Avon Products en discussions avancées avec Natura & C

Avon Products en discussions avancées avec Natura & Co. Suite aux informations parues dans la presse, le fabricant américain de cosmétiques confirme aujourd’hui qu’il est en pourparlers avec le groupe brésilien concernant une éventuelle transaction entièrement en titres. « Il ne peut y avoir aucune assurance qu’une transaction résultera de ces discussions, tient toutefois à préciser Avon, qui n’a pas l’intention de faire d’autres commentaires sur ces discussions.

Entente dans la distribution : Bruxelles confirme des inspections inopinées

Entente dans la distribution : Bruxelles confirme des inspections inopinées. La Commission européenne confirme que, le 20 mai 2019, ses agents ont procédé à des inspections inopinées dans les locaux d’entreprises du secteur de l’alimentation au détail en France. Ces inspections font suite aux craintes de la Commission concernant deux entreprises de vente au détail qui pourraient avoir enfreint les règles de l’UE en matière d’ententes et d’abus de position dominante qui interdisent les ententes et les pratiques commerciales restrictives  en vertu de l’article 101 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Les fonctionnaires de la Commission étaient accompagnés de leurs homologues de l’autorité française de la concurrence.

Les inspections inopinées constituent une étape préliminaire de l’enquête sur des pratiques anticoncurrentielles présumées. Le fait que la Commission effectue de telles inspections ne signifie pas que les entreprises se sont rendues coupables de comportements anticoncurrentiels, pas plus qu’elle ne préjuge de l’issue de l’enquête elle-même. La Commission respecte les droits de la défense, en particulier le droit des entreprises à être entendues dans des procédures en matière d’ententes et de positions dominantes.

Les procédures relatives à des comportements anticoncurrentiels ne sont soumises à aucun délai légal. Leur durée est fonction d’un certain nombre d’éléments, dont la complexité de l’affaire, le degré de coopération des entreprises concernées avec la Commission et l’exercice des droits de la défense.

Boiron : la cotation reprendra lundi 21 mai 2019

Boiron : la cotation reprendra lundi 21 mai 2019 à l’ouverture de la Bourse. Les Laboratoires Boiron ont reçu le premier avis de la Commission de la transparence de la Haute autorité de santé (HAS), jeudi 16 mai 2019 en fin de journée, soit bien après sa fuite dans un média. « La diffusion par la presse de ce premier avis, censé être confidentiel, cause un réel préjudice aux salariés, clients et actionnaires du groupe », explique le groupe. Dans ce premier avis, la Commission de la transparence émet une recommandation défavorable au maintien de la prise en charge par l’assurance maladie des médicaments homéopathiques.

La procédure d’évaluation en cours prévoit qu’après réception de ce premier avis, les Laboratoires Boiron disposent de 10 jours pour transmettre des commentaires écrits ou pour demander une audition auprès de la HAS. Cette procédure permettra aux laboratoires de présenter leurs arguments quant au bien-fondé de la prise en charge des médicaments homéopathiques. A l’issue de cette procédure, la HAS rendra un avis définitif qui sera transmis à la Ministre des Solidarités et de la Santé pour décision. « 74% des Français qui ont recours aux médicaments homéopathiques les jugent efficaces et sont contre l’arrêt de leur remboursement (Ipsos, octobre 2018) », rappelle la société.

« Un déremboursement éventuel aurait des conséquences négatives pour les patients, pour les finances publiques et pour l’économie française, ajoute Boiron. La France génère 60% du chiffre d’affaires du groupe Boiron et un éventuel déremboursement menacerait un millier d’emplois ». La cotation des actions des Laboratoires Boiron, suspendue jeudi 16 mai 2019 en raison de la diffusion par un média d’une information confidentielle, reprendra lundi 20 mai 2019 à l’ouverture de la Bourse.

Liberbank et Unicaja Banco mettent un terme à leurs discussions

Liberbank et Unicaja Banco mettent un terme à leurs discussions. Les deux banques espagnoles, qui avaient entamé des pourparlers en vue d’une éventuelle fusion, n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur les conditions qui devaient sceller l’opération et donner naissance à la sixième banque espagnole en termes d’actifs. « Les parties n’ont pas trouvé d’accord sur un éventuel échange d’actions, donc le conseil d’Unicaja Banca a décidé à l’unanimité de mettre un terme aux négociations », a déclaré la banque dans un communiqué, dont les termes sont repris par Liberbank.

Confirmation de l’accord British Steel / Ascoval

Confirmation de l’accord British Steel / Ascoval. Le groupe British Steel a pris connaissance des informations de presse faisant état de difficultés potentielles de sa branche britannique. Il confirme que des négociations sont en cours avec le gouvernement britannique pour assurer la continuité de son activité et la poursuite de ses investissements en Grande-Bretagne, dans le contexte des incertitudes créées par le Brexit. Ces négociations font suite à un premier accord ayant permis d’obtenir un prêt de 120 M£ pour pallier des difficultés liées au système européen d’échange de quotas (CO2 ou Carbone).

Ces discussions n’ont pas d’impact sur la volonté du groupe British Steel de se porter repreneur de l’aciérie Ascoval de Saint-Saulve. Le groupe British Steel confirme qu’il entend apporter tous les financements négociés dans le calendrier prévu et respecter ainsi tous ses engagements afin de mener à bien ce projet de reprise sans délai supplémentaire. Comme prévu, la reprise sera effective demain, mercredi 15 mai.

Anadarko Petroleum : la voie est libre pour Occidental et pour Total

Anadarko Petroleum : la voie est libre pour Occidental et pour Total. Le groupe Chevron, qui avait signé un accord de fusion avec ce producteur américain d’or noir, a décidé de ne pas surenchérir sur l’offre d’Occidental. « Gagner dans n’importe quel environnement ne signifie pas gagner à tout prix », a déclaré son PDG, Michael Wirth. « La discipline en matière de coûts et de capital a toujours de l’importance et nous ne diluerons pas nos rendements ni ne réduirons la valeur pour nos actionnaires dans le but de conclure un accord ». Néanmoins, Chevron ne repart pas les poches vides. A la résiliation de la convention de fusion, Anadarko sera tenue de verser à Chevron une indemnité de résiliation de 1 milliard de dollars.

Pour rappel, Occidental propose désormais d’acquérir Anadarko dans le cadre d’une transaction à hauteur de 78% en espèces et 22% en actions. Pour une contrepartie globale de 76 $ par action Anadarko, chaque actionnaire recevra 0,2934 action nouvelle Occidental et 59 $ en espèces. Quant à Total, qui a signé un accord engageant avec Occidental, il va pouvoir acquérir des actifs d’Anadarko en Afrique pour un montant de 8,8 milliards de dollars. Cette cession était conditionnée au succès de l’offre en cours d’Occidental pour le rachat d’Anadarko. La finalisation de la transaction entre Occidental et Total devrait avoir lieu en 2020.

Intesa Sanpaolo ne voit aucun intérêt à fusionner

Intesa Sanpaolo ne voit aucun intérêt à fusionner avec une autre banque européenne. « Nous n’avons aucune proposition sur la table car nous ne voyons pas de synergies possibles à tirer d’une fusion avec un autre groupe bancaire européen », a déclaré Carlo Messina, administrateur délégué d’Intesa, après l’assemblée générale de la première banque de détail italienne, à Turin. Et d’ajouter : il n’est pas facile de « créer des synergies de coûts qui constituent le véritable problème de ce type de transactions ».

Deutsche Bank et Commerzbank mettent fin à leurs discussions

Deutsche Bank et Commerzbank mettent fin à leurs discussions. « Il y a quelques semaines, nous avons entamé des pourparlers avec la Commerzbank en vue d’un rapprochement de nos deux banques. Nous avons toujours dit que nous voulions jouer un rôle actif dans la consolidation du secteur bancaire européen. Pour cette raison, nous avons décidé d’évaluer cette option de manière approfondie », explique Christian Sewing, président du directoire de la Deutsche Bank, dans un message rendu public. « Cependant, nous avons maintenant décidé de ne pas poursuivre cette possibilité ». En effet, « après une analyse approfondie, nous avons conclu que cette transaction n’aurait pas généré suffisamment d’avantages pour compenser les risques supplémentaires d’exécution, les coûts de restructuration et les exigences de fonds propres associées à une intégration de cette ampleur ».

