 16,31 euros.

Teleperformance

International Value Advisers réduit sa position dans Teleperformance. Cette société américaine, basée à New York, qui agit pour le compte de clients et de fonds sous gestion, a franchi en baisse le seuil de 10% pour détenir désormais 5,18% du groupe spécialisé notamment dans la gestion de la relation client. Après la clôture, Teleperformance publiera son chiffre d’affaires du 1er trimestre 2013. En attendant, la valeur reste stable à mi-séance, à 33,93 euros, en hausse de 24% depuis le 1er janvier.

Stentys

SEP III réduit sa position dans Stentys. Cette société de gestion de droit écossais, basée à Glasgow, vient de franchir en baisse le seuil de 5% pour détenir 4,70% du capital et des droits de vote du spécialiste des stents dédiés au traitement des maladies cardiovasculaires. Au 1er trimestre 2013, le chiffre d’affaires de la société a progressé de 47%, à 725 000 euros. Stentys déclare poursuivre son expansion au-delà de l’Europe, en établissant des partenariats avec des distributeurs spécialisés qui reconnaissent le marquage CE. Prochain rendez-vous : l’assemblée générale mixte, qui aura lieu le 15 mai prochain. En attendant, la valeur progresse de 2,2%, à mi-séance, à 10,19 euros, en baisse de 20,6% depuis le début de l’année.

Bouygues

Le FCPE Groupe Bouygues réduit sa participation. Le fonds commun de placement d’entreprise, géré par Amundi, a franchi en baisse le seuil de 5% pour détenir 4,99% du capital et 6,67% des droits de vote du groupe de construction et de télécoms-médias. Néanmoins, les salariés détiennent toujours dans leur ensemble près d’un quart du capital derrière la SDCM, holding contrôlé par Martin et Olivier Bouygues, qui dispose de 20,5% des actions et de 29,2% des droits de vote. Le groupe tiendra son assemblée générale, jeudi 25 avril, au siège de la société, à 15 h 30. En attendant, l’action accuse un repli de 6,3%, à 21 euros, depuis le début de l’année.

PPR

Baillie Gifford & Co augmente sa position dans PPR. Cette société mère d’un « investment management group », domiciliée à Edimbourg, a franchi en baisse le seuil de 5% pour détenir désormais 5,04% du capital et 3,60% des droits de vote du groupe de distribution et de produits de luxe. Ce franchissement ne résulte pas d’un quelconque ramassage, mais de la conclusion d’un mandat de gestion discrétionnaire portant sur des actions PPR. Le groupe dirigé par François-Henri Pinault vient de préciser les modalités d’introduction en Bourse de Groupe Fnac, qui prendra la forme d’une distribution aux actionnaires de Kering (nouveau nom de PPR sous réserve de l’approbation de l’assemblée générale du 18 juin prochain). Pour plus de détails : http://www.kering.com/sites/default/files/press_release/cp_kering_spin-off_fnac_fr_17_04_13.pdf


Stentys

Capital Ventures International sort du capital de Stentys. Cette société, domiciliée aux Iles Caïmans et contrôlée par Susquehanna International, a franchi en baisse le seuil de 5% et ne détient plus aucune action du spécialiste des stents dédiés au traitement des maladies cardiovasculaires. Ce franchissement résulte de l’expiration d’une option d’achat portant sur 600 000 actions, laquelle est arrivée à échéance le 10 avril 2013. Au cours de 9,86 euros, Stentys accuse une baisse de 23,1% depuis le début de l’année et de 17,8% sur son prix d’introduction sur Nyse Euronext, fin 2010.

Inside Secure

Invesco réduit sa position dans Inside Secure. La société de gestion américaine, basée à Atlanta, a franchi en baisse le seuil de 5% pour détenir 4,87% du capital et des droits de vote de cette société spécialisée dans les semi-conducteurs et les solutions logicielles dédiés notamment à la sécurité des transactions. En 2012, Inside Secure a souffert des difficultés brutales de plusieurs de ses principaux clients de la division mobile NFC, affaiblis par les mutations du secteur. La perte nette s’est creusée à 30,3 millions de dollars, contre 14,6 millions en 2011, pour un chiffre d’affaires de 122 millions. Logiquement, la valeur accuse une baisse de 8,2% depuis le début de l’année, à 2,59 euros. Prochain rendez-vous, le 25 avril 2013 (avant Bourse), avec la publication du chiffre d’affaires du 1er trimestre 2013.

