CGG-Veritas

Amundi monte dans le capital de CGG-Veritas. Le groupe, qui agit pour le compte de fonds sous gestion, a franchi en hausse le seuil de 5% du groupe spécialisé dans les prestations géophysiques. Le 3 mai, CGG-Veritas a annoncé ses résultats consolidés, non audités, pour le premier trimestre 2013, avec un EBIT à 162 millions de dollars incluant un élément positif non-récurrent de 35 millions. « Pour l’année 2013, les perspectives de marché restent bien orientées », a indiqué Jean-Georges Malcor, son directeur général. « Nous confirmons nos objectifs de croissance du chiffre d’affaires de 25%, d’amélioration de la marge d’EBIT, de génération de cash-flow libre positif et d’augmentation du rendement des capitaux employés ». A 18,16 euros, à mi-séance, la valeur accuse un retard de 11% depuis le début de l’année.

Hubwoo

John Harald Gedda monte dans le capital de Hubwoo. Cet investisseur a poursuivi ses achats pour détenir 25,14% du capital et des droits de vote du leader mondial de solutions de réseau d’entreprises collaboratif. John Harald Gedda conforte ainsi sa position de premier actionnaire devant la Compagnie Financière de la Bred (13,25%). Il envisage de poursuivre ses acquisitions, mais sans prendre le contrôle de Hubwoo, ni solliciter de siège au conseil d’administration. A mi-séance, l’action gagne 5%, à 0,21 euro, en hausse de 23,5% depuis le 1er janvier, malgré une perte nette qui s’est creusée à 2,7 millions en 2012 pour un chiffre d’affaires de 33,4 millions (-8%).

Riber

Isabelle et Bernard Raboutet montent dans le capital de Riber. Suite à l’achat de titres par la société ISA Finances qu’ils contrôlent, ces actionnaires ont franchi en hausse le seuil de 15% et détiennent, directement et indirectement, 15,02% du fabricant de systèmes d’épitaxie par jets moléculaires. M. et Mme Raboutet n’excluent pas de poursuivre leurs achats, en fonction de leurs disponibilités, de l’évolution de la société et des conditions de marché, mais ils n’envisagent pas de franchir les seuils de 30%. Rappelons que Bernard Raboutet a démissionné du conseil de surveillance au 5 février 2013. A 2,94 euros, l’action garde une avance de 5,4% depuis le 1er janvier.

Sical

Sical, le marché dans l’attente d’une OPR. A la faveur d’acquisitions hors marché, Bernard Rossmann, président du groupe d’emballage qui porte son nom, détient désormais, notamment via ses sociétés Sofpo et Celta, 94,53% du capital et 95,36% des droits de vote de Sical. La société, qui a été introduite au second marché en 1998, avant d’être transférée sur Alternext en juin 2010, est donc susceptible de faire l’objet d’une offre publique de retrait. Seule certitude : le 12 avril dernier, le bloc de 32 000 actions a été acquis par Celta au prix unitaire de 20 euros. Par rapport au dernier cours (15 euros), cette éventualité pourrait donc donner lieu à une prime de 33%.

IGE + XAO

Amiral Gestion monte dans le capital de IGE+XAO. La société de gestion, contrôlée par François Badelon, a franchi en hausse le seul de 5% pour détenir 9,07% du capital et 6,34% des droits de vote de cet éditeur de logiciels de conception assistée par ordinateur. Sur le 1er semestre 2012/2013, clos au 31 janvier, le chiffre d’affaires consolidé a progressé de 4,9% pour atteindre 11,8 millions d’euros. La raison : une forte dynamique de son activité Grands Comptes couplée à la bonne tenue de son activité à l’international, notamment en Europe du Nord. Le résultat net, qui s’établit à 2,26 millions (soit une marge nette de 19,2%), est comparable à celui du 1er semestre, du fait d’un crédit d’impôt sur une filiale étrangère.

Pernod Ricard

The Capital Group Companies monte dans Pernod Ricard. Cette société de gestion basée à Los Angeles, qui agit en tant qu’« investment adviser », a franchi le seuil de 10% pour détenir désormais 10,98% du capital et 10,04% des droits de vote. Comme le précise son courrier à l’AMF, elle n’agit pas de concert avec un tiers et n’a pas l’intention de prendre le contrôle de Pernod Ricard, ni de demander sa nomination ou celle d’une ou plusieurs personnes comme administrateur.

