Ipsen finalise l’acquisition d’Albireo Pharma

Cette opération permet à Ipsen de compléter son portefeuille en Maladies Rares avec des traitements prometteurs pour les maladies hépatiques cholestatiques rares chez l’enfant et l’adulte, un portefeuille de produits innovants, ainsi que des capacités scientifiques et commerciales. Dans le cadre de la transaction, Ipsen acquiert toutes les actions d’Albireo au prix de 42 $ par action en numéraire, auquel s’ajoute un certificat de valeur garantie (CVG) non transférable de 10 $ par action. A compter du 2 mars 2023, à la clôture des marchés, les actions Albireo cesseront d’être cotées sur le Nasdaq Capital Market, et seront radiées ultérieurement.

Électricité de France : l’État français détient 96,5% du capital

Électricité de France : l’État français détient 96,5% du capital. À l’issue de son OPA simplifiée, clôturée le 3 février 2023, l’État détient désormais 95,82% du capital et 96,53% des droits de vote du géant de l’énergie, ainsi que 99,96% des Océanes 2024 en circulation. La conversion de ces obligations peut d’ailleurs être demandée à tout moment par leurs détenteurs jusqu’au 14 septembre 2024, et donnant droit au maximum à 281.796.410 actions EDF (selon le ratio de conversion ajusté de 1,2890).

Pour rappel, le 2 décembre 2022, la Cour d’appel de Paris a été saisie d’un recours en annulation de la décision de conformité de l’OPA simplifiée. Dans l’attente de la décision sur le fond, l’Etat a pris plusieurs engagements. Il ne mettra pas en œuvre de retrait obligatoire.

En cas d’arrêt de la Cour d’appel confirmant la décision de conformité de l’AMF, l’Etat s’engage à rouvrir l’OPA pendant dix séances et à procéder ensuite au retrait obligatoire. En revanche, en cas d’arrêt de la Cour d’appel annulant ou réformant la décision de conformité de l’AMF, l’État s’engage à restituer les titres acquis dans le cadre de l’OPA aux anciens actionnaires et/ou porteurs d’océanes qui en feraient la demande. Et, si le prix devait être relevé, il s’engage à verser un complément de prix aux actionnaires et/ou porteurs d’océanes qui n’auraient pas demandé la restitution de leurs titres.

Atari : l’OPA d’Irata a échoué

Atari : l’OPA d’Irata a échoué. A l’issue de son offre au prix de 0,19 € par action, close le 26 janvier 2023, la société Irata (anagramme d’Atari), contrôlée par M. Wade J. Rosen, a reçu en dépôt 23.899.783 actions de cette société spécialisée dans le divertissement interactif. Aussi Irata est-il en mesure de détenir seulement 35,43% du capital. Par conséquent, l’offre n’a pas de suite positive. Euronext Paris publiera le calendrier de restitution des actions aux actionnaires ayant apporté leurs titres à l’OPA.

Altur Investissement : l’OPRA ne fait pas le plein

Altur Investissement : l’OPRA ne fait pas le plein. A l’issue de son offre publique de rachat d’actions, qui portait sur 760.000 titres, soit 18% du capital, au prix unitaire de 7,20 €, cette société de capital investissement a reçu en dépôt seulement 294.638 actions. Il est vrai que le prix proposé présentait une décote de 35% sur l’actif net réévalué au 30 septembre (11,10 € par action). Toutes les demandes de rachat seront donc satisfaites. Et les actions rachetées seront annulées par la société dans les conditions et délais prévus par l’article R. 225-158 du Code de commerce.

Theradiag : l’OPA de Biosynex sera rouverte

A la suite de son OPA au prix de 2,30 € par action, Biosynex détient désormais 68,86% du capital et au moins 68,56% des droits de vote de cette société spécialisée dans les tests de diagnostic in vitro. L’OPA a donc une suite positive et sera rouverte dans les mêmes conditions. Pour rappel, Biosynex propose d’acquérir chaque action Theradiag au prix de 2,30 €, soit une prime de 58,62% sur le cours du 22 septembre 2022 et une prime de 43,79% et sur la moyenne des 60 dernières séances. Cela, afin de créer à terme un champion français du monitoring des biothérapies.  Biosynex n’a pas l’intention de demander la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.

Somfy : il y aura un retrait obligatoire

A la suite de l’OPA simplifiée au prix de 143 € par action, les sociétés JPJS et JP3 (famille Despature) détiennent désormais de concert avec d’autres actionnaires familiaux 87,49% du capital et 92,08% des droits de vote de ce spécialiste de l’automatisation des ouvertures et fermetures de la maison et du bâtiment. Néanmoins, en incluant les 2.547.558 actions auto-détenues par Somfy, le concert détient 94,38% du capital et 96,31% des droits de vote théoriques. Les actions détenues par les actionnaires minoritaires ne représentant pas plus de 10% du capital et des droits de vote, un retrait obligatoire va pouvoir être mise en œuvre. La cotation des actions Somfy demeurera suspendue dans l’attente de sa mise en œuvre.

Linedata Services : les demandes de rachat seront réduites

A l’issue de son OPRA portant sur 17,2% du capital, au prix de 50 € par action, qui s’est terminée le 22 décembre 2022, cet éditeur de logiciels dédiés à l’industrie financière a fait plus que le plein. Le nombre d’actions présentées (1.336.789), étant supérieur au nombre maximum de 1.100.000 actions que la société s’était engagée à racheter, il a été procédé à une réduction des demandes.


Bluelinea : l’OPA simplifiée ne fait pas recette

Bluelinea : l’OPA simplifiée ne fait pas recette. A l’issue de son offre au prix de 1,30 € par action, le concert d’actionnaires composé des sociétés Apicil Mutuelle et Apicil Prévoyance a porté son contrôle de 56,64% à 60,40% dans le capital de cette société spécialisée dans l’accompagnement à domicile des personnes âgées. Le concert détient par ailleurs 13,26% des bons de souscription d’actions Y en circulation. A noter que l’initiateur n’avait pas l’intention de mettre en œuvre un retrait obligatoire.