FPF

PHRV réduit sa position dans Foncière Paris France (FPF). Cette société détenue par Allianz, Covéa et Cofitem-Cofimur a franchi en baisse le seuil du tiers du capital pour détenir désormais 30,43%. Néanmoins, le concert, formé par PHRV, Cofitem-Cofimur et Foncière des 6ème et 7ème arrondissements de Paris, n’a franchi aucun seuil et contrôle 53,65% des actions. Rappelons que Cofitem-Cofimu va absorber FPF d’ici la fin 2013. Cette opération a pour but de former une SIIC spécialisée sur le marché de bureaux à Paris et dans sa proche périphérie. La parité pourrait se situer entre 1,15 et 1,4 action Cofitem-Cofimur pour une action Foncière Paris France.

Imerys

Belgian Securities franchit les deux tiers des droits de vote d’Imerys. Cette société de droit néerlandais, domiciliée à Amsterdam, contrôlée par Partjointco, elle-même contrôlée par les familles Desmarais et Frère, détient désormais 72,07% des droits de vote (pour 56,74% des actions) du leader mondial des spécialités minérales pour l’industrie. Ce franchissement ne résulte pas d’une acquisition en Bourse, mais  d’une attribution de droits de vote double. A 50,07 euros, l’action gagne 3,9% depuis le début de l’année. Prochain rendez-vous : le 25 avril pour l’assemblée générale.

Montupet

La Financière de l’Echiquier réduit sa position dans Montupet. Cette société de gestion indépendante a franchi en baisse le seuil de 5% pour détenir 4,87% du capital et 3,60% des droits de vote de l’équipementier automobile. Pour l’exercice 2012, Montupet a publié un bénéfice net après impôt de 29,2 millions d’euros contre 8,5 millions en 2011, exercice affecté par les pertes exceptionnelles liées à la Fonderie du Poitou Aluminium, laquelle ne fait plus partie du groupe depuis avril 2012. Le conseil d’administration proposera à la prochaine assemblée générale le versement d’un dividende de 0,60 euro par action, soit 4,3% du cours actuel (13,84 euros).

Belvédère

Une Sicav de Petercam réduit sa position dans Belvédère. Petercam L Fund, sicav à compartiments multiples de droit luxembourgeois, a franchi en baisse le seuil de 5% pour détenir désormais 4,72% des actions et 4,51% des droits de vote du groupe de spiritueux. Ce dernier enregistre une perte nette part du groupe de 117,8 millions d’euros en 2012 contre un déficit de 54,6 millions en 2011. Comme l’explique la société, « la bonne performance de la Pologne n’a pas permis de compenser le recul de l’activité en France, les pertes opérationnelles de Belvédère et la mise en sommeil des projets de développement, conséquences des procédures judiciaires en cours ». A 16,20 euros, l’action dévisse de 55% depuis le début de l’année.

PagesJaunes

L’actionnariat de PagesJaunes Groupe sensiblement modifié. Dans le cadre des opérations de restructuration financière, Mediannuaire Holding (MDH) a franchi en baisse le seuil de 50% pour détenir désormais 18,49% du capital du 1er éditeur français d’annuaires. En sens inverse, Promontoria Holding, contrôlé par Cerberus Capital Management, a franchi en hausse le seuil de 15% pour détenir le même niveau de participation, soit 18,49%. Cette dernière a également souscrit à une augmentation de capital de MDH lui permettant de contrôler 74,94% du capital, le solde étant détenu par des fonds gérés par Goldman Sachs ou KKR. Les parties se sont engagées à ne prendre aucune mesure obligeant MDH à lancer une OPA sur PagesJaunes. Cette interdiction ne s’applique toutefois pas à Promontoria dès lors qu’elle aurait au préalable permis à KKR ou Goldman Sachs de sortir du capital de MDH.

