AMF

L’Autorité des Marchés Financiers publie son rapport annuel 2012. Au chapitre des offres publiques d’acquisition, 41 décisions de conformité ont été prises, soit un niveau identique à 2008 après une hausse significative en 2011, indique l’AMF. Le nombre d’offres publiques s’inscrivant dans le contexte d’une prise de contrôle était de 18 en 2012 (31 en 2011), parmi lesquelles on relève 16 changements de contrôle préalables à une offre publique obligatoire et 2 changements de contrôle consécutifs à une offre publique relevant de la procédure normale. Comme en 2011, l’année 2012 est marquée par un nombre important de sorties de la cote qui sont intervenues à l’issue d’une offre publique : 25 au total, dont 9 à l’issue d’une OPR-RO et 16 dans le cadre d’un retrait obligatoire à l’issue d’une offre. Le nombre d’offres publiques visant des sociétés cotées sur Alternext s’élève à 8 (contre 10 offres en 2011).

OCDE

Croissance : l’OCDE revoit ses prévisions en baisse. Aux États-Unis, l’activité devrait progresser de 1,9 % cette année et de 2,8 % en 2014. Au sein de la zone euro, un recul du PIB de 0,6 % est attendu cette année, suivi d’un rebond de 1,1 % en 2014. « L’économie mondiale se renforce peu à peu, mais la reprise demeure fragile et inégale », a déclaré le secrétaire général de l’OCDE, Angel Gurría. Bien que les risques d’une tendance baissière des perspectives se soient atténués, ils demeurent importants. Des interactions négatives entre les banques insuffisamment capitalisées, les finances publiques et l’économie réelle représentent toujours un risque substantiel dans la zone euro, souligne l’Organisation. La situation budgétaire reste préoccupante aux États-Unis et au Japon en l’absence de plans crédibles à moyen terme. La fin future des mesures de politique monétaire exceptionnelles qui ont été adoptées pourrait constituer une source d’instabilité sur les marchés.

Pro Forma

Comptes pro forma : les recommandations de l’AMF. L’information pro forma vise à donner à un investisseur ou un actionnaire l’impact qu’aurait eu une opération sur les états financiers historiques d’une entreprise si cette opération s’était produite à une date antérieure à sa survenance réelle. Partant du constat que l’établissement d’informations pro forma peut se révéler être un exercice complexe, l’AMF a décidé de publier une recommandation dans laquelle se trouve toute une série d’orientations pour bâtir des informations pro forma pertinentes à intégrer dans un prospectus ou un rapport financier annuel. Pour consulter la recommandation de l’AMF (33 pages) : http://www.amf-france.org/documents/general/10848_1.pdf

Médiateur

p style= »text-align: justify; »>Marielle Cohen-Branche, médiateur de l’AMF, publie son rapport 2012. Son rôle : favoriser la résolution amiable des litiges en matière financière. L’an dernier, 747 demandes de médiation ont été reçues dont 597 recevables (+15 %). Parmi les faits marquants, l’augmentation des médiations liées au marché des changes dit « Forex » (58 dossiers), qui représentent 10 % des médiations traitées. « Les dossiers reçus montrent souvent des situations de détresse sociale et financière avec des personnes néophytes, fragiles et parfois au chômage », déplore le médiateur de l’AMF. Ils révèlent aussi « des pratiques commerciales particulièrement agressives de certains opérateurs agréés ou non dans des pays européens faisant croire qu’il est possible de devenir trader en quelques minutes ». Comme les années précédentes, on retrouve dans des proportions quasi similaires les thématiques habituelles des dossiers : commercialisation de produits financiers inadaptés à la situation et aux objectifs des clients, différends liés au délai de transfert d’un compte titre ou d’un PEA, plaintes relatives à la mauvaise exécution ou l’inexécution d’ordres de Bourse, litiges relatifs à la gestion sous mandat, etc. Pour consulter le rapport du médiateur 2012 (28 pages) : www.amf-france.org/documents/general/10842_1.pdf