Siemens Energy réussit son offre sur sa filiale SGRE

A l’issue de son OPA au prix de 18,05 € par action, le groupe allemand détient désormais 92,72% du capital de sa filiale spécialisée dans l’éolien, Siemens Gamesa Renewable Energy. A l’issue du règlement-livraison, Siemens Energy mettra en œuvre la procédure de retrait obligatoire. « Cette étape permettra de simplifier les processus et de se concentrer pleinement sur le redressement opérationnel de l’activité Siemens Gamesa », explique le groupe.

Oncodesign : il y aura un retrait obligatoire

A la clôture de l’OPA simplifiée au prix de 14,42 € par action, Cancer Buster Bidco (Edmond de Rothschild Private Equity) détient désormais 6.360.042 actions de cette biotech spécialisée en médecine de précision, soit 92% du capital et au moins 91,86% des droits de vote. La suspension de la cotation des actions est maintenue dans l’attente de la mise en œuvre du retrait obligatoire.

Philip Morris réussit son offre sur Swedish Match

A l’issue de la nouvelle période d’acceptation prolongée jusqu’au 25 novembre 2022, au prix de 116 couronnes suédoises (dividende de 0,93 couronne attaché), le géant américain du tabac détient désormais 93,11% du capital et des droits de vote du groupe suédois (ZYN, Longhorn, Onico, Thunder, Oliver Twist, White Owl, Cricket, etc.). « Nous sommes ravis d’avoir obtenu une participation de plus de 90 % dans Swedish Match, ce qui nous permet d’initier un rachat des minoritaires pour acquérir les actions restantes et demander la radiation de la société du marché », a déclaré Jacek Olczak, directeur général de Philip Morris.

Nextstage : le retrait obligatoire se profile

A l’issue de son offre publique alternative au prix de 108 € par action ou en titres (à raison d’une action NextStage EverGreen pour une action Nextstage), la société en commandite par action NextStage EverGreen détient désormais 98,79% du capital et au moins 97,60% des droits de vote de ce spécialiste de l’investissement en fonds propres dans les entreprises de taille moyenne. Les conditions requises étant remplies, cette opération sera suivie d’un retrait obligatoire.

Cast : le complément de prix sera versé

Cast : le complément de prix sera versé. A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 7,55 € par action, close mercredi 19 octobre 2022, Financière Da Vinci, structure contrôlée par Bridgepoint, détient désormais 95,28% du capital et 92,76% des droits de vote de cette société spécialisée dans l’analyse, la mesure et la cartographie des logiciels. Le seuil des 90% ayant été franchi, il sera versé aux actionnaires ayant apporté leurs titres à l’offre un complément de prix de 0,30 € par action, ce qui porte le prix à 7,85 € par action.

Albioma : KKR réussit son OPA

A l’issue de son offre au prix de 50 € par action et de 29,10 € par bon de souscription d’action, Kyoto BidCo (contrôlée par des fonds gérés par Kohlberg Kravis Roberts & Co) détient désormais 92,19% du capital de ce producteur d’énergies renouvelables et 99,99% des bons de souscription. La suspension de cotation est maintenue jusqu’à la mise en œuvre du retrait obligatoire.

Adwya : l’OPA fait le plein

A l’issue de son offre au prix de 5,950 dinars par action qui a été prolongée jusqu’au 5 septembre 2022, Kilani Holding Pharmaceuticals, agissant de concert avec MM. Kilani et Laboratoires Teriak, a porté son contrôle à hauteur de 97,97% du capital de cette société pharmaceutique, comme l’a annoncé la BVMT.

Pour mémoire, l’objectif de cette OPA est triple : rapprocher les entités Adwya et Teriak (filiale de Kilani) pour en « faire un champion régional » avec « une augmentation des exportations », notamment en Libye et en Afrique subsaharienne ; « redresser d’urgence les performances financières d’Adwya qui se sont fortement détériorées au cours des trois dernières années » ; « investir dans le renouvellement des équipements, dans les capacités de stockage, dans les investissements de trigénération (favorisant des économies d’énergie) ».

Robertet : les demandes sont servies à hauteur de 23,21%

L’AMF a publié un avis indiquant que 974.063 actions ont été présentées à l’OPA simplifiée. Le nombre d’actions présentées étant supérieur au nombre d’actions visé, soit 225.989 actions, il a été procédé à une réduction des demandes de rachat. Chaque actionnaire ayant présenté ses actions à l’OPAS est servi à 23,21% de sa demande. Les actions qui n’ont pas été acceptées dans le cadre de l’OPAS en raison de ce mécanisme de réduction seront restituées à leurs détenteurs. Maubert S.A., actionnaire de contrôle de Robertet, a été servie à hauteur de 225.243 actions, représentant 99,67% des actions visées par l’OPAS. Le règlement-livraison des actions apportées à l’OPAS sera effectué le 5 septembre 2022.

Robertet : les demandes ont été réduites

À l’issue de son OPA simplifiée lancée dans le cadre d’un programme de rachat d’actions au prix unitaire de 885 €, close le 26 août 2022, le spécialiste des produits aromatiques a reçu en dépôt 974.063 actions. Le nombre d’actions présentées étant supérieur au nombre maximum de 225.989 actions que Robertet s’était engagée à acquérir, il a été procédé à une réduction des ordres proportionnellement au nombre d’actions présentées à l’offre par chaque actionnaire.

Generix Group : il y aura un complément de prix !

Generix Group : il y aura un complément de prix ! A l’issue de l’OPA simplifiée au prix de 9,50 € par action, close le 19 août 2022, New Gen Holding (société contrôlée par Pléiade Investissement) détient désormais 96,20% du capital et 92,89% des droits de vote de cet éditeur de logiciels spécialisé. Dans la mesure où le seuil de mise en œuvre du retrait obligatoire est atteint, un complément de prix de 0,50 € sera versé par l’initiateur aux actionnaires ayant apporté leurs titres à l’offre.