Havas

Bolloré à 36,81% dans Havas. Suite à divers mouvements, les sociétés de Vincent Bolloré détiennent désormais 36,81% du groupe de conseil en communication en date du 2 avril, contre 36,79% au 28 mars (suite à la réduction de capital consécutive à l’Opra). Cette participation est répartie de la manière suivante : 29,39% pour la Financière de Sainte-Marine, 7,42% pour Bolloré SA et un pourcentage négligeable (5 000 titres) directement par l’homme d’affaires. A mi-séance, Havas cède 6%, à 4,87 euros, mais conserve une avance de 16,8% depuis le début de l’année.

Safran

L’Etat français écrit à l’Autorité des Marchés Financiers. Dans un courrier reçu aujourd’hui par l’AMF, l’Etat officialise le franchissement à la baisse du seuil de 30% du capital de l’équipementier aéronautique Safran, intervenu le 27 mars 2013, et détenir désormais 112,94 millions d’actions, soit 27,08% du capital et 26,43% des droits de vote. Comme il est précisé, ce mouvement a résulté d’une cession d’actions hors marché via un contrat de placement garanti par voie d’accelerated book building.

Belvédère

Equis Gestion réduit sa position dans Belvédère. Cette société a franchi en baisse le seuil de 5% et ne détient plus que 0,19% du groupe de spiritueux. Ce mouvement ne résulte pas d’une cession en Bourse, mais de la remise d’actions au profit des bénéficiaires du contrat de fiducie-gestion signé le 4 février 2013. Rappelons que, par un jugement en date du 19 mars 2013, le Tribunal de Commerce de Dijon a approuvé le plan de redressement de la société, Celui-ci prévoit notamment le remboursement de la dette FRN au moyen d’une conversion de celle-ci au capital de Belvédère représentant, à l’issue de la conversion, 87% du capital social. A mi-séance, l’action chute de 7%, à 19,11 euros, en baisse de 47% depuis le début de l’année.

Havas

Bolloré à 36,65% dans Havas. Suite à divers mouvements, les sociétés de Vincent Bolloré détiennent désormais 36,65% du groupe de conseil en communication en date du 26 mars, contre 37,05% au 20 décembre (suite à la réduction de capital consécutive à l’Opra). Cette participation est répartie de la manière suivante : 29,39% pour la Financière de Sainte-Marine, 7,26% pour Bolloré SA et un pourcentage négligeable (5 000 titres) directement par l’homme d’affaires. A mi-séance, Havas cède 1%, à 4,85 euros, mais conserve une avance de 16,3% depuis le début de l’année.

Safran

L’Etat français réduit sa position dans Safran. Au terme d’un placement privé, 13 millions d’actions, représentant 3,12% du capital, ont été cédées à des institutionnels. Le produit (448,5 millions d’euros) servira à financer de nouveaux investissements productifs via notamment des dotations en fonds propres de la Banque Publique d’Investissement (BPI). L’Etat restera le premier actionnaire de Safran, avec 27,08% de son capital, assure Bercy, ce qui lui permettra de maintenir son influence au sein des organes de gouvernance. Il entend par ailleurs demeurer actionnaire de référence à moyen terme. A mi-séance, l’action perdait 2,8%, à 34,50 euros.

Lectra

Delta Lloyd Asset Management réduit son exposition dans Lectra. Cette société de gestion, domiciliée à Amsterdam, a franchi en baisse le seuil de 15% du capital pour détenir désormais 14,97% du spécialiste en solutions destinées à l’industrie du textile. Rappelons que Lectra a reçu le 7 mars dernier le paiement de l’intégralité du solde de 11,1 millions d’euros restant dû par El Corte Inglés, suite à la décision rendue le 28 janvier 2013 par la Cour d’Appel de Madrid. Ce paiement, qui sera enregistré dans les comptes du premier trimestre 2013, a mis un terme final à huit années de procédure, depuis la demande d’arbitrage initiée par Lectra en 2005.