La Commission des sanctions de l’AMF sanctionne

La Commission des sanctions de l’AMF sanctionne une société en plan de continuation pour avoir dissimulé ses difficultés, ainsi que ses dirigeants (et leurs sociétés) pour manquements d’initiés. Dans sa décision du 16 avril 2019, la Commission a infligé à la société Montaigne Fashion Group, son ancien PDG, M. Edouard Hubsch et son ancien directeur général délégué en charge de la communication, M. Philippe Gellman, des sanctions respectivement de 90 000, 250 000 et 180 000 euros. Elle a en outre sanctionné trois sociétés liées aux dirigeants, les sociétés Jekiti Mar Capital, Financière du Phœnix et SCI Plainville, à hauteur de 75 000, 225 000 et 10 000 euros.

Communication financière défaillante d’un émetteur en plan de continuation

Les manquements à l’information retenus par la Commission ont pour caractéristiques communes la dissimulation au public des graves difficultés que traversait à l’époque des faits la société Montaigne Fashion Group, spécialisée dans la mode féminine, aujourd’hui en liquidation judiciaire.

Montaigne Fashion Group a attendu jusqu’au 27 avril 2015 pour communiquer au public l’information, privilégiée dès le 14 octobre 2014, relative à l’absence de paiement d’une échéance du plan de continuation adopté dans le cadre de sa procédure de redressement judiciaire, de sorte qu’elle a manqué à son obligation de communiquer dès que possible toute information privilégiée.

De plus, la société a communiqué des informations trompeuses dans ses communiqués de presse des 29 décembre 2014 et 20 février 2015, en suggérant qu’il n’existait aucune difficulté quant à l’exécution du plan de continuation et en dissimulant la gravité de ses difficultés financières.

La Commission a retenu que ces manquements, commis par Montaigne Fashion Group, étaient imputables à ses dirigeants, MM. Hubsch et Gellman.

Manquements d’initiés des dirigeants et de leurs sociétés

La Commission des sanctions a par ailleurs sanctionné les dirigeants de la société Montaigne Fashion Group et trois sociétés pour des manquements d’initiés qui s’inscrivent également dans le contexte des difficultés de Montaigne Fashion Group.

La Commission a ainsi retenu qu’en procédant, pour le compte des sociétés auxquelles ils étaient liés, à des cessions d’actions Montaigne Fashion Group, les deux dirigeants avaient utilisé les informations privilégiées qu’ils détenaient à raison de leurs fonctions, relatives à l’absence de paiement de l’échéance du plan de continuation en octobre 2014 et/ ou au dépôt subséquent, le 23 février 2015, d’une requête aux fins de résolution du plan de continuation par le commissaire à l’exécution du plan.

Enfin, les sociétés liées aux dirigeants ont manqué à leur obligation de déclarer à l’AMF leurs interventions sur le titre Montaigne Fashion Group, ce manquement ayant également été imputé à MM. Hubsch et Gellman.

Cette décision peut faire l’objet d’un recours.


Cerenis Therapeutics ne fusionnera pas avec H4Orphan Pharma

Cerenis Therapeutics ne fusionnera pas avec H4Orphan Pharma. Le conseil d’administration de cette société biopharmaceutique a décidé de ne pas poursuivre les discussions avec H4Orphan Pharma, une biotech française nouvelle dédiée au développement de thérapies pour traiter les maladies pulmonaires, en vue de conclure la fusion des deux sociétés et ce pour des divergences sur le projet de gouvernance de l’entreprise fusionnée.

Recticel a reçu une offre pour deux de ses divisions

Recticel a reçu une offre pour deux de ses divisions. Recticel annonce avoir reçu aujourd’hui une offre non contraignante et non sollicitée de Kingspan Group visant à acquérir les divisions Insulation et Mousses Souples pour une valeur d’entreprise de 700 millions d’euros sur une base libre de tout endettement et liquidité financière, sujet à des mécanismes d’ajustement.

L’offre non contraignante de Kingspan est subordonnée à un contrôle préalable et satisfaisant des livres, à un accord sur la documentation de la transaction (y compris une clause de modification défavorable importante) et à l’obtention des autorisations anti-trusts. Le conseil d’administration de Recticel analysera la proposition et informera le marché. « Il n’est pas certain que la proposition aboutisse à un accord de cession d’une ou de plusieurs divisions et, dans l’affirmative, si une autorisation anti-trust peut être obtenue », tient à préciser Recticel.

En 2018, la division Isolation a réalisé un chiffre d’affaires combiné de 271,2 millions d’euros et un Ebitda ajusté de 44,7 millions d’euros, et la division Mousses Souples a réalisé un chiffre d’affaires combiné de 621,5 millions d’euros avec un Ebitda ajusté de 41,5 millions d’euros. Sur Euronext Bruxelles, l’action Recticel a bondi de 20,8%, à 9 € (+40,8% depuis le 1er janvier), portant sa capitalisation à 497 millions d’euros.

Ekinops : fin des discussions avec Nokia

Ekinops : fin des discussions avec Nokia. A la suite d’articles de presse, ce fournisseur de solutions de télécommunications avait annoncé le 18 octobre 2018 avoir entamé des discussions préliminaires avec Nokia Corporation concernant une éventuelle acquisition d’Alcatel Submarine Networks (ASN). Depuis cette date, Ekinops a étudié la possibilité de rapprocher les deux entreprises et a discuté des termes de cette éventuelle opération avec Nokia. « Aucun accord n’a cependant été conclu et les discussions avec Nokia sont maintenant arrêtées », déclare la société.

Opérations de visite et saisie inopinées dans le secteur des vins et spiritueux

Opérations de visite et saisie inopinées dans le secteur des vins et spiritueux. Les services d’instruction de l’Autorité de la concurrence ont procédé, après autorisation d’un juge des libertés et de la détention, à des opérations de visite et saisie inopinées auprès d’entreprises suspectées d’avoir mis en œuvre des pratiques anticoncurrentielles dans le secteur des vins et spiritueux. « A ce stade, ces interventions ne préjugent bien évidemment pas de la culpabilité des entreprises concernées par les pratiques présumées, que seule une instruction au fond permettra, le cas échéant, d’établir », est-il précisé. L’Autorité de la concurrence ne fera aucun autre commentaire ni sur l’identité des entreprises visitées ni sur les pratiques visées.

Wynn Resorts met fin aux discussions avec Crown Resorts

Wynn Resorts met fin aux discussions avec Crown Resorts. « Suite à la divulgation prématurée des discussions préliminaires, Wynn Resorts a mis fin à toutes les discussions avec Crown Resorts concernant une éventuelle transaction », déclare le groupe américain dans un communiqué laconique. Le groupe australien, qui détient et exploite des complexes hôteliers intégrés et des casinos, avait confirmé que des discussions confidentielles avec Wynn Resorts étaient en cours en vue d’une offre. Wynn Resorts envisageait de lancer une offre mixte, moitié en espèces, moitié en titres, qui faisait ressortir une valeur implicite de 14,75 dollars australiens par action, soit une prime de 25,6% par rapport au cours de clôture de lundi.

Crown Resorts confirme des discussions avec Wynn Resorts

Crown Resorts confirme des discussions avec Wynn Resorts. Le groupe australien, qui détient et exploite des complexes hôteliers intégrés et des casinos, confirme que des discussions confidentielles avec son concurrent américain, numéro deux mondial des casinos, sont en cours en vue d’une offre. Wynn Resorts envisage de lancer une offre mixte, moitié en espèces, moitié en titres, qui ferait ressortir une valeur implicite de 14,75 dollars australiens par action, soit une prime de 25,6% par rapport au cours de clôture de lundi. « Les discussions entre Crown et Wynn en sont à un stade préliminaire et aucun accord n’a été conclu entre les parties en ce qui concerne la structure, la valeur ou les conditions d’une transaction », tient à préciser Crown. Et d’ajouter : « Il n’est pas certain que ces discussions aboutiront ».

Publicis Groupe confirme étudier l’éventuelle acquisition d’Epsilon

Publicis Groupe confirme étudier l’éventuelle acquisition d’Epsilon qui fait actuellement l’objet d’un projet de cession par Alliance Data Systems Corporation. Epsilon est un acteur majeur dans la data et les solutions marketing ciblées opérant essentiellement en Amérique du Nord. « Il est en effet du devoir des instances dirigeantes du Groupe d’examiner toute possibilité de se renforcer par des actifs s’inscrivant dans la stratégie de la Société et susceptibles d’apporter un service plus complet aux clients du Groupe, tout en préparant la compétitivité du Groupe dans l’avenir », explique Publicis dans un communiqué. Néanmoins, « en l’état actuel des discussions et de l’examen du dossier, le Groupe ne peut donner d’indications ni sur la probabilité d’une offre, ni en quels termes celle-ci serait faite au cas où le Groupe décidait de déposer une offre ».