April

Fidelity renforce sa position dans April. Le géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en hausse le seuil de 5 % des droits de vote de ce spécialiste des produits d’assurances, il conforte ainsi sa position de deuxième actionnaire derrière Evolem (société contrôlée par Bruno Rousset, PDG d’April), qui contrôle 63,61% du capital et 76,94% des droits de vote. L’assemblée générale mixte se réunira, le 18 avril prochain, à 11 heures, au siège social : Immeuble Aprilium, 114 boulevard Marius Vivier-Merle, 69003 Lyon. En attendant, à 11,75 euros, l’action est à la peine, avec un recul de 21,9% depuis le début de l’année.

Cegid

Michel Baulé monte dans le capital de Cegid. Par l’intermédiaire de son holding Eximium, cet entrepreneur détient 5,05% du premier éditeur français de logiciels de gestion. Après avoir accusé l’an dernier une baisse de 22,2% de son résultat net part du groupe, Cegid souhaite tirer parti de ses atouts, notamment son positionnement pour les solutions SaaS/On Demand, une présence accrue dans le Cloud computing et à l’international dans le secteur du Retail. Le chiffre d’affaires du 1er trimestre sera publié le 11 avril. En attendant, Cegid a décidé de proposer un dividende de 1,05 euros, faisant ressortir un rendement de 6,6% au cours actuel de 15,89 euros.

Saft

Harris Associates L.P. monte dans le capital de Saft. Cette société de gestion américaine, domiciliée à Chicago, et contrôlée par Natixis, a franchi en hausse le seuil de 5% du spécialiste des batteries de haute technologie. Avec 5,09% du capital, il fait désormais partie des tout premiers actionnaires, parmi lesquels on compte (au 31 janvier 2013) : Ameriprise Financial (6,19%), Allianz (5,22%), Schroeders Investment (5,02%), Governance for Owners (5,02%) et Carmignac Gestion (4,46%). Prochaine publication : le 25 avril, avec le chiffre d’affaires du 1er trimestre 2013. En attendant, la valeur s’adjuge 12,2%, à 19,86 euros, depuis le début de l’année.


SII

Fidelity renforce sa position dans SII. Le géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en hausse le seuil de 5 % des droits de vote de cette société d’ingénierie et de conseils en technologies. Avec 8,14% du capital, il reste toutefois loin du premier actionnaire, la famille Huvé, qui contrôle 55,05% du capital et surtout 72,47% des droits de vote, avec un autocontrôle représentant 9,5%. Prochaine publication, le 14 mai prochain (à 18 heures), où la société publiera son chiffre d’affaires pour l’exercice 2012/2013, clos le 31 mars. En attendant, à 4,23 euros, l’action s’adjuge 5,75% depuis le début de l’année.

CGG

Manning & Napier Advisors monte dans le capital de CGG (ex CGG Veritas). Cette société de gestion américaine, contrôlée par William Manning, a franchi en hausse le seuil de 5% du capital de ce groupe spécialisé dans les prestations géophysiques. Manning & Napier devient ainsi le 2ème actionnaire derrière le Fonds stratégique d’investissement (6,5%). Selon la direction, CGG est bien positionné pour atteindre ses objectifs 2013, à savoir un chiffre d’affaires en croissance de l’ordre de 25%, une amélioration de la marge d’Ebit et du retour sur capitaux employés.

Aubay

Goldman Sachs monte dans le capital d’Aubay. La banque d’investissement américaine, domiciliée dans l’Etat du Delaware, vient de franchir en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,08% des actions et 3,36% des droits de vote de cette SSII. Hier, la société, présidée par Philippe Rabasse, a annoncé un résultat net, part du groupe, de 6,7 millions d’euros (-13,7%) pour un chiffre d’affaires de 190,4 millions (+2,6%). Pour 2013, l’objectif est de « délivrer une croissance du chiffre d’affaires de 2 à 3% et de maintenir une marge opérationnelle courante à un niveau proche de celle de 2012 » (8,2%). A 5,32 euros, Aubay s’adjuge 4,5% depuis le début de l’année.