Albioma :  l’OPA de KKR sera rouverte

A l’issue de son offre au prix de 50 € par action et de 29,10 € par bon de souscription, Kyoto BidCo (contrôlée par des fonds gérés par Kohlberg Kravis Roberts & Co) détient désormais 83,44% du capital de ce producteur d’énergies renouvelables et 99,95% des bons existants. Dès lors, l’OPA sera rouverte, conformément aux dispositions de l’article 232-4 du règlement général de l’AMF.

Umanis : le retrait obligatoire se dessine

Umanis : le retrait obligatoire se dessine. A la suite de son OPA simplifiée au prix de 17,15 € par action, close le 13 juillet, CGI France détient désormais 91,54% du capital de cette société de services et de conseils informatiques. Les conditions réglementaires étant remplies, CGI France va pouvoir demander la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.

Befimmo : Brookfield réussit son OPA et va la rouvrir de nouveau

À l’issue de son offre au prix de 47,50 € par action, Alexandrite Monnet Belgian Bidco, société contrôlée par un des fonds immobiliers privés de Brookfield, détient désormais 84,94% du capital de cette société immobilière réglementée, en tenant compte des actions auto-détenues. Par conséquent, Brookfield rouvre l’offre du 29 août au 16 septembre 2022 aux mêmes conditions, c’est-à-dire avec une prime de 51,8% par rapport au cours du 24 février 2022.

MediaForEurope (MFE, ex-Mediaset) contrôle 83% de sa filiale espagnole

A l’issue de son OPA lancée à la mi-mars 2022, le groupe de média italien, présent notamment dans la télévision (Canale 5, Italia 1, Rete 4…) et contrôlé par la famille de Silvio Berlusconi, détient désormais 82,92% du capital de Mediaset España Comunicación. Pour chaque action Mediaset Espagne, sa maison mère proposait 1,86 € en espèces et 4,5 actions nouvelles (MFE), soit une contrepartie totale de 5,613 €. Cette contrepartie faisait ressortir une prime de 12,1% sur le cours de MFE au 11 mars 2022 et une prime de 30,1% sur la moyenne des 3 derniers mois avant cette date. Cette offre « représente une avancée importante dans la création d’un groupe paneuropéen de médias et de divertissement », expliquait MFE, ce qui ouvre la voie à une fusion des activités italiennes, espagnoles et allemandes (avec la participation de 25% dans ProSiebenSat.1) au sein de MFE.

Hiolle Industries : le retrait obligatoire se dessine

A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 4,70 € par action, close le 7 juillet 2022, la famille Hiolle (Hiolle Développement) a porté son contrôle à 92,33% du capital et à 94,30% des droits de vote de ce groupe créé en 1976, spécialisé dans les services à l’industrie. Les conditions étant réunies, la mise en œuvre d’un retrait obligatoire sera demandée.

Ucar : le retrait obligatoire est en marche

A la suite de l’OPA simplifiée au prix de 59,15 €, close le 6 juillet 2022, GOA LCD, contrôlée par Cosmobilis, détient désormais 91,37% du capital et au moins 91,26% des droits de vote de ce spécialiste de la location courte durée. Les conditions requises étant remplies, GOA LCD demandera la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.

Europcar Mobility Group : il y aura un complément de prix

A l’issue de son OPA au prix de 0,50 € par action, close le 19 juin 2022, Green Mobility Holding (consortium composé de Volkswagen, Attestor et Pon) a porté son contrôle à 93,44% du capital de cet acteur européen de la location de véhicules, lui permettant de demander la mise en œuvre d’un retrait obligatoire. Dès lors, comme prévu, un complément de prix de 0,01 € par action sera versé à tous les actionnaires ayant apporté leurs actions à l’offre.

Itesoft : la CDML sous le seuil des 90%

A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 4 € par action, close le 24 juin 2022, la CDML, agissant de concert avec d’autres actionnaires, détient désormais 87,82% du capital et 92,63% des droits de vote de cette société spécialisée dans les logiciels de dématérialisation de documents. Dès le départ, l’initiateur avait précisé n’avoir pas l’intention de mettre en œuvre un retrait obligatoire.

1000mercis : l’OPA simplifiée ne fait pas le plein

A l’issue de l’OPA rouverte au prix de 30 € par action, close le 16 juin 2022, Positive YmpacT (contrôlée à parité par les fondateurs de 1000mercis) a porté son contrôle de 60,23% à 68,29% dans le capital de cet expert en CRM digital et marketing programmatique. Par conséquent, l’initiateur de l’offre ne pourra pas demander la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.

Europcar Mobility Group : l’OPA sera rouverte

Europcar Mobility Group : l’OPA sera rouverte. A l’issue de son offre publique au prix de 0,50 € par action, close le 10 juin 2022, Green Mobility Holding (consortium composé de Volkswagen, Attestor et Pon) détient désormais 87,38% du capital de cet acteur européen de la location de véhicules. L’offre a donc une suite positive et sera rouverte. Pour rappel, si le seuil de mise en œuvre du retrait obligatoire est atteint à l’issue de cette nouvelle fenêtre, Green Mobility Holding a prévu un complément de prix de 0,01 €.

Lagardère : Vivendi détient désormais 57% du capital

A l’issue de son OPA rouverte, close le 9 juin dernier, le groupe Vivendi a porté son contrôle de 55,43% à 57,35% du capital de Lagardère. Les actions présentées à la branche subsidiaire (octroi d’un droit de cession au prix de 24,10 € pour chaque action conservée) seront restituées aux actionnaires accompagnées de leurs droits de cession respectifs..

Tivoly : le retrait obligatoire se dessine

A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 42,05 € par action, close le 3 juin 2022, Holding Tivoly (contrôlé par Peugeot Frères Industrie) détient désormais 91,51% du capital et au moins 90,82% des droits de vote de ce spécialiste de l’outil coupant. Les conditions étant remplies, Holding Tivoly va demander la mise en œuvre d’une procédure de retrait obligatoire.