Crowdfunding

L’AMF publie un guide pédagogique sur la finance participative (crowdfunding). Ce mécanisme permet de récolter des fonds – généralement des petits montants – auprès d’un large public en vue de financer un projet créatif (musique, édition, film, etc.) ou entrepreneurial. Il fonctionne le plus souvent via Internet. Les opérations de crowdfunding peuvent être des soutiens d’initiative de proximité ou des projets défendant certaines valeurs. Elles diffèrent des méthodes de financement traditionnel et intègrent souvent une forte dimension affective. Compte tenu de l’essor du crowdfunding en France, l’ACP et l’AMF ont souhaité clarifier le cadre réglementaire d’exercice de cette activité, afin d’en améliorer la lisibilité et la compréhension. Pour consulter le guide du financement participatif à destination des plates-formes et des porteurs de projet : http://www.amf-france.org/documents/general/10839_1.pdf

 

Bruxelles

Bruxelles livre ses prévisions économiques pour 2013 et 2014. La croissance du PIB va progressivement redevenir positive au second semestre 2013, estime la Commission européenne, avant d’accélérer plus fortement en 2014. Selon elle, « la demande intérieure reste freinée par un certain nombre d’obstacles typiques des lendemains de crises financières profondes. Aussi, la demande extérieure devrait être le principal moteur de la croissance cette année ». Ces prévisions restent fondées sur l’hypothèse que la mise en œuvre des politiques de réforme se poursuivra, empêchant ainsi la crise des dettes souveraines de connaître une nouvelle poussée. Bruxelles prévoit désormais, pour cette année, une évolution annuelle du PIB de -0,1 % dans l’ensemble de l’UE et de -0,4 % dans la zone euro. En 2014, l’activité économique devrait croître de 1,4 % dans l’ensemble de l’UE et de 1,2 % dans la zone euro.

Guide AMF

Voter en toute connaissance de cause aux assemblées générales. C’est le titre du dernier guide pédagogique de l’AMF à l’attention des actionnaires individuels. Indemnités de départ des dirigeants, fixation du dividende, choix des administrateurs, approbation des comptes… autant de sujets qui font l’objet d’un vote dans le cadre d’une assemblée. Décisif pour la stratégie et l’avenir de l’entreprise, l’exercice du droit de vote est donc essentiel pour l’actionnaire. Dans ce guide, sont expliqués les projets de résolution les plus fréquemment présentés. Il propose aussi toute une série de critères à prendre en compte avant d’arrêter sa politique de vote. Pour le consulter : http://www.amf-france.org/documents/general/10820_1.pdf

Brevets

PSA, 1er déposant de brevets. L’Observatoire de la Propriété Intellectuelle vient de publier le palmarès des déposants de brevets auprès de l’INPI. Les trois premières places sont occupées par les mêmes groupes que l’an passé. PSA Peugeot Citroën garde sa première place avec 1 348 demandes de brevets publiées en 2012. Profitant d’une légère baisse du groupe Safran qui passe de la 2ème à la 3ème place, le Commissariat à l’Energie Atomique atteint le deuxième rang du palmarès avec 566 demandes publiées. Ces résultats mettent en évidence une concentration toujours forte des dépôts de brevets : ainsi les 20 premiers déposants représentent 41,2% des demandes de brevets publiées et les 50 premiers déposants 49%.

Pré-offre

Trois sociétés sont toujours en période de pré-offre. Siraga est désormais détenu à hauteur de 73,84% (des droits de vote) par Al Ayuni Investment & Contracting Company et est dans l’attente d’une OPA simplifiée. Unichips International, qui contrôle désormais 96,09 % de Biscuits Gardeil, doit déposer un projet d’offre publique de retrait suivie d’un retrait obligatoire. Enfin, la maison mère d’Auto Escape (contrôlée par le FCPR Montefiore Investment II) a porté son contrôle  sur sa filiale à 96,25%. En conséquence, elle va lancer une offre publique de retrait dans les mêmes conditions que celles fixées pour le rachat du bloc, soit 4,30 euros par action.