Quantel

Alto Invest réduit sa position dans Quantel. Cette société, qui agit pour le compte de fonds dont elle assure la gestion, a franchi en baisse le seuil de 10% pour détenir 9,99% des actions et 8,89% des droits de vote de ce spécialiste des lasers à solide. Comme l’a annoncé la direction, Quantel doit prochainement lancer une offre d’échange sur ses Oceanes. Les conditions des nouveaux titres (Oceanes 2) seront identiques à l’exception du taux d’intérêt servi annuellement (6%) et du droit de conversion et/ou d’échange qui pourra notamment s’effectuer à compter du 1er décembre 2014, à raison de 26 actions Quantel pour 5 Oceanes 2.

PPR

Baillie Gifford & Co réduit sa position dans PPR. Suite à un transfert de titres, cette société mère d’un « investment management group », domiciliée à Edimbourg, a franchi en baisse le seuil de 5% pour détenir désormais 4,98% du capital et 3,56% des droits de vote du groupe de distribution et de produits de luxe. A noter que PPR pourrait bientôt changer de nom en adoptant celui de « kering », qui évoque l’idée de « prendre soin » (caring), pour « signaler un nouveau chapitre dans le développement du groupe », comme l’a précisé récemment Bloomberg.

Foncière Paris Nord

Jean-François Ott reclasse ses actions Foncière Paris Nord. Cet actionnaire de référence, président d’Orco Property Group, a cédé des titres au profit de sociétés qu’il contrôle. Désormais, il détient 6,14% de Foncière Paris Nord, via Vendomia Enterprises Company Limited (4,99%), domiciliée à Chypre, et Ott Properties (1,15%), basée au Grand-Duché de Luxembourg. Foncière Paris Nord détient 3 immeubles dans le centre d’affaires Paris-Nord pour une surface totale de 48 587 m2.

Alten

Simon Azoulay réduit sa participation dans Alten. Le PDG de ce spécialiste de l’ingénierie et du conseil en technologies a franchi en baisse le seuil de 25% du capital, via les sociétés SGTI et SGTI2 qu’il contrôle. Avec 24,85% des actions et 35,89% des droits de vote, il reste toutefois le premier actionnaire. A cette occasion, il a précisé qu’il détenait 150 000 bons de souscription d’action, exerçables à tout moment du 7 septembre 2013 au 7 septembre 2017, chaque bon pouvant donner droit, par exercice au prix de 15,85 €, à une action nouvelle Alten. A 32,39 euros, la valeur conserve une avance de 23,9% depuis le début de l’année.

Stentys

Stentys : son président vend des titres. Jacques Séguin, président du conseil d’administration, a franchi en baisse le seuil de 5% pour détenir désormais 3,26% du spécialiste des stents pour crise cardiaque. Cette cession a été réalisée notamment par sa société Tavernier Ventures Corp., domiciliée dans les Iles Vierges Britanniques. A cette occasion, Jacques Séguin précise qu’il détient près de 1,5 million de bons de souscription (BSPCE), dont les échéances vont du 31 juillet 2016 au 19 novembre 2020, à des prix d’exercice de 0,81 euro, 1,38 euro et 12 euros par bon.

Safran

Safran cède une partie de sa participation dans Ingenico. Sa filiale Morpho a cédé, via un placement privé, 12,57 % du capital du fournisseur de solutions de paiement au prix de 43,45 euros par action, soit un montant total de 286,8 millions d’euros. Ce qui ramène sa participation à 10,2% des actions et environ 17% des droits de vote. Safran est devenu actionnaire d’Ingenico en 2008, par voie d’augmentation de capital en rémunération de l’apport de ses activités de terminaux de paiement (Sagem Monetel) et sur la base d’une valorisation dans les comptes consolidés de 19,23 euros par action. Safran compte néanmoins demeurer un actionnaire significatif d’Ingenico.

DMS

Boussard & Gavaudan réduit sa position dans Diagnostic Medical Systems. Cette société de droit britannique, qui agit pour le compte du fonds B&G Master Fund, a franchi en baisse le seuil de 15% pour détenir 14,78% de ce spécialiste des systèmes d’imagerie dédiés à la radiologie. A l’occasion de l’European Congress of Radiology, DMS a annoncé la présentation de la 1ère solution de reconstruction 3D à partir d’images réalisées par un ostéodensitomètre DXA. Cette innovation technologique vise à améliorer le diagnostic de l’ostéoporose, et plus largement de l’ensemble des pathologies osseuses. L’action gagne 4% depuis le début de l’année.