Iliad conteste les griefs de l’AMF

Iliad conteste les griefs de l’AMF. Le groupe Iliad, maison-mère de Free, et son président Maxime Lombardini ont reçu une notification de griefs de l’Autorité des marchés financiers. Il est reproché à la société d’avoir retardé de quelques jours la communication au marché de son intérêt pour T Mobile US annoncé fin juillet 2014, et à son président (directeur général au moment des faits) deux opérations de cession d’actions début juillet 2014. Dans un court communiqué, Iliad et Maxime Lombardini contestent formellement ces griefs infondés.

EssilorLuxottica : Delfin saisit la CCI sur la crise de gouvernance

EssilorLuxottica : Delfin saisit la CCI sur la crise de gouvernance. La holding de Leonardo del Vecchio, premier actionnaire et président exécutif d’EssilorLuxottica, a annoncé mercredi soir qu’elle saisissait la Chambre de commerce internationale pour faire constater ce qu’elle qualifie de « violations de l’accord de rapprochement » entre Essilor et Luxottica. « Delfin annonce avoir déposé ce jour une demande d’arbitrage auprès de la Chambre de Commerce Internationale, en vue de faire constater les violations de l’Accord de Rapprochement de 2017, qu’elle considère avoir été commises par Monsieur Hubert Sagnières et la société EssilorLuxottica sous son impulsion », précise Delfin dans un communiqué, ajoutant qu’elle a informé EssilorLuxottica parallèlement. Delfin précise qu’elle veut « obtenir une injonction de se conformer au pacte jusqu’à son terme », en 2021 et dément « toute tentative de prise de contrôle d’EssilorLuxottica, qu’elle soit « rampante » ou « de fait » ».

Covéa porte plainte contre Scor

Covéa porte plainte contre Scor. Covéa, qui opère en France notamment via les marques GMF, MAAF et MMA, a pris connaissance du communiqué de presse de Scor du 25 mars 2019 et des accusations réitérées de Scor à son encontre. Covéa réaffirme avec fermeté que « les allégations de Scor sont totalement infondées.  Elles font, au demeurant, l’objet d’une plainte pour diffamation ».

Merck KGaA part à l’assaut de Versum Materials

Merck KGaA part à l’assaut de Versum Materials. Le groupe pharmaceutique et chimique allemand a décidé de se passer de l’accord de la direction du fabricant de composants électroniques, en présentant directement son offre aux actionnaires. Merck offre ainsi 48 $ par action Versum Materials, ce qui représente une prime de 51,7% par rapport au cours précédant l’offre d’Entegris (qui propose, de son côté, une offre en titres, à raison de 1,12 action Entegris par action Versum Materials). « Nous sommes fermement résolus à finaliser l’acquisition de Versum et l’offre publique d’achat est une étape sans ambiguïté dans la réalisation de cet objectif », a déclaré Merck dans une lettre adressée aux actionnaires de Versum Materials.

Deutsche Bank confirme les discussions avec Commerzbank

Deutsche Bank confirme les discussions avec Commerzbank en vue d’une éventuelle fusion. « Compte tenu des opportunités qui se présentent », le comité de direction de Deutsche Bank a décidé « d’examiner les options stratégiques » afin « d’améliorer le profil de croissance et la rentabilité de la banque », explique le premier établissement allemand dans un court communiqué, paru ce dimanche 17 mars. Dans ce contexte, « nous confirmons que nous avons engagé des discussions avec Commerzbank », en prévenant toutefois, selon la formule consacrée, qu’« il n’y a aucune certitude qu’une transaction sera conclue ». Sur la base des derniers cours, Deutsche Bank pèse 16,1 milliards d’euros, contre 8,9 milliards pour Commerzbank.

L’AMF met en garde le public

L’AMF met en garde le public. Le site internet www.parel-gestion.net propose aux particuliers d’investir notamment dans les métaux précieux. Or cette offre, soumise au régime de l’intermédiation en biens divers, ne dispose pas d’un numéro d’enregistrement délivré par l’AMF. En outre, le site usurpe le nom de l’entreprise d’investissement Parel SA. L’AMF recommande aux investisseurs de ne pas donner suite aux sollicitations des personnes opérant sur ce site et de ne pas les relayer auprès de tiers, sous quelque forme que ce soit.

Barrick Gold abandonne son projet de rachat hostile

Barrick Gold abandonne son projet de rachat hostile, qui valorisait Newmont Mining quelque 17,85 milliards de dollars. Néanmoins, le géant aurifère canadien a saisi l’idée de Newmont Mining de créer une coentreprise pour valoriser les mines des deux groupes situées dans le Nevada. Cette entité, qui sera détenue à hauteur de 61,5% par Barrick Gold et à 38,5% par Newmont Mining, devrait leur permettre de dégager des synergies annuelles avant impôts de 500 millions de dollars au cours des cinq premières années de son existence.

Aon renonce à acquérir Willis Tower Watson

Aon renonce à acquérir Willis Tower Watson. Suite aux informations publiées par l’agence Bloomberg, le groupe britannique de courtage confirme qu’il a bien étudié un projet de rapprochement avec son concurrent domicilié en Irlande, mais qu’il y a renoncé en raison notamment de son objectif de rendement du capital investi.

Newmont Mining rejette sans surprise l’offre de Barrick Gold

Newmont Mining rejette sans surprise l’offre de Barrick Gold. Après examen, le conseil d’administration du groupe aurifère américain a décidé à l’unanimité que l’offre non sollicitée de Barrick Gold n’était pas dans l’intérêt des actionnaires de Newmont Mining, tout en lui proposant à la place une coentreprise pour valoriser les mines des deux groupes situées dans le Nevada. « La proposition égocentrique de Barrick est conçue pour transférer de la valeur des actionnaires de Newmont vers ceux de Barrick », a ajouté Gary Goldberg, directeur général de Newmont, lors d’une conférence téléphonique. Pour rappel, le numéro un mondial du métal jaune propose une offre entièrement en titres. Pour chaque action Newmont Mining, Barrick Gold offre 2,5694 actions nouvelles, valorisant Barrick Gold quelque 17,85 milliards de dollars. A l’issue de la transaction, les actionnaires de Barrick Gold détiendraient 55,9% du nouvel ensemble et ceux de Newmont 44,1%.

Versum Materials rejette l’offre de Merck KGaA

Versum Materials rejette l’offre de Merck KGaA. Le conseil d’administration du fabricant de composants pour l’industrie des semi-conducteurs annonce avoir rejeté la proposition non sollicitée de Merck KGaA, reçue le 27 février 2019, d’acquérir Versum Materials pour 48 $ par action en espèces. « Après un examen minutieux, mené en consultation avec ses conseillers indépendants, le conseil d’administration a conclu que sa proposition n’était pas supérieure à celle d’Entegris », explique le groupe dans un communiqué. Selon les termes de l’accord de fusion, approuvé précédemment, les actionnaires recevront 1,120 action Entegris pour chaque action Versum Materials. A l’issue de la fusion, les actionnaires d’Entegris détiendront 52,5% du nouvel ensemble et ceux de Versum Materials 47,5%.

Prise de participation de l’Etat néerlandais : Air France-KLM sera très vigilant

Prise de participation de l’Etat néerlandais : Air France-KLM sera très vigilant. Le conseil d’administration du groupe Air France-KLM réuni le 27 février 2019 a pris acte de la prise de participation de 12,68% de l’Etat néerlandais dans le capital du groupe, sans aucune concertation. Cette opération intervient au moment où, après discussions avec ses partenaires dont l’Etat néerlandais, le groupe avait approuvé à l’unanimité, dans un esprit de dialogue et d’ouverture, les règles de sa nouvelle organisation managériale sous le leadership de Benjamin Smith, directeur général d’Air France-KLM. Le groupe s’apprêtait également à confirmer ses engagements vis-à-vis de l’Etat néerlandais visant à renforcer le développement de Schiphol comme hub européen et soutenir le développement de KLM.

Le conseil d’administration d’Air France-KLM sera très vigilant sur les conséquences de cette prise de participation pour le Groupe, ses collaborateurs, sa gouvernance et la perception du marché. Il fera en sorte que celle-ci n’affecte pas la nouvelle dynamique du groupe et de ses compagnies, impulsée par le directeur général du groupe. Le conseil appelle l’ensemble des dirigeants et des équipes à se concentrer sur le développement des activités commerciales et l’amélioration opérationnelle, pour qu’Air France-KLM reprenne sa place de leader du transport aérien européen.