Le classement mondial des banques conseils en fusions & acquisitions

Le classement mondial des banques conseils en fusions & acquisitions. Selon les données trimestrielles de Thomson Reuters, arrêtées au 19 mars dernier, la banque américaine JP Morgan Chase arrive en tête du palmarès avec 130 milliards de dollars, grâce à plusieurs opérations d’envergure, à l’image du rachat de H.J. Heinz Co par Berkshire Hathaway associé au fonds 3G Capital. Soit une part de marché de 30% sur un total évalué à 430,4 milliards (en hausse de 6% sur un an). Elle devance Goldman Sachs, Bank of America Merrill Lynch, Credit Suisse Group et Morgan Stanley.

PwC

Hausse des fusions & acquisitions dans les services financiers en Europe. Selon le cabinet PwC, la

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valeur des transactions réalisées en 2012 dans ce secteur s’est élevée à 51 milliards d’euros (+ 35%). Cette performance est toutefois le résultat de cinq transactions d’envergure réalisées par différents gouvernements et Etats. Sans ces opérations, « la valeur totale se serait établie à 30,9 milliards, soit un recul de 7%, et aurait atteint son plus bas niveau depuis dix ans », précise PwC. En 2013, « les fusions-acquisitions seront de nouveau portées par les besoins de rationalisation et de simplification, la recherche d’une stabilité financière accrue, l’importance des économies d’échelle […] et la volonté de profiter de nouveaux marchés ayant un taux de croissance plus important », prévoit Hervé Demoy, associé de PwC.

DB

2013 pourrait être l’année du retour des fusions & acquisitions en Europe. Dans une étude consacrée aux cibles européennes, Deutsche Bank AG/London estime que l’environnement semble favorable aux transactions. Avec un indicateur avancé : « les volumes de M&A aux Etats-Unis ont commencé à se redresser » : offre de Liberty Global sur Virgin Media, management buy-out chez Dell, acquisition de Comcast de la participation de NBC dans NBCUniversal, rachat de H.J. Heinz Co par Berkshire Hathaway, pour ne citer que les plus grandes transactions. Parmi les cibles de DB, on trouve deux valeurs françaises (Faurecia et Havas), mais aussi Nobel Biocare Holding et Stada Arzneimittel (dans la santé), ainsi que Genel Energy et Hunting (énergie).

Ricol

Ricol Lasteyrie a publié ce matin son Observatoire des offres publiques. Pour cette 4ème édition, ce cabinet, spécialisé dans l’expertise indépendante et le conseil financier stratégique, a recensé 40 opérations en 2012 pour un montant de 3,24 milliards d’euros. A comparer aux 53 opérations comptabilisées en 2011 pour 7,9 milliards. Selon ses calculs, la prime offerte s’est élevée à 43% sur le dernier cours. Mais elle n’est que de 9% au regard de la valeur intrinsèque évaluée par les experts indépendants. Selon Sonia Bonnet-Bernard, associée-gérante de Ricol Lasteyrie, « de plus en plus de sociétés prennent l’initiative de racheter leurs propres actions [via des Opra] afin d’offrir à leurs actionnaires des fenêtres de liquidités ».

CASA

Crédit Agricole SA retiré de la cote ? Dans une note, intitulée « Hypothèse d’une sortie de cotation », le courtier CM-CIC Securities n’écarte pas ce scénario, suite notamment à la dépréciation de 2,6 milliards d’euros d’écarts d’acquisition au 4ème trimestre 2012. L’organisation complexe du contrôle de la banque rend toutefois l’exercice difficile, reconnaît l’analyste. Dans la mesure où la valeur des titres CASA dans les livres des Caisses régionales ressort en moyenne à 12,50 euros par action, il faudrait débourser 14 milliards pour retirer les 43,8 % du capital. « C’est un effort considérable, mais sans doute pas impossible à un horizon de deux ou trois ans ».