CNP Assurances : La Banque Postale réussit son OPA, sortie de cote en vue

A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 21,90 €, close le 31 mai 2022, LBP détient désormais 97,67% du capital et 98,49% des droits de vote de la compagnie d’assurances. Les conditions requises étant remplies, LBP demandera la mise en œuvre d’un retrait obligatoire. Il s’agit d’une nouvelle étape dans la constitution du grand pôle financier public annoncée par le ministre de l’Economie et des Finances, le 31 août 2018, ce qui favorisera « l’émergence d’un groupe simplifié et intégré, tout en préservant le modèle multi-partenarial et international qui fait le succès de CNP Assurances ».

Lagardère : Vivendi détient 55% du capital, l’OPA sera rouverte

A l’issue de son OPA amicale sur les actions du groupe Lagardère, ouverte du 14 avril au 20 mai 2022, Vivendi détient 55,43 % du capital et 45,85 % des droits de vote théoriques de Lagardère. Cette participation ne confèrera toutefois à Vivendi que 22,50% des droits de vote dans l’attente de l’autorisation de la prise de contrôle de Lagardère par les autorités de concurrence. Lire la suite

SMTPC : l’OPA simplifiée ne fait pas le plein

A l’issue de son offre close le 6 mai 2022, le concert d’actionnaires, composé de Vinci Concessions et d’Eiffage, a porté son contrôle de 66,21% (au moment de l’annonce de l’OPA) à seulement 68,30% dans le capital de la Société Marseillaise du Tunnel Prado Carénage. Des minoritaires avaient, il est vrai, vivement critiqué le prix d’offre, inférieur à leurs yeux à la valeur réelle de la société. Les initiateurs envisagent de demander le transfert des actions vers Euronext Growth.

Ramsay santé réussit son OPA sur GHP Specialty Care

Le 7 mars 2022, le leader européen de l’offre globale de soins, par l’intermédiaire de sa filiale suédoise Capio Group Services, a annoncé une offre publique recommandée en vue de l’acquisition de GHP Specialty Care, un fournisseur suédois de soins de santé spécialisés coté au Nasdaq de Stockholm. A l’issue de la clôture de la période initiale d’acceptation de l’offre, Capio contrôle 96,6% des actions et des droits de vote de GHP. Par conséquent, toutes les conditions requises pour la réalisation de l’offre ont été satisfaites et Capio a déclaré l’offre inconditionnelle. Le règlement de l’offre commencera autour du 2 mai 2022. Capio a l’intention d’engager une procédure de retrait obligatoire.

Akka Technologies : Adecco réussit haut la main son offre

A l’issue de son OPA au prix de 49 € par action (avec une prime de 99% à la clé), le géant suisse du travail temporaire détient désormais 96,97% des actions du groupe français d’ingénierie et de conseil. Adecco a également reçu 94,4% des obligations convertibles. Adecco compte lancer une procédure de reprise simplifiée pour racheter le solde des titres entre le 21 avril et le 11 mai 2022. A l’issue de cette dernière étape, les actions d’Akka Technologies seront retirées d’Euronext Bruxelles et d’Euronext Paris ainsi que du marché ouvert de la Bourse de Francfort pour les obligations convertibles. Adecco regroupera ensuite les activités d’Akka et de sa filiale Modis. La nouvelle entreprise générera environ 4 milliards d’euros de revenus et sera le numéro deux mondial sur le marché des services de recherche et développement en ingénierie avec 50.000 ingénieurs et experts numériques.

GrandVision : l’offre de retrait est finalisée

En référence au communiqué concernant les résultats finaux de l’offre publique d’achat d’EssilorLuxottica sur les actions de GrandVision et son intention de lancer une procédure de retrait obligatoire, les deux sociétés annoncent que le retrait obligatoire a été finalisé et qu’EssilorLuxottica détient désormais 100% du capital social de GrandVision.

Cecurity.com : Isagri frôle les 99%

Dans le cadre de l’offre volontaire de rachat au prix unitaire de 1,22 € par action Cecurity.com, ouverte du 7 mars 2022 au 8 avril 2022 inclus, 429.472 actions ont été présentées. A l’issue de l’offre, Isagri détient ainsi 9.791.055 actions Cecurity.com, soit 98,74 % du capital de cette société spécialisée dans l’archivage électronique et les solutions de coffres-forts numériques. Comme indiqué dans la note d’information, il a été demandé la radiation des actions Cecurity.com d’Euronext Access. La date de radiation sera communiquée par Euronext. Le règlement des produits des ventes sera effectué à compter du 19 avril 2022.

Prodware : Phast Invest dépasse le seuil des 90%

A l’issue de son OPA au prix de 8,80 €, close le 18 février 2022, le concert composé de cette structure et de ses dirigeants et actionnaires historiques détient désormais 92,82% du capital de cette société spécialisée dans l’édition-intégration et l’hébergement de solutions de gestion. Néanmoins, Phast Invest avait précisé n’avoir pas l’intention de mettre en œuvre de retrait obligatoire.

S.T. Dupont : D and D point pointe à 87%

A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 0,14 € par action, close le 9 février 2022, l’actionnaire de contrôle de cette entreprise spécialisée dans les produits de luxe détient désormais 87,04% du capital et au moins 92,50% des droits de vote de S.T. Dupont.

Prodware : l’OPA sera rouverte

A l’issue de son offre, close le 28 janvier 2022, Phast Invest, structure détenue par les dirigeants, actionnaires historiques de Prodware, détient désormais de concert 85,78% du capital de cette société spécialisée dans l’édition-intégration et l’hébergement de solutions de gestion. La condition minimale requise, à savoir la détention d’une fraction du capital ou des droits de vote supérieure à 50%, est satisfaite. L’offre a donc une suite positive. Une publication ultérieure précisera les dates et la durée de la réouverture de l’offre. Pour rappel, Phast Invest s’engage à acquérir les actions non détenues au prix unitaire de 8,80 €. Ce prix fait ressortir une prime de 66% sur le cours du 19 octobre 2021 et de 66,5% sur la moyenne des 60 dernières séances avant cette date. Phast Invest n’a pas l’intention de mettre en œuvre de retrait obligatoire.