GFI

La Société Générale monte dans le capital de GFI Informatique. La banque au logo rouge et noir a franchi le seuil de 5% pour détenir 6,09% de cet acteur européen des services informatiques. Pour 2012, GFI a vu sa marge opérationnelle progresser de 16%, à 39,8 millions d’euros, pour un chiffre d’affaires en croissance de 8%, à 667,3 millions. Le groupe reste prudent sur l’exercice 2013. « Cependant, l’activité commerciale demeurant très soutenue, GFI Informatique vise une croissance de son activité et une amélioration de sa profitabilité en 2013 », comme l’a annoncé la direction. Prochain rendez-vous : le 25 avril, avec la publication du chiffre d’affaires du 1er trimestre 2013. En attendant, le titre gagne 17% depuis le début de l’année.

IGE+XAO

L’IRDI flirte avec les 30% dans IGE+XAO. Cette société de participations opérant dans le Grand Sud Ouest a d’abord franchi en hausse le seuil de 30% des droits de vote suite à une annulation de titres. Puis, à la faveur d’une cession de 40 000 actions hors marché, elle a refranchi en baisse ce seuil, pour détenir désormais 20,07% du capital et 28,05% des droits de vote de cet éditeur de logiciels de CAO. A 40 euros, l’action IGE+XAO est en baisse de 3% depuis le début de l’année.

Lacroix

Salvepar est sorti du capital de Lacroix. Cette société de capital investissement a vendu l’intégralité de sa participation pour 2,1 millions d’euros et ne détient plus aucun titre du groupe spécialisé dans les produits en signalisation routière. Pour mémoire, du 13 au 28 décembre, Salvepar a fait l’objet d’une OPA simplifiée de la part de Tikehau Participations & Investissements au prix de 86,24 € par action. Tikehau détient désormais 92,18% du capital et s’emploie à redynamiser le portefeuille de sa filiale, avec la cession de ses intérêts dans Lacroix, Touax, GL Events et STEF.

Bleecker

RGI Investissements conforte sa position de premier actionnaire de Bleecker. Cette société de droit luxembourgeois détient désormais 21,09% des actions et des droits de vote de cette foncière spécialisée dans l’immobilier d’entreprise. Toutefois, le franchissement du seuil de 20% ne résulte pas d’acquisitions sur le marché, mais de l’annulation de 63 000 actions autodétenues par Bleecker. Du reste, RGI n’envisage pas d’achats en Bourse, ni de prendre le contrôle de la société. A 51 euros, le titre est bien orienté, s’adjugeant 24,4% depuis le début de l’année.

Alten

Fidelity réduit sa position dans Alten. Le géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en baisse le seuil de 5 % des droits de vote de ce leader européen de l’ingénierie et du conseil en technologies. Avec 5,98% des actions et 4,95% des droits de vote, il reste toutefois le deuxième actionnaire derrière le PDG de la société, Simon Azoulay, et le holding SGTI qu’il contrôle (soit 31,7%). Les résultats 2012 seront communiqués demain avant l’ouverture de la séance. L’an dernier, le chiffre d’affaires a progressé de 12%, à 1 198 millions d’euros (+8,7% à périmètre et change constants). L’action gagne 18,6% depuis le début de cette année.

Rexel

Ray Investment réduit son contrôle dans Rexel. La société a franchi en baisse les seuils de 50% pour détenir désormais 43,29% du capital et des droits de vote de ce leader de la distribution de matériel électrique. Ce mouvement résulte d’une cession de 40 000 000 actions au profit d’institutionnels dans le cadre de la procédure de la constitution d’un livre d’ordre, dont le règlement est intervenu le 19 février 2013.

Akka

Fidelity réduit sa position dans Akka Technologies. Le géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en baisse le seuil de 5 % des droits de vote du groupe spécialisé dans l’ingénierie et le conseil en technologies. Avec 6,82% des actions et 4,91% des droits de vote, il reste le deuxième actionnaire derrière le groupe familial Ricci qui contrôle 57,3% du capital (avec Idéactive Events) et 71,4% des droits de vote. En 2012, le chiffre d’affaires d’Akka a bondi de 74,5%, à 827 millions d’euros, en raison principalement de l’intégration de MBtech.