Thales exclut de nouveau un rapprochement avec Alstom

Thales exclut de nouveau un rapprochement avec Alstom. Après l’avoir déjà indiqué lors du veto de Bruxelles, Patrice Caine, PDG du groupe d’équipements et de systèmes électroniques, déclare au Financial Times que les mêmes obstacles à la concurrence qui ont empêché un accord Siemens-Alstom rendraient une fusion Thales-Alstom « de facto impossible ». Et d’ajouter qu’il n’a pas été approché à ce sujet, malgré les rumeurs faisant état de pressions du gouvernement français.

General Electric (GE) devra payer une amende de 50 millions d’euros

General Electric (GE) devra payer une amende de 50 millions d’euros pour non-respect de ses engagements. Le groupe américain a rendu compte au ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, et à la secrétaire d’Etat, Agnès Pannier-Runacher, de la tenue de ses engagements. Les investissements réalisés en France représentent près d’un milliard d’euros. GE a recruté 3 000 personnes ces trois dernières années, se traduisant par la création de 25 emplois nets à fin 2018. L’évolution des marchés de l’énergie, et l’accélération de la transition énergétique limitant fortement le marché des turbines à gaz, n’ont cependant pas permis d’atteindre l’objectif de création de 1 000 emplois nets.

Dans ce contexte et conformément à ses engagements, GE a confirmé la création d’un fonds de réindustrialisation doté de 50 millions d’euros, qui sera logé à la Caisse des dépôts et consignations (CDC). Ce fonds sera piloté par un comité présidé par une personnalité spécialiste de l’industrie qui associera, outre des représentants désignés par l’entreprise, les collectivités concernées, notamment la Ville de Belfort, ainsi que les services de l’État.

GE a également marqué ses intentions de développement à long terme en France, notamment pour développer dans le domaine des énergies renouvelables. A ce titre, le projet d’intégration des activités de réseaux électriques au sein de la division énergies renouvelables (40 000 personnes, 14 milliards d’euros de chiffre d’affaires) permettra de conforter la localisation en France des centres de décision relatifs à ces activités, notamment pour l’éolien offshore.

Covéa répond à la Scor

Covéa répond à la Scor. Le conseil d’administration de Covéa s’est réuni le 30 janvier 2019 pour examiner la situation résultant des accusations et des procédures judiciaires engagées par Scor. Après en avoir pris connaissance, « le conseil d’administration de Covéa rejette fermement l’ensemble des accusations infondées proférées par Scor et réaffirme son soutien unanime à Thierry Derez et à son action », déclare l’assureur qui opère en France via les marques GMF, MAAF et MMA.

« Covéa fera valoir tous ses droits pour la défense de ses intérêts face à la grave atteinte réputationnelle résultant des mises en causes inacceptables de Scor, s’inscrivant dans une volonté manifeste d’instrumentalisation de la justice ». Et d’ajouter : « Les actions médiatiques et maintenant judiciaires engagées par Scor à l’encontre de Covéa, en seule réponse à une proposition amicale d’engager des discussions en relation avec un projet de rapprochement visant à constituer un groupe d’assurance d’ancrage français d’envergure mondiale, interrogent sur la défense de l’intérêt social de Scor et de l’intérêt de ses actionnaires ».

« Les manœuvres et procédures engagées par Scor, d’une agressivité inédite, portent une atteinte grave à l’image de la place de Paris, tant pour les actionnaires significatifs participant aux organes de gouvernance, qu’aux investisseurs qui ont été privés de la possibilité d’une proposition de valeur attractive dans le cadre d’un projet amical », conclut Covéa qui rappelle détenir 8,17% du capital de Scor.

Alès Groupe : discussions non-exclusives en vue d’un adossement

Alès Groupe : discussions non-exclusives en vue d’un adossement. A la suite d’informations publiées le 28 janvier 2019 sur le site Debtwire (Ales Groupe evaluates new money proposals to revitalise business following longstanding covenant breach), le spécialiste des produits cosmétiques et capillaires confirme avoir engagé, avec l’assistance d’un conseil financier, des discussions non-exclusives avec plusieurs investisseurs en vue d’un éventuel adossement. Cet adossement, dont la réalisation n’est pas certaine à ce stade, devrait notamment permettre l’accompagnement financier du plan de transformation initié par la société. Alès Groupe tiendra informé le marché de l’évolution de ces discussions en temps voulu. La cotation des actions Alès Groupe, qui avait été suspendue à compter du 29 janvier avant l’ouverture de la Bourse, reprendra à compter du 30 janvier 2019.

IAG ne fera pas d’offre sur Norwegian

IAG ne fera pas d’offre sur Norwegian. International Airlines Group (IAG), maison mère des compagnies Iberia, British Airways, Aer Lingus et Vueling, confirme dans un bref communiqué qu’elle n’a pas l’intention de faire une offre sur la compagnie aérienne norvégienne à bas coûts. Et d’ajouter : le moment venu, elle vendra sa participation dans le capital de Norwegian désormais diluée à 3,93%.

Scout24 rejette une offre de rachat

Scout24 rejette une offre de rachat. Dans un bref communiqué, le spécialiste allemand des petites annonces et de la publicité sur Internet révèle que les sociétés d’investissement Hellman & Friedman et Blackstone ont manifesté leur intérêt et proposé une OPA au prix de 43,50 € par action, valorisant Scout24 près de 4,7 milliards d’euros. Et de conclure : « le conseil d’administration de Scout24 AG a rejeté le prix de l’offre proposé, le considérant inadéquat ».

Millicom confirme les négociations concernant une offre potentielle

Millicom confirme les négociations concernant une offre potentielle. Le conseil d’administration de Millicom International Cellular a pris note hier des articles de presse récents et confirme avoir reçu « une proposition préliminaire hautement contraignante et hautement conditionnelle » de l’opérateur Liberty Latin America concernant une offre pour toutes ses actions. « Il n’y a aucune certitude qu’une transaction se concrétisera, ni en ce qui concerne les termes, le calendrier ou la forme », tient toutefois à prévenir Millicom. En cas d’accord, le nouvel ensemble créerait l’un des plus importants opérateurs de télécommunications en Amérique latine. En attendant, l’action Millicom a gagné 4,9% lundi, à 70,55 $, sur le Nasdaq, portant sa capitalisation boursière à 7,18 milliards de dollars.

Xilam Animation prend acte de la publication d’articles de presse

Xilam Animation prend acte de la publication d’articles de presse faisant état d’un intérêt de sa part pour les actifs des chaînes de télévision jeunesse du groupe Lagardère. Elle rappelle que comme tout acteur d’un marché, la société examine toutes les opportunités stratégiques qui se présentent à elle. La société n’a pas pour habitude de commenter les rumeurs de marché.

Bourbon précise sa position

Bourbon précise sa position. Comme publié dans la dernière information financière du 3e trimestre 2018, Bourbon confirme être toujours en recherche active de nouveaux partenaires financiers pour assurer son développement et déployer son plan stratégique #BourbonInMotion. A ce stade, toutes les solutions sont envisagées et les paramètres de ces nouveaux financements ne sont pas encore déterminés.

Pernod Ricard répond à la communication d’Elliott Management

Pernod Ricard répond à la communication d’Elliott Management.  Le groupe de vins et spiritueux prend note du communiqué du fond activiste Elliott. « Bien qu’il ne soit pas dans la politique du Groupe de commenter le contenu des échanges avec des actionnaires donnés, nous tenons à souligner que les membres de la direction de Pernod Ricard ont eu des discussions avec Elliott au cours des dernières semaines, explique Pernod Ricard. Le conseil d’administration de Pernod Ricard ainsi que son équipe de direction sont pleinement engagés à servir les intérêts du Groupe et de ses actionnaires, et continueront à agir pour réaliser cet objectif primordial ».

« Lors de notre dernière assemblée générale, nous avons confirmé nos prévisions pour 2018/19 d’une croissance interne de 5 à 7% sur notre résultat opérationnel courant. Nous avons également annoncé notre nouveau plan stratégique « Transform & Accelerate » avec l’objectif de consolider l’accélération de notre croissance, tout en continuant notre transformation », est-il ajouté. Pernod Ricard communiquera plus de détails sur sa performance financière le 7 février 2019, lors de l’annonce des résultats pour le premier semestre 2019.