SQLI : l’OPA sera rouverte

A l’issue de son offre, close le 28 janvier 2022, Synsion BidCo, société contrôlée par DBAY Advisors, détient désormais 65,30% du capital de cette agence digitale spécialisée dans le e-commerce. La condition minimale requise, à savoir la détention d’une fraction du capital ou des droits de vote supérieure à 50%, est satisfaite. L’offre a donc une suite positive. Une publication ultérieure précisera les dates et la durée de la réouverture de l’offre. Pour rappel, Synsion BidCo s’engage à acquérir les actions non détenues au prix de 31 € par action. Ce prix représente une prime de 18,3% sur le dernier cours coté avant l’annonce, au 22 septembre 2021, et une prime de 20,6% sur la moyenne des 60 dernières séances avant cette date. DBAY Advisors a l’intention de mettre en œuvre un retrait obligatoire s’il détient 90% du capital et des droits de vote à l’issue de l’offre.

Recticel : Greiner échoue dans son OPA inamicale

Recticel : Greiner échoue dans son OPA inamicale. À l’issue de son offre au prix de 13,50 € par action, close le 7 janvier 2022, le groupe autrichien n’a réussi qu’à recueillir 0,17% du capital de l’entreprise belge, spécialiste des mousses de polyuréthane. Pour rappel, Recticel avait estimé que l’offre de Greiner ne répondait pas aux intérêts légitimes de toutes les parties prenantes et les sous-évaluait. Le conseil d’administration avait reçu une attestation d’équité de KBC Securities indiquant que le prix d’offre de 13,50 € par action n’était pas équitable envers les actionnaires d’un point de vue financier.

Bel : le retrait obligatoire se dessine

Bel : le retrait obligatoire se dessine. À l’issue de son offre publique de retrait au prix de 550 €, close le 10 janvier 2022, Unibel a porté son contrôle de 95,46% à 97,41% du capital du groupe de fromages de marque et de snacking (La Vache qui rit, Mini Babybel, Kiri, Boursin, Nurishh…). Unibel, qui remplit d’ores et déjà les conditions de détention, a demandé de procéder au retrait obligatoire dès la clôture de l’offre. La suspension de la cotation des actions Bel est maintenue jusqu’à la mise en œuvre de cette procédure.

Pour rappel, un recours en annulation de la décision de conformité de l’AMF a été déposé devant la Cour d’appel de Paris. Si la Cour d’appel annulait ou réformait la décision de conformité, Unibel a pris plusieurs engagements. D’abord, la restitution des titres Bel acquis dans le cadre l’OPR aux anciens actionnaires qui en feraient la demande. Ensuite, le dépôt d’un projet modifié d’OPR (suivie d’un retrait obligatoire) conforme aux dispositions applicables et à la décision de la Cour d’appel de Paris. Enfin, le versement du complément de prix ou d’indemnisation, selon le cas, aux actionnaires qui n’ont pas demandé la restitution de leurs actions.

Fauvet-Girel : le transfert d’ABL est en marche

Fauvet-Girel : le transfert d’ABL est en marche. A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 15,90 € par action, close le 7 janvier 2022, Advanced Biological Laboratories (ABL), détient désormais 97,08% du capital de cette « coquille » qui n’exerce plus aucune activité depuis 2018. Les actionnaires vont maintenant être appelés à approuver en assemblée générale l’opération aux termes de laquelle l’activité d’Advanced Biological Laboratories Fedialis, filiale à 100% d’ABL, sera transférée à la société. Le transfert d’ABL France et la réorientation de l’activité en résultant seront par ailleurs assorties d’une demande de dérogation au dépôt d’une offre publique de retrait. La société ABL France aura vocation à être absorbée par la société, qui sera renommée ABL Diagnostics.

Suez : l’offre de Veolia Environnement sera rouverte !

Suez : l’offre de Veolia Environnement sera rouverte ! A l’issue de son OPA au prix de 19,85 €, close vendredi 7 janvier 2022, Veolia est en mesure de détenir, selon les résultats provisoires fournis par Euronext Paris, 86,22% du capital et des droits de vote de Suez. La condition minimale requise, à savoir la détention d’une fraction du capital ou des droits de vote supérieure à 50%, est satisfaite. L’offre a donc une suite positive. Conformément aux dispositions de l’article 232-4 du règlement général de l’AMF, l’OPA sera automatiquement rouverte dans les dix jours de négociation suivant la publication du résultat définitif de l’offre, dans des termes identiques à ceux de l’offre. L’AMF publiera le calendrier de réouverture de l’offre, qui durera au moins dix jours de négociation.

Pour mémoire, Veolia Environnement s’est engagé à acquérir la totalité des actions non détenues au prix unitaire de 19,85 €. Ce prix fait ressortir une prime de 98,7% sur le dernier cours coté au 30 juillet 2020, dernière séance avant l’annonce d’Engie sur la revue stratégique de ses actifs et notamment de ses options en ce qui concerne sa participation dans Suez. Ce prix fait également apparaître une prime de 97,3% sur la moyenne des cours des 3 derniers mois avant cette date. Si les conditions requises sont remplies, à savoir la détention d’une fraction du capital ou des droits de vote supérieure à 90%, Veolia demandera la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.

GrandVision : sortie de cote en vue

GrandVision : sortie de cote en vue. A l’issue de la période de post-acceptation qui a pris fin le 20 décembre 2021, EssilorLuxottica détient au total 99,84% des actions émises de GrandVision. Le règlement-livraison des actions apportées pendant cette période interviendra le 23 décembre 2021. La dernière séance des actions GrandVision sur Euronext Amsterdam sera le 7 janvier 2022. La cote et la négociation des actions prendront fin le 10 janvier 2022. Ayant acquis plus de 95% des actions, EssilorLuxottica a l’intention de lancer, dès que possible, la procédure de retrait obligatoire.