Bénéteau

Franklin Resources conforte sa position dans Bénéteau. Cette société américaine de services financiers a dépassé le seuil de 10% pour détenir 10,01% du capital et 6,31% des droits de vote du n°1 mondial des constructeurs de voiliers, loin toutefois derrière Béri 21 (avec 54,33%). Selon le groupe, le chiffre d’affaires consolidé devrait s’élever à 810 millions pour l’exercice 2012-2013 (clos le 31 août), en retrait de 2,5%. Le résultat opérationnel ferait preuve d’une « certaine résistance » (-7,5 millions).

Sword

Michel Baulé monte dans le capital de Sword Group. Par l’intermédiaire de son holding Eximium, il vient de franchir le seuil de 15% du capital de cette SSII. Cet entrepreneur envisage de poursuivre ses achats en fonction des conditions du marché, mais n’entend pas prendre le contrôle de la société, ni solliciter un poste d’administrateur. Pour 2013, Sword Group prévoit une hausse de son activité de 5%, grâce à ses trois zones de croissance organique : Etats-Unis, Moyen-Orient et Inde.

Neopost

First Eagle Investment conforte sa position de 1er actionnaire dans Neopost. Cette société de gestion, basée à New York, vient de franchir le seuil de 10% des droits de vote du leader européen en équipement de salles de courrier et de systèmes logistiques. First Eagle n’a pas l’intention d’acquérir le contrôle, mais n’exclut pas de poursuivre ses achats en fonction de la décote par rapport à la valeur intrinsèque de Neopost. Par valeur intrinsèque, il faut comprendre « la somme que paierait un acquéreur stratégique ou financier, en numéraire, pour la totalité de la société ».

CFI

Thames River monte dans le capital de CFI. Cette société de gestion basée à Londres devient le 2ème actionnaire de la Compagnie Foncière Internationale, en détenant désormais 10,08% du capital. Elle reste loin toutefois des 59,60% détenus par Yellow Grafton, société luxembourgeoise contrôlée par Perella Weinberg Real Estate Fund I et dirigé par Léon Bressler, l’ancien président d’Unibail. Pour 2012, CFI a annoncé un bénéfice net, part du groupe, en hausse de 10,2%, à 9,959 millions d’euros, avec un actif net réévalué de 90,72 euros par action (+10,72%). Si le contexte reste déprimé, CFI continuera à se consacrer à la gestion et la valorisation à moyen terme de son portefeuille d’actifs immobiliers à usage de cinémas.

Neopost

UBS monte dans le capital de Neopost. Le groupe suisse détient désormais 5,5% des actions et des droits de vote du leader européen en équipement de salles de courrier et de systèmes logistiques. Il y a peu, First Eagle Investment avait dépassé, pour sa part, le seuil de 10%, sans exclure de poursuivre ses achats. Le 4 mars, Neopost a annoncé un chiffre d’affaires 2012 de 1 070 millions d’euros, en hausse de 6,7%, et a confirmé attendre une marge opérationnelle courante (hors charges liées aux acquisitions) légèrement inférieure à 25%. En 2013, le groupe table sur une croissance d’au moins 5% de l’activité, hors effets de change.

Theolia

Yliade Groupe monte dans le capital de Theolia. Cette société contrôlée par Yves Jacquin Depeyre a franchi en hausse le seuil de 5% pour détenir 5,19% du producteur indépendant d’électricité d’origine éolienne. Avec les titres détenus en propre et ceux de son autre société (SCCPI), cet investisseur peut se prévaloir de 6,16% du capital et de 5,94% des droits de vote. Pour mémoire, le 14 février dernier, Kepler Capital Markets a initié la couverture de Theolia et recommande le titre à l’achat avec un objectif de cours de 2,40 euros. A comparer à un cours actuel de 1,42 euro.

Renault

p style= »text-align: justify; »>The Capital Group, 3ème actionnaire de Renault. Cette société de gestion basée à Los Angeles, qui agit en tant qu’« investment adviser », a franchi le seuil de 5% pour détenir 5,01% du capital du constructeur automobile. Il devient ainsi le 3ème actionnaire derrière l’Etat français (15,01% du capital) et Nissan Finance (15%). En 2013, la firme au losange poursuivra sa stratégie de développement à l’international. En Europe, grâce au lancement de nouveaux modèles (Captur, ZOE, Nouvelle Clio Estate, Nouvelle Logan) et du plein effet des modèles lancés fin 2012 (Clio IV et Nouvelle Sandero), le groupe a pour ambition de regagner des parts de marché, avec l’objectif de générer un free cash flow opérationnel de l’Automobile positif.