« Sur les 3 dernières années, nous avons créé plus de 11 milliards d’euros de valeur et notre action a augmenté de 37,7%, dépassant significativement le CAC 40 (+5,6%) ou l’Eurostoxx Food & Beverage (-13,4%), déclare son PDG, Alexandre Ricard. Ceci dit, la création de valeur sur le long terme ne se mesure pas uniquement à l’aune du cours de l’action, mais également en prenant en compte l’intérêt de toutes les parties prenantes de Pernod Ricard : nos actionnaires, nos 19 000 collaborateurs, nos consommateurs, nos partenaires et fournisseurs. Notre stratégie est la bonne pour allier la rentabilité court-terme avec une croissance responsable, durable et profitable en ligne avec une feuille de route long-terme et cohérente. »

Engie confirme son intention de rester l’actionnaire de référence de Suez

Engie confirme son intention de rester l’actionnaire de référence de Suez. Le conseil d’administration, qui s’est réuni mardi 11 décembre 2018, confirme sa volonté de soutenir activement le développement de Suez en conservant son niveau actuel de participation (32%). « Suez, en tant qu’acteur mondial des services environnementaux, présente un potentiel remarquable dans les métiers d’avenir pour les territoires et pour les entreprises que sont la maîtrise de l’eau et l’économie circulaire, explique le groupe dirigé par Isabelle Kocher. Le conseil d’administration d’Engie soutiendra la stratégie de croissance et de création de valeur de Suez et les actions pour la mettre en œuvre ». Engie est prêt également à renforcer ses coopérations industrielles avec Suez dans le respect de l’indépendance des deux entreprises et des réglementations applicables notamment en matière de concurrence et de bonnes pratiques commerciales.

Mise en garde de l’Autorité des marchés financiers (AMF)

Mise en garde de l’Autorité des marchés financiers (AMF). Des individus se font passer pour des employés de la société Objectif Finance Investissements (OFI), dont ils usurpent le nom ainsi que les coordonnées. Ces personnes indiquent aux épargnants qu’ils sont en mesure de racheter des « pierres bleues d’investissements » que ces derniers auraient acquises sur des plateformes frauduleuses d’investissement, moyennant le paiement d’une caution. L’AMF recommande aux investisseurs de ne pas donner suite aux sollicitations des personnes proposant ces offres et de ne pas les relayer auprès de tiers, sous quelque forme que ce soit.

Logitech International met fin aux discussions avec Plantronics

Logitech International met fin aux discussions avec Plantronics. En réponse aux informations communiquées par les médias et conformément à la réglementation boursière suisse, le fabricant de périphériques informatiques a confirmé avoir été en discussion avec le concepteur américain de casques et d’écouteurs audio en vue d’une éventuelle transaction, mais ces pourparlers n’ont pas abouti. Logitech International n’a pas l’intention de commenter davantage. Au cours de 50,93 $, en hausse de 1,1% depuis le 1er janvier, Plantronics affiche une capitalisation de 2 milliards de dollars.

Technicolor confirme des discussions « à un stade préliminaire »

Technicolor confirme des discussions « à un stade préliminaire ». Des dépêches d’agence et des rumeurs de marché ont fait état d’éventuelles transactions impliquant Technicolor, explique le spécialiste des technologies de l’image dans un communiqué. Technicolor passe en revue et évalue régulièrement les options stratégiques envisageables pour ses activités, que ce soit sous forme d’acquisitions, de rapprochements ou de cessions, à la poursuite de l’intérêt social et de celui des parties prenantes de la société. Ceci peut passer par des discussions avec des concurrents ou avec des investisseurs financiers, est-il ajouté. Ce processus est en ligne avec la mission du management de poursuivre un objectif de création de valeur pour les actionnaires. A cet égard, Technicolor souligne que les discussions sont à un stade préliminaire. Aucune décision stratégique ou engagement n’a été pris. Technicolor ne commentera pas plus avant les rumeurs de marché.

Natixis reconfirme ne pas envisager une OPA sur Ingenico

Natixis reconfirme ne pas envisager une OPA sur Ingenico. A l’occasion de la publication de ses résultats sur les neuf premiers mois de l’année, la banque de financement, de gestion et de services financiers du groupe BPCE réitère ses ambitions stratégiques et financières communiquées le 12 septembre 2018. Dans l’optique d’accélérer sa croissance et la création de valeur en direction des objectifs du plan stratégique New Dimension, Natixis pourrait investir jusqu’à 2,5 milliards d’euros sur la période 2018-2020 (environ 0,4 Md€ déjà investis).

Ces investissements porteraient prioritairement sur les métiers de Gestion d’actifs et de fortune (par exemple : boutiques complétant l’offre existante, développement en Asie et sur le segment des alternatifs, actifs d’assurance vie), secondairement sur les Paiements, afin de prendre part au mouvement de consolidation de l’industrie (par exemple : acquisitions, combinaison d’actifs) et sur la BGC (par exemple : boutiques de M&A). A noter également côté Assurance, le projet de reprise de l’activité non-vie des Banques Populaires pour les clients particuliers mentionné lors de la présentation du plan stratégique New Dimension en novembre 2017.

Par ailleurs, et sous réserve de la réalisation du projet de cession des activités de banque de détail à BPCE SA, le scénario central de Natixis reste la distribution d’un dividende exceptionnel pouvant atteindre 1,5 milliard d’euros dans la mesure où aucune opportunité stratégique significative n’a été identifiée à ce jour. Enfin, suite au communiqué de presse publié le 11 octobre 2018, Natixis reconfirme ne pas envisager une OPA sur Ingenico.

Scor toujours attaché à son indépendance

Scor toujours attaché à son indépendance. A l’occasion de la publication des résultats pour les neuf premiers mois de l’année, Denis Kessler, président du groupe de réassurances, a réaffirmé son opposition à l’offre de Covéa, qui avait été formulée fin août au prix de 43 € par action. « A l’unanimité, le conseil d’administration ne souhaite pas que Scor devienne une filiale de Covéa », a-t-il déclaré. « Nous souhaitons garder l’indépendance du groupe. Nous considérons que l’offre qui a été formulée au mois d’août était une offre hostile », en précisant qu’aucune nouvelle offre n’avait été proposée depuis par Covéa. Dans un souci d’apaisement, rappelons-le, Thierry Derez, son PDG, a décidé de se mettre en retrait temporaire du conseil d’administration de Scor, jusqu’à l’assemblée générale appelée à se réunir en 2019.

DSV renonce à son projet d’OPA sur Ceva Logistics

DSV renonce à son projet d’OPA sur Ceva Logistics. Le groupe danois avait relevé le prix de son offre de 27,75 à 30 francs suisses par action Ceva, soit une prime de 60,4% sur le cours du 1er octobre 2018. Mais devant le refus du conseil d’administration d’engager des discussions, DSV a décidé de renoncer à son projet. Pour contrer DSV, rappelons-le, le groupe français CMA CGM, principal actionnaire de Ceva Logistics, a porté sa participation de 25% à environ 33%.

April confirme des marques d’intérêt

April confirme des marques d’intérêt. Suite aux rumeurs de marché, le groupe de services en assurance indique avoir « initié des discussions avec son actionnaire majoritaire dans le cadre de l’analyse des différentes options stratégiques et des possibles évolutions de sa participation au capital de la société ». April « confirme qu’elle fait l’objet de manifestations d’intérêt préliminaires », mais la société « ne commentera pas davantage sur d’éventuelles discussions et communiquera en temps voulu conformément à la réglementation en vigueur ». Au cours de 13,70 €, en hausse de 9,2% ce mardi 23 octobre, April affiche une capitalisation de 560 millions d’euros.

Yandex n’est pas à vendre

Yandex n’est pas à vendre. Suite aux spéculations récentes sur des modifications potentielles de la structure du capital, le principal moteur de recherche sur Internet en Russie a tenu à répondre aux rumeurs. « Quand nous avons fondé Yandex, il y a vingt et un ans, nous n’avions jamais rêvé que cela deviendrait une entreprise technologique de classe mondiale. Je suis extrêmement fier de ce que notre équipe a accompli », déclare Arkady Volozh, PDG et cofondateur qui, avec d’autres membres de la direction, détient 57% des droits de vote de la société. Et d’ajouter : « Nous continuons de satisfaire notre public avec des produits innovants qui améliorent la vie quotidienne de dizaines de millions de consommateurs. Et nous n’avons pas fini. Je suis déterminé à mener Yandex vers de nouveaux sommets et je n’ai pas l’intention de vendre mes actions dans la société ». Au cours de 27,42 dollars sur le Nasdaq, Yandex affiche une capitalisation de 8 milliards de dollars.