Artefact : le retrait obligatoire se dessine

Artefact : le retrait obligatoire se dessine. A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 7,80 € par action, close le 3 décembre 2021, BidSky (Ardian Expansion) a porté son contrôle de 54,20% à 93,31% dans le capital de cette agence spécialisée dans le conseil en stratégie data et dans le marketing digital. Les conditions requises étant remplies, la mise en œuvre d’une procédure de retrait obligatoire devrait avoir lieu. La suspension de la cotation des actions Artefact est maintenue jusqu’à nouvel avis.

GrandVision : EssilorLuxottica frôle les 100% à l’issue de son OPA

GrandVision : EssilorLuxottica frôle les 100% à l’issue de son OPA. Pendant la période d’acceptation, qui a pris fin le 3 décembre 2021, 33.225.412 actions ont été apportées dans le cadre de l’offre, représentant 13,06% des actions. En incluant les 220.537.421 actions déjà détenues, EssilorLuxottica détiendra un total de 253.762.833 actions, correspondant à 99,73 % du capital de GrandVision. Le règlement-livraison de l’offre et le paiement du prix interviendront le 8 décembre 2021.

Les actionnaires qui n’ont pas apporté leurs actions pendant la période d’acceptation auront la possibilité de les apporter aux mêmes conditions que l’offre, durant la période post-acceptation qui débutera le 7 décembre et prendra fin le 20 décembre 2021. Pendant cette période, les actionnaires n’auront pas le droit de retirer les actions apportées dans le cadre de l’offre, qu’elles aient été apportées pendant la période d’acceptation ou pendant la période post-acceptation.

Détenant plus de 95% des actions, EssilorLuxottica a l’intention de procéder au retrait des actions GrandVision de la cotation sur Euronext Amsterdam dès que possible.

IGE+XAO : Schneider Electric Industries sous les 90%

IGE+XAO : Schneider Electric Industries sous les 90%. À l’issue de l’OPA simplifiée au prix de 260 € par action, close le 24 novembre 2021, cette filiale du groupe Schneider détient désormais 83,93% du capital et 87,68% des droits de vote de cet éditeur de logiciels de CAO (conception assistée par ordinateur). Les conditions requises pour un retrait obligatoire n’étant pas remplies pour le moment, IGE+XAO restera cotée.

News Invest : les actions seront radiées à compter du 26 novembre 2021

News Invest : les actions seront radiées à compter du 26 novembre 2021. A l’issue de son offre volontaire de rachat au prix de 2,28 € par action, close le 18 novembre 2021, Marketing Finance International (MFI), agissant de concert avec certains actionnaires, détient désormais 97,32 % du capital. Dans la mesure où le groupe initiateur détenait déjà une participation supérieure à 90%, il a demandé la radiation des actions d’Euronext Access, qui interviendra à compter du 26 novembre 2021. New Invest invite les actionnaires minoritaires n’ayant pas apporté leurs titres à l’offre et souhaitant se trouver une liquidité à se rapprocher d’elle.

Faurecia détiendra 79,5% du capital d’Hella

Faurecia détiendra 79,5% du capital d’Hella, acteur majeur de l’éclairage et de l’électronique automobile. La période additionnelle d’acceptation de l’OPA des actions Hella, lancée par Faurecia le 27 septembre dernier, s’est achevée le 11 novembre 2021. Les actionnaires d’Hella ont apporté un nombre total de 21.662.359 actions au cours de la période d’offre. Ensemble avec la participation de 60% détenue par le pool familial, Faurecia acquerra 79,5% des actions Hella lors de la réalisation de l’opération. Cela représentera pour Faurecia un investissement de 5,3 milliards d’euros et permettra au groupe de bénéficier d’une plus grande flexibilité financière, en comparaison des 6,7 milliards d’euros que représentent 100% des actions Hella à 60 € par action.

Depuis l’annonce de la transaction le 14 août 2021, Faurecia et Hella ont progressé dans la préparation de leur intégration après réalisation de l’opération. Les deux groupes sont parfaitement alignés pour fonctionner efficacement dès le premier jour. La réalisation de l’opération, comprenant le règlement-livraison de l’offre publique, reste soumise à l’obtention de certaines autorisations réglementaires, attendue au début de l’année 2022.

Ivalis : le retrait obligatoire est imminent

Ivalis : le retrait obligatoire est imminent. À l’issue de l’OPA simplifiée au prix de 24,50 € par action, close le 12 novembre 2021, RGIS Spécialistes en Inventaire détient désormais 99,97% du capital et au moins 95,35% des droits de vote de cette société spécialisée dans la réalisation d’inventaires physiques de stocks. Les conditions requises étant remplies, RGIS demandera la mise en œuvre d’une procédure de retrait obligatoire.

Filae : le retrait obligatoire est en marche

Filae : le retrait obligatoire est en marche. A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 20,75 € par action, close le 12 novembre 2021, TreeHouse Junior, qui contrôle par ailleurs la société MyHeritage, détient désormais 95,88% du capital et 93,80% des droits de vote de ce portail de la généalogie. La suspension de la cotation des actions Filae est maintenue dans l’attente de la mise en œuvre du retrait obligatoire.

Voluntis : le retrait obligatoire est en marche

Voluntis : le retrait obligatoire est en marche. A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 8,70 € par action, close le 15 octobre 2021, Aptar Group détient désormais 96,53% du capital et 95,53% des droits de vote de ce pionnier des thérapies numériques. Les conditions requises étant remplies, l’initiateur va pouvoir demander à l’AMF la mise en œuvre d’un retrait obligatoire. La suspension de cotation des actions Voluntis est maintenue jusqu’à nouvel avis.