Clifford

Le cabinet d’avocats Clifford Chance, 1er au palmarès des fusions & acquisitions. Selon le classement de l’Institut Mergermarket, dévoilé aujourd’hui par le quotidien Les Echos, Clifford Chance prend la première place à la fois en valeur (18,77 milliards d’euros) et en nombre d’opérations (30) sur un marché qui a reculé de 56 % en 2012. Ce cabinet international devance Cleary Gottlied Steen & Hamilton (18,053 milliards), Linklaters (12,208), Freshfields Bruckhaus Deringer (10,778), Weil Gotshal & Manges (10,358), Darrois Villey Maillot Brochier (7,632) et Bredin Prat 7,559).

Ernst & Young

Ernst & Young publie une étude sur les entreprises familiales. Cette enquête, réalisée en collaboration avec le Family Business Network International, analyse les trois principaux facteurs de réussite de ces sociétés : la croissance et la résilience, la gestion des talents et l’approche durable. « Les entreprises familiales se concentrent sur leurs clients et leurs compétences clés afin d’améliorer constamment la qualité de leurs produits ou services, et de conserver leur niveau de compétitivité », expliquent les auteurs de l’étude. Ajoutant : « Elles s’attachent plus à la création de valeur à long terme qu’à une maximisation des profits à court terme ». L’élément le plus crucial qui garantit la viabilité de cette approche à long terme est la succession. Si on note une forte intention de transmettre, « la réalité est que seules 30 % des sociétés survivent à la deuxième génération, 13 % à la troisième génération et seulement 3 % au-delà ».

BNP

BNP Paribas, n°1 du conseil en fusions-acquisitions en France. En 2012, selon le classement établi par Thomson Reuters, BNP Paribas a conseillé 66 opérations annoncées au cours de l’année, représentant un volume de 32,42 milliards de dollars (24,74 milliards d’euros), devenant ainsi, pour la 8ème année consécutive, la première banque conseil sur le marché français. S’agissant des opérations définitivement réalisées dans l’année, BNP Paribas a conseillé 58 transactions pour un montant total de 36,76 milliards de dollars (28 milliards d’euros). « Cette position de leader sur le marché français constitue pour nous une reconnaissance de notre expertise », a déclaré Thierry Varène, responsable des métiers Corporate Finance de BNP Paribas.

Euronext

« Quel avenir pour Euronext ? » : c’est le titre d’une étude passionnante de CM-CIC Securities sur NYSE Euronext en voie de fusion avec l’opérateur ICE. L’annonce de la cession d’Euronext Paris, Amsterdam, Bruxelles et Lisbonne, a priori par voie d’introduction en Bourse, est intelligente à deux titres, estime le bureau de recherche. D’abord, « elle apporte une réponse en amont aux régulateurs européens, qui vont nécessairement examiner l’opération ». Ensuite, « elle permet de lancer un processus d’enchères […] dans un contexte de consolidation des places européennes ». Et ce, pour une valorisation qui pourrait atteindre entre 1,25 et 1,5 milliard de dollars en fonction du périmètre retenu. « Pour les actionnaires de NYSE Euronext, il est encore trop tôt pour faire un choix concernant l’élection optimale (cash, titre ou mixte), précise CM-CIC, mais selon les mandats des investisseurs et sauf écarts significatifs entre les différentes options, un apport contre titres semble le plus approprié ».