Ekinops discute avec Nokia

Ekinops discute avec Nokia concernant une éventuelle acquisition d’Alcatel Submarine Networks. Suite à des articles de presse portant sur une éventuelle opération financière impliquant Ekinops, fournisseur leader de solutions de télécommunications dédiées aux opérateurs de télécommunications, la société confirme avoir initié des discussions préliminaires avec Nokia Corporation concernant une éventuelle acquisition de la société Alcatel Submarine Networks. « Il n’y a aucune certitude à ce stade sur le fait que ces discussions puissent aboutir sur un quelconque accord ou une quelconque opération », tient à préciser la société

Rallye réfute fermement les allégations

Rallye réfute fermement les allégations de Madame Sophie Vermeille, conseil de fonds spéculatifs, relayées par Challenges et mettant en cause la validité de ses comptes. Rallye rappelle que ses comptes sont établis conformément aux principes comptables en vigueur en France et ont été certifiés sans réserve par les commissaires aux comptes. « Ces allégations, diffusées en pleine séance boursière, constituent un nouvel exemple de diffusion d’informations trompeuses et de tentative de déstabilisation systématiquement orchestrées depuis plusieurs mois par des vendeurs à découverts et des fonds spéculatifs », explique le holding de contrôle de Casino. Rallye a donc saisi l’Autorité des marchés financiers (AMF) et donné l’instruction à ses avocats d’engager les procédures adéquates.

Ceva Logistics rejette une proposition d’achat non sollicité

Ceva Logistics rejette une proposition d’achat non sollicitée. Le conseil d’administration de l’entreprise de logistique, cotée à la Bourse suisse, annonce qu’elle a reçu une proposition d’acquisition au prix de 27,75 francs suisses par action en espèces, soit une prime de 51% sur le cours de la veille (18,38 francs suisses). « Le conseil d’administration de Ceva Logistics a examiné soigneusement la proposition avec l’aide de ses conseillers juridiques et financiers et a conclu à l’unanimité que cette proposition n’était pas dans l’intérêt de l’entreprise ni de ses actionnaires », déclare Ceva dans un communiqué. « Plus précisément, le conseil d’administration est parvenu à la conclusion que cette proposition sous-évaluait de manière significative les perspectives de Ceva en tant qu’entreprise indépendante ». Dans ces conditions, le groupe français de transport maritime CMA CGM, qui possède environ un quart du capital, a l’autorisation d’augmenter le niveau de sa participation jusqu’à un tiers des droits de vote de Ceva Logistics avec effet immédiat.

OL Groupe dément les rumeurs de sortie de la cote

OL Groupe dément les rumeurs de sortie de la cote. « Pour faire suite à de fausses informations, OL Groupe tient à préciser qu’il n’y a aucun projet de retrait de la cotation boursière du titre OL Groupe », déclare la société organisée autour du club de football de l’Olympique Lyonnais. Par ailleurs, « L’Olympique Lyonnais confirme que l’EBE [Excédent Brut d’Exploitation] sur cessions de contrats joueurs réalisé depuis le 1er juillet 2018 s’élève à environ 30 millions d’euros ».

Casino dément à nouveau les rumeurs

Casino dément à nouveau les rumeurs. Aucune cession même partielle de Casino à Amazon ni aucune fusion avec Carrefour ne sont en préparation, déclare Jean-Charles Naouri, PDG du groupe de distribution, dans un entretien au Financial Times. A 69 ans, M. Naouri déclare aussi que sa succession se fera en interne, citant plusieurs dirigeants du groupe, y compris chez Monoprix et Franprix. S’agissant des cessions d’actifs, il dit avoir déjà atteint la moitié de son objectif, ajoutant que le cœur de l’activité de Casino en France ne serait pas inclus dans ce programme. Pour consulter l’entretien du FT.

Engie dément vouloir céder Electrabel

Engie dément vouloir céder Electrabel, sa filiale de centrales nucléaires en Belgique, ainsi que sa participation dans la Compagnie nationale du Rhône (CNR). « Il n’y a aucun projet de cession d’Electrabel ni de la participation dans CNR », a déclaré un porte-parole du groupe Engie, interrogé par l’agence Reuters. Ce démenti fait suite à un article du Canard Enchaîné, en date du mercredi 26 octobre, selon lequel la directrice générale d’Engie, Isabelle Kocher, a proposé au président d’EDF de vendre au groupe public d’électricité les sept réacteurs nucléaires exploités en Belgique par Electrabel, ainsi que sa participation de 49,98% dans la CNR.

Casino dit avoir été approché par Carrefour qui dément !

Casino dit avoir été approché par Carrefour qui dément ! « Casino a été sollicité depuis quelques jours par Carrefour en vue d’une tentative de rapprochement », explique le groupe de distribution dirigé par Jean-Charles Naouri. Le conseil d’administration de Casino s’est en conséquence réuni hier 23 septembre 2018. Il a réitéré à l’unanimité sa totale confiance dans la stratégie créatrice de valeur de Casino fondée sur un positionnement unique. Le groupe Casino entend ainsi « mener toutes les actions nécessaires pour défendre l’intérêt social et l’intégrité du Groupe, facteur de succès de cette stratégie ».

Le conseil d’administration a aussi constaté les obstacles, en France et au Brésil, au rapprochement avec Carrefour, en particulier en matière de concurrence et d’emplois. Il a décidé à l’unanimité de ne pas donner suite à cette approche. Il observe également que celle-ci est faite alors que le marché du titre Casino a fait l’objet de manipulations spéculatives coordonnées à la baisse d’une ampleur inédite depuis plusieurs mois.

« Les difficultés auxquelles sont confrontés le groupe Casino et son actionnaire de contrôle ne peuvent justifier des communications intempestives, trompeuses, et dénuées de tout fondement », déclare de son côté le groupe dirigé par Alexandre Bompard. Carrefour dément avoir sollicité Casino et s’étonne que l’on ait soumis au conseil d’administration de Casino une proposition de rapprochement qui n’existe pas. « Concentré sur l’exécution de son plan de transformation 2022, Carrefour examine les voies de droit à sa disposition à même de faire cesser ces insinuations inacceptables ».

Vicat confirme des discussions avec Ciplan

Vicat confirme des discussions avec Ciplan. Suite à un article paru ce jour dans le quotidien brésilien Valor Economico (qui révèle que le groupe français négocie l’achat du cimentier brésilien Ciplan), Vicat confirme l’existence de discussions avec la société Ciplan. Le groupe Vicat ne souhaite faire à ce stade aucun commentaire additionnel et communiquera en temps voulu, conformément à la réglementation.

TF1 activement recherchée en Bourse

TF1 activement recherchée en Bourse. L’action de la première chaîne de télévision gagne 4,7%, à 9,08 €, après avoir touché un plus haut à 9,105 €, soit une avance de 9,8% sur les cinq dernières séances. Alors qu’il était interrogé sur les perspectives de rapprochement dans le secteur en Europe, Pier Silvio Berlusconi, fils de l’ancien président du Conseil et vice-président de Mediaset, a déclaré hier travailler sur « quelque chose de grand et de complexe », sans donner davantage de précisions. Ces propos ont déclenché un mouvement de spéculation sur TF1, vu comme un acteur susceptible de participer à ces grandes manœuvres. Interrogée par l’agence Reuters, une porte-parole de TF1, filiale de Bouygues, a toutefois déclaré qu’il n’y avait pas de discussions en cours sur une opération majeure avec Mediaset.

Amer Sports confirme avoir été approché par Anta

Amer Sports confirme avoir été approché par Anta. En réponse à plusieurs articles de presse, le groupe finlandais Amer Sports (propriétaire des marques Salomon, Atomic, Wilson, Mavic, etc.) confirme avoir reçu une marque d’intérêt préliminaire non contraignante émanant d’un consortium composé du chinois Anta Sports Products et de la société asiatique de capital-investissement FountainVest Partners en vue d’acquérir la totalité du capital d’Amer Sports. Conformément à cette marque d’intérêt, les actionnaires d’Amer Sports seraient en droit de recevoir une contrepartie en espèces de 40 € pour chacune de leurs actions, soit une prime de 39% sur le dernier cours coté avant l’annonce, valorisant la société 4,6 milliards d’euros. Amer Sports rappelle toutefois aux actionnaires que cette marque d’intérêt est soumise à un certain nombre de conditions et que la réalisation d’une quelconque OPA par le consortium serait soumise à d’autres conditions. « A l’heure actuelle, précise le groupe, Amer Sports n’est engagé dans aucune négociation avec le consortium et n’a pris aucune décision concernant la marque d’intérêt ».