Iliad : le retrait obligatoire est en marche

Iliad : le retrait obligatoire est en marche. À la suite de son OPA simplifiée au prix de 182 € par action, close le 24 septembre 2021, HoldCo II, société contrôlée par Xavier Niel, détient désormais 96,46% du capital et 96,23% des droits de vote du groupe de télécommunications, maison mère de Free. Les conditions requises étant remplies, HoldCo II demandera à l’AMF la mise en œuvre d’une procédure de retrait obligatoire. La suspension de la cotation des actions Iliad est maintenue jusqu’à nouvel avis.

NHOA (ex-Engie EPS) : l’OPA simplifiée n’a pas séduit les actionnaires

NHOA (ex-Engie EPS) : l’OPA simplifiée n’a pas séduit les actionnaires. A l’issue de son offre au prix de 17,10 € par action, Taiwan Cement Corporation, via sa filiale Taiwan Cement Europe Holdings (TCEH), a porté son contrôle de 60,48% à 65,15% dans le capital de cette société spécialisée sur les systèmes de stockage d’énergie et les micro-réseaux. Il est vrai que le prix offert faisait apparaître une décote de 18,6% sur le dernier cours coté avant l’annonce de l’opération, le 20 avril dernier, et une décote de 6,3% sur la moyenne des cours des 60 séances avant cette date.

Philip Morris International réussit son offre sur Vectura

Philip Morris International réussit son offre sur Vectura. A l’issue de son OPA au prix de 165 pence (contre une offre initiale à 150 pence), le géant américain du tabac a acquis ou reçu des actions lui permettant de contrôler 74,77% du capital de cette société britannique spécialisée dans les inhalateurs médicaux. Les autres conditions étant levées ou satisfaites, l’offre est désormais inconditionnelle. Philip Morris International réaffirme son engagement à utiliser ses ressources et son expertise pour aider Vectura à développer son activité et aider PMI à réaliser ses ambitions.

Altur Investissement : l’OPA rouverte ne fait pas le plein

Altur Investissement : l’OPA rouverte ne fait pas le plein. A l’issue de son offre au prix de 5,80 € par action, qui s’est terminée le 15 septembre 2021, Altur Holding (société contrôlée par M. François Lombard) a porté son contrôle de 60,25% à 62,41% du capital de cette société de capital investissement. Altur Holding avait précisé n’avoir pas l’intention de demander la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.

Altur Investissement : l’OPA sera rouverte

Altur Investissement : l’OPA sera rouverte. A l’issue de son offre publique au prix de 5,80 € par action, close le 25 août 2021, Altur Holding (société contrôlée par M. François Lombard) détient 60,25% du capital de cette société de capital investissement. Les conditions requises étant remplies, l’OPA a une suite positive et sera rouverte. Une publication précisera les dates et la durée de la réouverture de l’offre conformément aux dispositions de l’article 232-4 du règlement général de l’Autorité des marchés financiers.

Idsud : toutes les demandes seront intégralement servies

Idsud : toutes les demandes seront intégralement servies. A l’issue de son OPRA par voie d’échange d’actions Française des Jeux (FDJ), à raison de 4 actions FDJ pour 1 action Idsud, qui portait sur un maximum de 536.503 actions, la société a reçu en dépôt 397.574 actions et non 317.837 comme annoncé initialement. Toutes les demandes seront donc intégralement servies et aucune réduction ne sera appliquée. Les actions rachetées seront annulées par Idsud dans les conditions et délais prévus par l’article R. 225-158 du Code de commerce et ne conféreront plus aucun droit social.

M2I : l’offre de Prologue ne fait pas le plein

M2I : l’offre de Prologue ne fait pas le plein. A l’issue de son OPE simplifiée, à raison de 11 actions nouvelles Prologue pour 1 action M2I, le groupe spécialisé dans les logiciels, les services informatiques et la formation, détient désormais 68,67% du capital et 63,25% des droits de vote de M2I. Pour rappel, cette OPE vise à renforcer les liens capitalistiques et opérationnels entre Prologue, O2i et M2i, avec l’objectif pour Prologue de détenir in fine 100% de l’activité d’O2i, simplifier la structure juridique du groupe et optimiser son organisation et limiter les frais, en ne maintenant la cotation que de deux sociétés (Prologue et M2i).

Baccarat : le retrait obligatoire se dessine

Baccarat : le retrait obligatoire se dessine. A la suite de son OPA simplifiée au prix de 190 € par action, close le 23 juillet 2021, Fortune Legend Limited (Tor Investment Management), détient désormais 97,60% du capital de cette cristallerie de renommée mondiale. Les conditions requises étant remplies, FLL devrait maintenant mettre en œuvre un retrait obligatoire.

Idsud : toutes les demandes seront intégralement servies

Idsud : toutes les demandes seront intégralement servies. A l’issue de son OPRA par voie d’échange d’actions Française des Jeux (FDJ), à raison de 4 actions FDJ pour 1 action Idsud, qui portait sur un maximum de 536.503 actions, la société a reçu en dépôt 317.837 actions. Toutes les demandes dans le cadre de l’OPRA seront donc intégralement servies et aucune réduction ne sera appliquée. Les actions rachetées seront annulées par Idsud dans les conditions et délais prévus par l’article R. 225-158 du Code de commerce et ne conféreront plus aucun droit social.

Tarkett : la famille Deconinck sous les 90%

Tarkett : la famille Deconinck sous les 90%. À l’issue de son OPA simplifiée au prix de 20 € par action, close le 9 juillet 2021, Tarkett Participation (famille Deconinck) détient 85,89% du capital et 84,98% des droits de vote de ce groupe spécialisé dans les revêtements de sol et les surfaces sportives. Les conditions n’étant pas réunies, Tarkett Participation ne pourra pas demander la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.