Rexel

BlackRock monte dans le capital de Rexel. La société d’investissement américaine qui siège à New York a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 6,27% du capital et des droits de vote de ce leader de la distribution de matériel électrique. Le même jour, Eurazeo a annoncé la cession par Ray Investment de 14,7% du capital de Rexel, pour un montant d’environ 640 millions d’euros dans le cadre d’un placement accéléré auprès d’investisseurs institutionnels. De ce fait, la participation indirecte d’Eurazeo dans le capital de Rexel a été ramenée de 17,9%, à 12,7%. L’action est bien orientée avec un gain de 14,6% depuis le début de l’année.

Salvepar

Salvepar est sorti du capital de Touax. Cette société de capital investissement a franchi en baisse le seuil de 5% et ne détient plus aucun titre du groupe spécialisé dans les conteneurs maritimes, les constructions modulaires et les barges fluviales. A l’inverse, le holding belge Sofina a franchi récemment le seuil de 20% pour détenir 23,22% de Touax. Pour mémoire, du 13 au 28 décembre, Salvepar a fait l’objet d’une OPA simplifiée de la part de Tikehau Participations & Investissements, au prix de 86,24 € par action. Tikehau détient désormais 92,18% du capital et s’emploie désormais à redynamiser le portefeuille de sa filiale. Cela s’est traduit pour le moment par la cession de ses intérêts dans Touax, mais aussi dans GL Events et STEF.

Robertet

First Eagle Investment réduit sa position dans Robertet. Cette société de gestion, basée à New York, vient de passer sous le seuil de 25% pour détenir 24,49% du capital et 19,49% des droits de vote de ce spécialiste des produits aromatiques. First Eagle reste toutefois le deuxième actionnaire derrière la famille Maubert qui contrôle 51% du capital et 60,34% des droits de vote. A la mi-janvier, la société a publié un chiffre d’affaires 2012 en hausse de 6%, à 395,6 millions d’euros. L’action Robertet gagne le même pourcentage (6,3%) depuis le début de l’année.

Akka

Fidelity monte dans Akka Technologies. Ce géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en hausse le seuil de 5 % des droits de vote du groupe spécialisé dans l’ingénierie et le conseil en technologies. Avec 7,05% du capital, il est le deuxième actionnaire derrière le groupe familial Ricci qui contrôle 57,3% du capital (avec Idéactive Events) et 71,4% des droits de vote. En 2012, le chiffre d’affaires d’Akka a bondi de 74,5%, à 827,2 millions d’euros, en raison principalement de l’intégration de MBtech. « La rentabilité opérationnelle de 2012, sera comme annoncé, supérieure à 7% », assure la direction. Rendez-vous le 2 avril.

Radiall

Le holding Orfim réduit sa position dans Radiall. Cette société, contrôlée par Sébastien Picciotto (301ème fortune de France selon Challenges), a franchi en baisse le seuil de 5% pour détenir désormais 4,99% du capital et 2,67% des droits de vote du fabricant de composants électroniques. Rappelons que le Tribunal de Commerce de Paris a refusé, le 14 décembre 2012, de faire droit à la demande de Radiall d’obtenir une radiation justifiée par la faiblesse son flottant. Le groupe dirigé par Pierre Gattaz a fait appel de cette décision, afin de poursuivre et de mener à bien cette démarche, engagée il y a trois ans avec le dépôt de son OPRA en janvier 2010.

Cegereal2

Debioholding a pris un ticket dans Cegereal. Cette société de droit suisse a franchi en hausse le seuil de 5 % pour détenir 7 % du capital de cette foncière, spécialisée dans l’immobilier de bureaux en Ile-de-France. Ce mouvement résulte toutefois de la cession réalisée par Rolland-Yves Mauvernay, fondateur de Debiopharm, au profit de Debioholding qu’il contrôle. A ce titre, il n’a donc franchi aucun seuil, détenant dorénavant indirectement sa participation au lieu de la détenir directement.