Scor réaffirme son indépendance

Scor réaffirme son indépendance et prend acte de la décision de Covéa de retirer sa proposition sur un éventuel rapprochement. Le 30 août, le conseil d’administration de Scor a examiné en détail les termes et conditions de cette proposition non sollicitée. Il a conclu « qu’elle était fondamentalement incompatible avec la stratégie d’indépendance de Scor, qui est un facteur clé de son développement, qu’elle remettrait en cause son projet industriel fortement créateur de valeur et qu’elle ne reflète ni la valeur intrinsèque de Scor ni sa valeur stratégique », comme l’indique le 4e réassureur mondial dans un communiqué. Ce projet suscite l’opposition unanime du comité exécutif de Scor. Dans ces conditions, « tout projet d’offre publique serait réputé hostile ». En conséquence, le conseil d’administration de Scor a voté à l’unanimité le refus d’engager des discussions avec Covéa. Il a réaffirmé sa totale confiance dans la direction de Scor pour continuer à créer de la valeur.

Ontex Group rejette l’offre révisée de PAI Partners

Ontex Group rejette l’offre révisée de PAI Partners. Le conseil d’administration du fabricant belge de produits d’hygiène jetables pour enfants et adultes (couches, culottes, serviettes hygiéniques…) a rejeté à l’unanimité l’offre révisée de la société de capital-investissement « qui était inférieure à la valeur de sa proposition précédente » (27,50 € par action). PAI Partners, de son côté, a informé Ontex qu’elle considérait également que l’affaire était classée. Sur Euronext Bruxelles, l’action dévisse de 19,1%, à 19,99 euros, ce qui porte son recul à 27,5% depuis le 1er janvier.

Le 8 juillet dernier, PAI Partners avait pourtant relevé les conditions de son offre, en proposant 27,50 € par action (le prix initial n’avait pas été divulgué), soit une prime de 41,7% sur le dernier cours coté, jeudi 5 juillet (19,41 €), veille de l’annonce de la première approche. Ce prix valorisait Ontex 2,26 milliards d’euros, soit peu ou prou le chiffre d’affaires réalisé en 2017 (2,36 milliards d’euros). A l’époque, alors qu’il n’était pas en mesure de recommander cette proposition révisée, le conseil d’administration d’Ontex avait permis à PAI Partners d’avoir accès à la data room et de réaliser une « due diligence ». Au terme de l’examen approfondi des comptes, la société d’investissement a donc proposé un prix inférieur à celui avancé initialement.

« L’approche de PAI Partners a renforcé notre détermination à générer de la valeur plus rapidement », a déclaré Luc Missorten, président du conseil d’administration d’Ontex. Ajoutant : le conseil « procède actuellement à un examen complet des options pour accélérer la création de valeur au profit de nos actionnaires. Le conseil s’attend à ce que cet examen soit terminé d’ici la fin du quatrième trimestre 2018 ».

Pour rappel, parmi les principaux actionnaires d’Ontex, on trouve : Groupe Bruxelles Lambert (15,01%), UBS Group (5,47%), Harris Associates (5,14%), Black Creek Investment Management (5%), Janus Capital Management (4,75%), The Pamajugo Irrevocable Trust (3,64%), Blackrock (3,49%), SYZ Asset Management Luxembourg (3,28%), Allianz Global Investors (3,06%) et Axa Investment Managers (3,02%).

LaSalle Hotel Properties n’exclut pas une proposition supérieure

LaSalle Hotel Properties n’exclut pas une proposition supérieure. Le conseil d’administration du groupe hôtelier, qui possède 41 établissements haut de gamme représentant 10.400 chambres dans sept Etats américains et Washington DC (District de Columbia), estime que la proposition d’achat de Pebblebrook Hotel Trust pourrait être supérieure à celle de Blackstone.

Jusqu’à présent, LaSalle Hotel Properties est tenu par les termes de l’accord conclu avec Blackstone, le 20 mai dernier. La société d’investissement américaine s’engage à acquérir chaque action LaSalle au prix de 33,50 $, soit une prime de 35% sur le cours du 27 mars, veille de l’annonce de la première offre de Pebblebrook Hotel Trust.

Mais Pebblebrook Hotel Trust est revenu à la charge, le 21 août, en proposant une part en cash plus importante. Pour chaque action LaSalle apportée, cette société d’investissement immobilier offrirait ainsi 0,92 action Pebblebrook avec la possibilité de recevoir 37,80 $ en espèces pour 30% des actions apportées.

Le temps presse, car l’assemblée générale extraordinaire des actionnaires de LaSalle est convoquée pour le 6 septembre 2018 afin de ratifier l’accord avec Blackstone.

Tesla restera coté sur le Nasdaq

Tesla restera coté sur le Nasdaq. Le conseil d’administration du constructeur de voitures électriques s’est réuni jeudi et a décidé de ne plus poursuivre le projet de retrait de la cote annoncé par Elon Musk, comme l’indique un communiqué publié par les membres indépendants du conseil (Brad Buss, Robyn Denholm, Ira Ehrenpreis, Antonio Gracias, Linda Johnson Rice et James Murdoch). Lors de cette réunion, « Elon a informé le conseil qu’après avoir effectué ce travail [d’évaluation] et pris en compte tous les facteurs, il pense que la meilleure solution consiste à ne plus poursuivre ce projet de retrait », est-il précisé. « Après en avoir discuté, nous avons dissous le comité spécial [constitué pour l’occasion]. Le conseil d’administration et l’ensemble de la société restent concentrés sur le succès opérationnel de Tesla et nous soutenons pleinement Elon alors qu’il continue à diriger la société ».

L’entrepreneur avait surpris les investisseurs, le 7 août, en annonçant par un simple tweet qu’il voulait retirer Tesla de la cote au prix de 420 $ par titre, en précisant que le financement était assuré. Il va devoir sans doute rendre des comptes car, après avoir bondi le même jour de 22,9% à 387,50 $, l’action vaut désormais 322,82 $.

Rite Aid et Albertsons Companies ne fusionneront pas

Rite Aid et Albertsons Companies ne fusionneront pas. La chaîne de pharmacies américaine a annoncé qu’elle avait convenu avec le groupe de distribution de résilier leur accord de fusion précédemment annoncé. « Bien que nous croyions aux avantages du rapprochement avec Albertsons, nous avons entendu les opinions exprimées par nos actionnaires et nous nous sommes engagés à poursuivre notre plan stratégique en tant que société indépendante », a déclaré John Standley, PDG de Rite Aid. A noter que ni Rite Aid ni Albertsons ne seront redevables de paiements à l’autre partie du fait de la résiliation de l’accord de fusion.

Elliott dément avoir pris une participation dans Mediobanca

Elliott dément avoir pris une participation dans Mediobanca. En fin de semaine, le quotidien La Repubblica indiquait que le fonds activiste avait pris une participation de l’ordre de 1% dans la banque d’investissement italienne et pourrait encore se renforcer avec pour objectif d’en modifier la gouvernance et de l’inciter à céder sa participation de 13% dans l’assureur Generali. « Elliott Advisors (UK) confirme que les fonds qu’il conseille n’ont aucune position […] sur Mediobanca », a déclaré en réponse une porte-parole du fonds américain.

Inmarsat : EchoStar jette finalement l’éponge

Inmarsat : EchoStar jette finalement l’éponge. Le groupe américain a pris acte du rejet de sa nouvelle proposition par le conseil d’administration de l’opérateur britannique de satellites et a décidé de renoncer à son offre d’achat. Selon les termes de la proposition améliorée, les actionnaires d’Inmarsat auraient eu droit à 265 pence en espèces et 0,0777 action nouvelle EchoStar pour chaque action Inmarsat, soit une contrepartie totale de 532 pence, valorisant Inmarsat à 2,45 milliards de livres sterling.