Havas

Les entreprises françaises se constituent un trésor de guerre, si l’on en croit la 2ème édition de l’étude sur le partage de la valeur menée par Havas Worldwide. Les sociétés du SBF 120, prudentes, se confectionnent un important matelas de liquidités à hauteur de 20% du cash-flow, en raison de perspectives jugées difficiles pour 2013. Tous les postes de dépenses sont réduits, sauf la masse salariale et les investissements de production. Les entreprises mettent ainsi sous tension les autres parties prenantes comme les actionnaires dont la rémunération (dividendes et rachats d’actions) baisse de 11% en 2012. Tirant les leçons de 2009, elles organisent leur autonomie par rapport aux banques. La croissance externe est toujours très ralentie (pour l’instant ?). Or une comparaison avec les entreprises internationales montre que l’ensemble de ces choix est spécifiquement français…

Havas WW

Les entreprises françaises se constituent un trésor de guerre, si l’on en croit la 2ème édition de l’étude sur le partage de la valeur menée par Havas Worldwide. Les sociétés du SBF 120, prudentes, se confectionnent un important matelas de liquidités à hauteur de 20% du cash-flow, en raison de perspectives jugées difficiles pour 2013. Tous les postes de dépenses sont réduits, sauf la masse salariale et les investissements de production. Les entreprises mettent ainsi sous tension les autres parties prenantes comme les actionnaires dont la rémunération (dividendes et rachats d’actions) baisse de 11% en 2012. Tirant les leçons de 2009, elles organisent leur autonomie par rapport aux banques. La croissance externe est toujours très ralentie (pour l’instant ?). Or une comparaison avec les entreprises internationales montre que l’ensemble de ces choix est spécifiquement français…

Primes de 43 % en moyenne !

Primes de 43 % en moyenne ! L’année 2012 s’est donc soldée par un total de 43 opérations financières : 23 OPA (dont 21 réalisées sous la forme simplifiée), 3 OPE, 2 OPM, 5 OPRA et 10 OPR. Soit peu ou prou le même nombre que l’année précédente. On recense toutefois peu d’opérations d’envergure, si l’on fait exception de l’acquisition de CFAO par Toyota Tsusho Corp. (1,6 Md€) et celle du Groupe Vermandoise par Cristal Union (1 Md€).

L’immobilier aura été le secteur le plus fertile en offres publiques, puisque l’on y dénombre pas moins de huit opérations : MB Retail Europe, Dock Lyonnais, Silic, Foncière 7 Investissement, Foncière Masséna, Foncière Europe Logistique, Compagnie Immobilière Betelgeuse (CIB), ANF Immobilier et Foncière Sepric.

Le secteur des solutions informatiques ou logicielles reste également un grand pourvoyeur, si l’on en juge par les offres qui ont porté sur Infovista, Hitechpros, Actividentity Europe, Metrologic Group, Prowebce, ESR et LaCie. Sans oublier la distribution, spécialisée ou grand public (Guyenne & Gascogne, Modelabs, CFAO), et la banque (CFCAL, Banque des Antilles Françaises, Banque Tarneaud).

En tout état de cause, les primes instantanées offertes aux actionnaires minoritaires ont été généreuses en 2012, en s’élevant en moyenne à 43 % (+ 41 % si l’on retient la moyenne des cours des 3 derniers mois précédant l’annonce).

Au palmarès des plus gros bonus, on trouve EPI – Espace Production International (+ 145,6 %), suivi d’ESR (+ 136,4 %) et de la Société Sucrière de Pithiviers-le-Vieil (+ 125,7 %). A l’inverse, on note trois sociétés où l’on enregistre une décote immédiate : Silic (- 4,7 %), CFAO (- 1,2 %) et Guyenne & Gascogne (- 0,3 %), suite notamment aux mouvements spéculatifs précédant les différentes annonces.

Les primes ont été également sympathiques du côté des offres publiques de rachat, avec, au premier rang, Rougier (+ 59,8 %), suivi de Turenne Investissement (+ 29,8 %) et d’Orchestra-Kazibao (+ 29 %).

En 2013, il est permis de penser que les sociétés vont poursuivre leurs acquisitions en Bourse, ne serait-ce que pour compenser le manque de croissance dans la zone euro (- 0,1 % prévu par l’OCDE), tout en continuant à simplifier leurs structures.

G.B.

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