Cegereal

Debioholding a pris un ticket dans Cegereal. Cette société de droit suisse a franchi en hausse le seuil de 5 % pour détenir 7 % du capital de cette foncière, spécialisée dans l’immobilier de bureaux en Ile-de-France. Ce mouvement résulte toutefois de la cession réalisée par Rolland-Yves Mauvernay, fondateur de Debiopharm, au profit de Debioholding qu’il contrôle. A ce titre, il n’a donc franchi aucun seuil, détenant dorénavant indirectement sa participation au lieu de la détenir directement.

Technicolor

p style= »text-align: justify; »>West Face Capital réduit sa position dans Technicolor. Cette société de gestion de droit canadien, située à Toronto, a franchi en baisse le seuil de 5 % du capital pour détenir désormais 3,99 % des actions et des droits de vote du groupe technologique. L’action a, il est vrai, bondi récemment pour s’échanger aujourd’hui à 2,42 euros, en progression de 27 % depuis le début de l’année. Technicolor a lancé une plateforme logicielle, baptisée Qeo, permettant d’interconnecter les terminaux et les applications, quelles que soient leurs marques. Elle a signé aussi un accord avec Teletoon Canada pour le développement d’une série d’animation humoristique pour la télévision.

Accor

Le Fonds stratégique d’investissement réduit ses intérêts dans Accor. Ce fonds souverain à la française, contrôlé par la Caisse des dépôts et consignations, a franchi en baisse le seuil de 5% des droits de vote du groupe hôtelier et détenir 2,98% du capital et 4,77% des droits de vote. Au total, la CDC détient désormais, directement et indirectement, via le FSI, 3,19% du capital et 4,94% des droits de vote d’Accor.

Altamir

Red Rocks Capital a pris un ticket dans Altamir Amboise. Cette société de gestion, située près de Denver dans le Colorado et contrôlée par Adam Goldman et Mark Sunderhus, a franchi le seuil de 5 % pour détenir 5,05 % du capital. Au 30 septembre 2012, l’actif net réévalué d’Altamir-Amboise s’élevait à 12,79 euros par action,  en progression de 3,9% par rapport au 30 juin. La raison ? La hausse des cours des sociétés cotées du portefeuille (Altran Technologies, GFI Informatique, Séchilienne-Sidec). Rappelons qu’au 30 septembre, seules les sociétés cotées sont réévaluées en fonction de leur cours de Bourse, la réévaluation des sociétés non cotées intervenant au 30 juin et au 31 décembre. Les comptes annuels et l’ANR au 31 décembre 2012 seront publiés le 7 mars prochain. A mi-séance, l’action s’échangeait à 7,9 euros.

BlackRock

BlackRock a pris un ticket dans la Société Générale. La société d’investissement américaine qui siège à New York a franchi en hausse le seuil de 5 % du capital de la banque au logo rouge et noir pour le compte de clients et de fonds sous gestion. A noter que le gestionnaire dispose du pouvoir discrétionnaire d’exercer les droits de vote attachés aux titres détenus, sauf demande expresse de clients. En sens inverse, la société de droit belge NeoGema, contrôlée par Philippe Austruy, a franchi en baisse le seuil de 5 % du capital d’Orpea et ne détient désormais plus aucun titre de ce spécialiste de la prise en charge globale de la dépendance.

Biscuits Gardeil

La Financière de l’Echiquier est sortie du capital de Biscuits Gardeil. Cette société de gestion indépendante, située avenue d’Iéna, à Paris, a franchi en baisse les seuils de 5 % du capital et des droits de vote et ne détient désormais plus aucun titre. La Financière de l’Echiquier avait franchi en hausse ce seuil de 5 %, le 8 décembre 2005. A cette date, le fabricant de biscuits (Le Boudoir, le Mousse d’Or…) s’échangeait à 13,05 euros. Le 17 janvier 2013, date de sortie de la société, il valait 14,41 euros. Biscuits Gardeil, contrôlé à hauteur de 90,4 % par Unichips International, prépare une opération financière qui sera annoncée par voie de presse. Elle a d’ores et déjà demandé à NYSE Euronext de suspendre la cotation du titre à partir d’aujourd’hui.