Bourrelier Group : M14 frôle les 100%

Bourrelier Group : M14 frôle les 100%. A l’issue de son OPR au prix de 52,50 € par action, le groupe familial Bourrelier (dont l’initiateur de l’offre, M14, fait partie) détient désormais 99,32% du capital et 99,17% des droits de vote de l’ex-Bricorama. À noter que M14 n’a pas l’intention de mettre en œuvre de retrait obligatoire. Pour mémoire, l’AMF avait fait droit aux demandes déposées de manière coordonnée par JG Capital Management (qui détenait 6,77% du capital), l’IDI (1,02%) et Lazard Frères Gestion (1,74%) en vue d’obtenir, sur le fondement de l’article 236-1 du règlement général, le dépôt d’une offre publique de retrait visant les actions Bourrelier Group. Ces actionnaires faisaient valoir « une absence de liquidité […] qui les empêche de céder leurs participations dans des conditions normales de délai et de cours ».

Natixis : les résultats officiels de l’OPA simplifiée

Natixis : les résultats officiels de l’OPA simplifiée. A l’issue de son offre publique au prix de 4 € par action, close le 9 juillet 2021, BPCE détient désormais 91,80% du capital et des droits de vote de cet établissement financier, spécialisé dans la gestion d’actifs et de fortune, la banque de financement et d’investissement, l’assurance et les paiements. Les conditions requises étant remplies, le groupe mutualiste va pouvoir demander la mise en œuvre du retrait obligatoire.

Videlio : le retrait obligatoire se dessine

Videlio : le retrait obligatoire se dessine. A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 2,60 € par action, close le 8 juillet 2021, Crozaloc (contrôlée par le concert composé de Talis, Comir et Theia Holding), détient désormais 91,57% du capital et 94,67% des droits de vote de ce concepteur de solutions audiovisuelles. Les conditions requises étant remplies, Crozaloc devrait maintenant mettre en œuvre un retrait obligatoire.

Natixis : BPCE franchit le seuil de 90% du capital ouvrant la voie à un retrait obligatoire

Natixis : BPCE franchit le seuil de 90% du capital ouvrant la voie à un retrait obligatoire. Dans le cadre de son OPA simplifiée au prix de 4 € par action, BPCE a franchi, jeudi 8 juillet, la veille de la clôture officielle, le seuil de 90% du capital et des droits de vote de Natixis, ce qui lui permettra de demander la mise en œuvre d’une procédure de retrait obligatoire, comme mentionné dans ses intentions relatives à l’offre publique.

Pour rappel, l’OPA de BPCE, qui devait être close initialement le 1er juillet dernier, avait été prolongée pour une durée de six jours de Bourse, soit jusqu’au 9 juillet 2021 inclus. « Une part du capital de Natixis (et donc du flottant résiduel) est détenue par des fonds indiciels qui n’ont pas été en mesure de décider l’apport à l’offre tant que BPCE n’avait pas franchi le seuil de détention de 85% », avait alors expliqué la banque mutualiste. « La prolongation de la durée de l’offre vise à permettre notamment à ces fonds indiciels de prendre leur décision en tenant compte du niveau de détention atteint par BPCE à ce jour ». Les résultats définitifs de l’offre feront l’objet d’un avis publié par l’AMF après sa clôture et la demande de retrait obligatoire interviendra dans la foulée.

Certes, le groupe BPCE réussit son OPA sur sa filiale bancaire, mais l’image de Natixis a été sensiblement écornée par cette opération dans la mesure où nombre de particuliers avaient participé à l’introduction en Bourse, fin 2006, au prix de… 19,55 € par action. Leurs arguments : le prix de l’offre publique est inférieur : 1) aux cours historiques de Natixis, notamment son cours d’introduction en Bourse en 2006 ; 2) à l’actif net comptable au 31 décembre 2020 (5,40 € par action) ; 3) à la valeur de la participation de Natixis dans les comptes sociaux de BPCE, soit 5,30 € par action.

La banque présentatrice et l’expert indépendant ont valorisé Natixis selon une analyse multicritères, avait constaté l’AMF. D’abord, « la référence à l’introduction de la société sur le marché réglementé est trop ancienne et, par conséquent, inopérante ». Ensuite, « la valeur d’utilité de Natixis inscrite dans les comptes de BPCE repose sur des paramètres, tenant compte de la situation spécifique de BPCE, lesquels sont différents de ceux retenus dans le cadre d’une valorisation de Natixis ». Enfin, « s’agissant de la référence à l’actif net comptable, celle-ci doit être relativisée en raison des contraintes réglementaires et du fait que la rentabilité des capitaux propres est inférieure au rendement attendu par les investisseurs, ce qui explique les décotes observées historiquement de la valeur des fonds propres par rapport aux actifs nets des banques françaises et européennes ».

En tout état de cause, « la prise en compte de ces deux références (valeur d’utilité et actif net comptable) au même rang que les critères mis en œuvre tant par la banque présentatrice que par l’expert indépendant, ne remet pas en cause le prix proposé par action ». Sur ces bases, l’AMF avait déclaré conforme le projet d’OPA simplifiée.

Eurogerm : le retrait obligatoire se dessine

Eurogerm : le retrait obligatoire se dessine. A l’issue de son OPA simplifiée au prix de 47,97 €, Novagerm (société contrôlée par des fonds gérés par Naxicap Partners) détient désormais 96,99% du capital de ce spécialiste des correcteurs de meunerie, améliorants de panification et ingrédients pour la filière blé-farine-pain. Les conditions requises étant remplies, Novagerm devrait maintenant mettre en œuvre un retrait obligatoire.

PSB Industries : le retrait obligatoire se dessine

PSB Industries : le retrait obligatoire se dessine. À l’issue de son OPA simplifiée au prix de 30 €, close le 28 mai 2021, Alpha 20 (contrôlée par Provendis, Union Chimique et Gustar Finance) détient désormais de concert avec d’autres actionnaires 92,01% du capital et 94,77% des droits de vote de ce spécialiste de l’emballage en cosmétique-parfumerie. Les conditions requises étant remplies, l’initiateur devrait donc demander la mise en œuvre d’un retrait obligatoire.