Ubisoft

Fidelity renforce sa position dans Ubisoft. Le géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), a franchi en hausse le seuil de 10% des droits de vote de l’éditeur de jeux vidéo interactifs. Avec 11,65% des actions, il devance de peu la famille Guillemot (11,14%), mais celle-ci dispose de 19,9% des droits de vote. Fidelity intervient dans le cadre normal de son activité de gestion et n’a donc pas l’intention de prendre le contrôle. Ubisoft, désormais 3ème éditeur indépendant aux Etats-Unis, a rehaussé récemment ses objectifs pour l’exercice 2012/2013 (clos le 31 mars). Son chiffre d’affaires est attendu autour de 1 250 millions d’euros, assorti d’un résultat opérationnel courant, compris entre 90 et 100 millions.

Neopost

First Eagle Investment conforte sa position de 1er actionnaire dans Neopost. Cette société de gestion, basée à New York, vient de franchir le seuil de 10% du capital du leader européen en équipement de salles de courrier et de systèmes logistiques. First Eagle n’a toutefois pas l’intention d’acquérir le contrôle, mais n’exclut pas de poursuivre ses achats en fonction de la décote par rapport à la valeur intrinsèque de Neopost. Par valeur intrinsèque, il faut comprendre « la somme que paierait un acquéreur stratégique ou financier, en numéraire, pour la totalité de la société ». Le chiffre d’affaires du 4ème trimestre, clos le 31 janvier, sera publié le 4 mars après la clôture. En attendant, l’action gagne 11 % depuis le début de l’année.

Atari

Ker Venture a pris un gros ticket dans Atari. Cette société d’investissement, basée dans le Delaware et contrôlée par Frédéric Chesnais, détient désormais 25,22% du spécialiste du divertissement interactif. La cotation des actions Atari SA étant suspendue depuis le 21 janvier 2013, cette acquisition a eu lieu hors marché pour un prix total de… 274,03 euros. Ker Venture déclare agir seul et n’entend pas prendre le contrôle d’Atari. Frédéric Chesnais, pour sa part, a été nommé directeur général lors du conseil du 1er février et est aussi président du conseil d’administration. Rappelons que les filiales américaines d’Atari ont procédé à l’ouverture aux Etats-Unis, le 21 janvier 2013, de procédures de « Chapter 11 » et, le 29 janvier dernier, le tribunal de commerce de Lyon a prononcé la liquidation judiciaire avec poursuite d’activité d’Eden Games Sarl, sa filiale française. « L’issue des procédures de faillite américaines aura une importance significative pour Atari », est-il précisé.

Touax 2

Sofina continue de monter dans le capital de Touax. Cette holding belge vient de franchir le seuil de 20% pour détenir 23,22% du groupe spécialisé dans les conteneurs maritimes, les constructions modulaires et les barges fluviales. Sofina renforce ainsi sa position de deuxième actionnaire derrière la famille Walewski, qui contrôle 31,05% du capital et 34,28% des droits de vote. Elle envisage de poursuivre ses achats, sans toutefois acquérir le contrôle de Touax, qui est d’ailleurs organisée sous la forme de commandite par actions. Une des raisons pour lesquelles ces achats sont sans effet sur le cours qui reste stable depuis le début de l’année.

Belvédère2

La société civile de la Tour Grise détient désormais 24,81% de Belvédère. A la faveur de procurations reçues, cette société, située à Verneuil-sur-Avre et dont le gérant est Nicolas Miguet, a franchi les seuils de 5%, 10%, 15% et 20% du capital du groupe de spiritueux. Avec 23,75% des droits de vote, l’éditeur est donc en position de force avant l’ouverture de l’assemblée générale extraordinaire qui se tient aujourd’hui, à 18 heures, au Forum des images (Forum des Halles), Porte Saint-Eustache, dans le 1er arrondissement de Paris, où un coup de théâtre n’est pas exclu.

Touax

Sofina monte dans le capital de Touax. Cette société d’investissement belge a franchi en hausse le seuil de 15% pour détenir 16,97% du groupe spécialisé dans les conteneurs maritimes, les constructions modulaires et les barges fluviales. Sofina, qui a initié sa première ligne d’investissement en 2008, envisage de poursuivre ses achats, sans toutefois acquérir le contrôle de Touax. Rappelons que Sofina, dont la capitalisation flirte avec les 2,5 milliards d’euros, est contrôlée par l’Union Financière Boël (19,10%), la Société de Participations Industrielles (15,56%) et Henex (15,88%).