Engie ne prépare pas d’offre sur EDP Renováveis

Engie ne prépare pas d’offre sur EDP Renováveis. Suite aux rumeurs récentes concernant l’intention d’Engie de lancer une offre publique d’achat sur les titres émis à la cotation par EDP Renováveis et à la demande de l’autorité de marché portugaise (CMVM), Engie précise qu’en tant qu’acteur majeur de l’énergie en Europe et à l’international, le Groupe analyse en permanence les opportunités d’investissement. Cela étant, aucune décision d’Engie n’a été prise concernant EDP Renováveis S.A. et le lancement d’aucune offre publique d’achat sur les titres d’EDP Renováveis S.A n’est actuellement en cours de préparation.

Eutelsat ne lancera finalement pas d’offre sur Inmarsat

Eutelsat ne lancera finalement pas d’offre sur Inmarsat. Compte tenu des rumeurs de marché, l’opérateur français de satellites a publié, à la demande du Takeover Panel and Mergers britannique, un communiqué le 25 juin en cours de séance confirmant examiner la possibilité de présenter une offre sur les titres Inmarsat, sans toutefois aucune certitude quant à la remise effective d’une offre. Ce communiqué a été fait pour des raisons de conformité avec la règle 2.2 du Takeover Code (code britannique régissant les offres publiques d’achat). Aujourd’hui, Eutelsat annonce ne pas avoir l’intention de déposer une offre sur les titres Inmarsat. En conséquence, Eutelsat est tenu par la règle 2.8 du Takeover Code, imposant des restrictions à la faculté de déposer une offre sur Inmarsat pendant 6 mois, sauf accord préalable du Panel.

Eutelsat envisage de lancer une offre sur Inmarsat

Eutelsat envisage de lancer une offre sur Inmarsat. « Eutelsat Communications constate les récentes spéculations et confirme évaluer actuellement la possibilité d’une offre sur Inmarsat », a indiqué l’opérateur français de satellites dans un bref communiqué. « Il n’existe aucune certitude sur le fait qu’une offre sera faite, ni sur les termes d’une éventuelle offre », tient toutefois à préciser Eutelsat, ajoutant qu’une « nouvelle annonce sera faite en temps voulu ». Selon le règlement britannique des fusions et acquisitions, Eutelsat a jusqu’au 23 juillet pour déposer une offre ferme ou renoncer à en déposer une. Le 8 juin dernier, le conseil d’administration d’Inmarsat avait rejeté une proposition d’achat de son rival américain EchoStar, au motif qu’elle « sous-estimait très significativement » la société. A la clôture, Inmarsat s’adjuge 4,3%, à 632,20 pence, tandis qu’Eutelsat abandonne 6,2%, à 16,53 €.

Prenez garde à la technique de la bouilloire !

Prenez garde à la technique de la bouilloire ! La « boiler room », ou technique de la bouilloire, est une pratique dans laquelle une entité ne bénéficiant d’aucune autorisation se présente comme une société de courtage ou une société de gestion d’actifs et approche les investisseurs – sans y être invitée et souvent par téléphone – pour leur vanter le potentiel d’un actif dans lequel elle détient des intérêts. En utilisant des tactiques agressives de vente et en promettant des rendements élevés, l’objectif des manipulateurs est d’inciter à investir dans l’actif concerné pour leur permettre de céder leurs titres à un cours élevé.

Ce type de fraude, qui existe depuis de nombreuses années, peut porter sur des sociétés cotées sur différents marchés européens et peut viser les investisseurs particuliers dans toute l’Europe. L’AMF a reçu plusieurs signalements indiquant que des recommandations d’achat suspectes sont actuellement émises sur des actions cotées sur Euronext Access, à savoir : Arthur Maury, Design your Home, Gentlemen’s Equity, Orclass et Sumo Resources Plc.

L’AMF dispose d’éléments indiquant que ces recommandations d’achat pourraient se baser sur des informations fausses ou trompeuses et/ou dissimulent des conflits d’intérêts existants. Certains agissements pourraient constituer des infractions pénales. L’AMF appelle les épargnants à la plus grande vigilance

Renault n’absorbera pas Nissan ou Mitsubishi

Renault n’absorbera pas Nissan ou Mitsubishi. Lors de l’assemblée générale du groupe Mitsubishi au Japon, Carlos Ghosn, président de l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, a été on ne peut plus clair : « Quiconque demandera à ce que Nissan et Mitsubishi deviennent des filiales à 100% de Renault a zéro chance de parvenir à ses fins ». Et d’ajouter : « Nous ne croyons pas qu’une entreprise qui domine les autres soit quelque chose de durable ». Des propositions devraient être faites aux principaux actionnaires de l’alliance au début du nouveau mandat de Carlos Ghosn.

LaSalle Hotel Properties confirme son soutien à l’OPA de Blackstone

LaSalle Hotel Properties confirme son soutien à l’OPA de Blackstone. Le conseil d’administration du groupe hôtelier, qui possède 41 établissements haut de gamme représentant 10.400 chambres dans sept Etats américains et Washington DC (District de Columbia), estime que la proposition d’achat de Pebblebrook Hotel Trust, reçue le 11 juin 2018, n’était pas supérieure à celle de Blackstone. Au terme de l’accord conclu le 20 mai dernier, la société d’investissement américaine s’engage à acquérir chaque action LaSalle Hotel Properties au prix de 33,50 $, soit une prime de 4,9% par rapport au dernier cours avant l’annonce et une prime de 35% par rapport au cours du 27 mars, veille de l’annonce de la première offre de Pebblebrook Hotel Trust.

Mineral Deposits Limited (MDL) rejette l’offre améliorée d’Eramet

Mineral Deposits Limited (MDL) rejette l’offre améliorée d’Eramet. Le conseil d’administration du groupe minier australien recommande à l’unanimité aux actionnaires de rejeter l’offre majorée de 1,75 dollar australien par action MDL. Selon le conseil, l’offre d’Eramet « continue de sous-évaluer les actions MDL », le prix restant « inférieur à la fourchette de juste valeur de l’expert indépendant de 2,04 à 2,52 dollars australiens ». « Bien que le conseil se réjouisse d’une augmentation du prix de l’offre, les administrateurs maintiennent que l’offre révisée ne reflète toujours pas la valeur réelle de la société », a déclaré Nic Limb, président de MDL.

Stryker dément négocier le rachat de Boston Scientific

Stryker dément négocier le rachat de Boston Scientific. Le fabricant américain d’équipements médicaux a démenti mercredi négocier l’achat de son concurrent, après des informations de presse évoquant un rapprochement entre les deux groupes. « Stryker n’est pas en discussion avec Boston Scientific au sujet d’une possible acquisition », a ainsi déclaré la société. Le Wall Street Journal avait indiqué lundi que Stryker avait approché Boston Scientific en vue d’un rapprochement, afin de donner naissance à un géant du secteur, susceptible de rivaliser avec Medtronic.

BCA Marketplace rejette les avances d’Apax

BCA Marketplace rejette les avances d’Apax. Le groupe britannique, spécialiste de la vente de véhicules d’occasion, a fait l’objet d’une approche préliminaire et conditionnelle de la part d’Apax concernant une offre en numéraire de 200 pence par action, valorisant BCA 1,67 milliard de livres, faisant ressortir une décote de 5,1% sur le cours de vendredi (210,75 pence). Après un examen attentif, le conseil d’administration de BCA a décidé de rejeter la proposition. En vertu du droit boursier britannique, la société de capital-investissement a jusqu’au 8 juillet pour soumettre une offre ferme ou renoncer. Le marché s’attend visiblement à une surenchère, l’action BCA gagne dans la matinée 9,5%, à 231 pence, en hausse de 44% sur les 3 derniers mois.

Inmarsat rejette une offre d’EchoStar

Inmarsat rejette une offre d’EchoStar. L’opérateur britannique de satellites a annoncé avoir opposé une fin de non-recevoir à la proposition de rachat formulée par la société américaine. « Après avoir soigneusement examiné la proposition avec ses conseillers, le conseil d’administration a rejeté la proposition au motif qu’elle sous-estimait très significativement Inmarsat », a expliqué le groupe dans un communiqué. Vendredi, à la clôture, l’action Inmarsat gagnait 13,5%, à 473,90 pence.

Société Générale dément tout rapprochement avec Unicredit

Société Générale dément tout rapprochement avec Unicredit. Interrogée par le Financial Times, le dimanche 3 juin, pour commenter d’éventuelles discussions au sein du conseil d’administration à propos d’un éventuel rapprochement entre Société Générale et Unicredit dans le cadre de la publication d’un article, la Banque a indiqué sa position : « Société Générale dément toute discussion de son Conseil d’administration en vue d’un éventuel rapprochement avec Unicredit. »