Technip

The Capital Group Companies devient le premier actionnaire de Technip. Cette société, basée à Los Angeles, qui agit en tant qu’« investment adviser », a franchi le seuil de 5% pour détenir 7,42% de ce spécialiste des infrastructures pour l’industrie de l’énergie. En nombre d’actions, il devance ainsi BlackRock et la Caisse des dépôts, via le Fonds stratégique d’investissement (FSI). Technip a annoncé aujourd’hui avoir remporté un contrat auprès de Shell pour le champ Gannet, localisé en mer du Nord, à 180 kilomètres à l’est d’Aberdeen, à une profondeur d’eau de 95 mètres.

Neopost2

UBS prend un ticket dans Neopost. Le groupe suisse détient 5,8 % du capital du leader européen en équipement de salles de courrier et de systèmes logistiques. Pour mémoire, Neopost a conclu à la mi-janvier son refinancement par la mise en place d’une nouvelle ligne de crédit de 500 millions d’euros. Le coût de financement moyen s’établit désormais en dessous de 4% avec une maturité moyenne de 4 ans et demi. Le chiffre d’affaires du 4ème trimestre, clos le 31 janvier, sera publié le 4 mars après la clôture. En attendant, l’action gagne 10 % depuis le début de l’année.

Neopost

UBS prend un ticket dans Neopost. Le groupe suisse détient 5,8 % du capital du leader européen en équipement de salles de courrier et de systèmes logistiques. Pour mémoire, Neopost a conclu à la mi-janvier son refinancement par la mise en place d’une nouvelle ligne de crédit de 500 millions d’euros. Le coût de financement moyen s’établit désormais en dessous de 4% avec une maturité moyenne de 4 ans et demi. Le chiffre d’affaires du 4ème trimestre, clos le 31 janvier, sera publié le 4 mars après la clôture. En attendant, l’action gagne 10 % depuis le début de l’année.

Biscuits 2

Biscuits Gardeil va-t-il faire l’objet d’une OPR ? On peut se poser légitimement la question à la faveur de la sortie du capital de la Financière de l’Echiquier, qui ne détient plus aucun titre, et du renforcement concomitant de son actionnaire majoritaire, la société Unichips International. Cette dernière, contrôlée par Alberto Vitaloni, a en effet acquis des titres hors marché pour porter son contrôle à 96,09 % du capital (contre 90,4 % précédemment), donc au-delà du seuil fatidique des 95 %, prélude généralement au lancement d’une OPR. Depuis hier, le titre est suspendu à 14,70 euros. Un communiqué de Biscuits Gardeil est attendu par le marché.

Audika

Fidelity Investments a pris un ticket dans Audika. Ce géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), vient de franchir en hausse le seuil de 5 % des droits de vote du numéro un français de la correction auditive. Avec 7,89 % du capital et 5,13 % des droits de vote, Fidelity devient le deuxième actionnaire, loin toutefois derrière Holton (54 %), holding de contrôle détenu par les dirigeants Alain et Jean-Claude Tonnard (à 55 %), Philippe Langzam (6 %) et European Capital (39 %). Audika a-t-il renoué avec une croissance positive au quatrième trimestre 2012, en s’appuyant notamment sur les effets de sa campagne marketing ? La réponse sera donnée le 21 janvier prochain. Les résultats, eux, seront connus le 25 mars.

Fidelity

Fidelity Investments a pris un ticket d’entrée dans Eurofins Scientific. Ce géant mondial de la gestion d’actifs, qui siège à Boston (Massachusetts), vient de franchir en hausse le seuil de 5 % dans le capital du groupe français de biotechnologies, créé et dirigé par Gilles Martin. Avec 5,16 % du capital et 3,58 % des droits de vote, il pèse néanmoins peu de poids face à la famille Martin qui contrôle 45,5 % du capital et surtout 61,8 % des droits de vote, via essentiellement Analytical Bioventures, société en commandite par actions de droit luxembourgeois. Pour l’heure, Eurofins s’attache à réussir son OPA sur Cerep au prix de 2 euros par action (soit une prime de 85,2 %), Or, avec les actions acquises sur le marché et les cessions de titres prévues, Eurofins peut déjà se prévaloir de 35,88 % du capital du laboratoire.