BCA Marketplace rejette les avances d’Apax

BCA Marketplace rejette les avances d’Apax. Le groupe britannique, spécialiste de la vente de véhicules d’occasion, a fait l’objet d’une approche préliminaire et conditionnelle de la part d’Apax concernant une offre en numéraire de 200 pence par action, valorisant BCA 1,67 milliard de livres, faisant ressortir une décote de 5,1% sur le cours de vendredi (210,75 pence). Après un examen attentif, le conseil d’administration de BCA a décidé de rejeter la proposition. En vertu du droit boursier britannique, la société de capital-investissement a jusqu’au 8 juillet pour soumettre une offre ferme ou renoncer. Le marché s’attend visiblement à une surenchère, l’action BCA gagne dans la matinée 9,5%, à 231 pence, en hausse de 44% sur les 3 derniers mois.

Inmarsat rejette une offre d’EchoStar

Inmarsat rejette une offre d’EchoStar. L’opérateur britannique de satellites a annoncé avoir opposé une fin de non-recevoir à la proposition de rachat formulée par la société américaine. « Après avoir soigneusement examiné la proposition avec ses conseillers, le conseil d’administration a rejeté la proposition au motif qu’elle sous-estimait très significativement Inmarsat », a expliqué le groupe dans un communiqué. Vendredi, à la clôture, l’action Inmarsat gagnait 13,5%, à 473,90 pence.

Société Générale dément tout rapprochement avec Unicredit

Société Générale dément tout rapprochement avec Unicredit. Interrogée par le Financial Times, le dimanche 3 juin, pour commenter d’éventuelles discussions au sein du conseil d’administration à propos d’un éventuel rapprochement entre Société Générale et Unicredit dans le cadre de la publication d’un article, la Banque a indiqué sa position : « Société Générale dément toute discussion de son Conseil d’administration en vue d’un éventuel rapprochement avec Unicredit. »

AccorHotels prêt à acquérir la part de l’Etat dans Air France-KLM

AccorHotels prêt à acquérir la part de l’Etat dans Air France-KLM. Le groupe hôtelier français a conduit à plusieurs reprises, au cours des dernières années, des discussions avec Air France-KLM en vue de développer notamment des projets digitaux communs et une plateforme commune de fidélisation et de services qui permettraient aux clients des deux groupes, leaders mondiaux du voyage, de bénéficier d’une offre enrichie de services autour de la mobilité à travers le monde, explique la société dans un communiqué. Ces réflexions comportaient l’éventualité d’une prise de participation minoritaire au capital d’Air France-KLM afin de conforter ce projet industriel de croissance.

AccorHotels confirme avoir repris ces réflexions qui sont à ce stade préliminaires quant à la faisabilité du projet et ses conditions de réalisation et qui feront l’objet, le moment venu, de discussions avec Air France-KLM. Il n’existe toutefois aucune certitude sur le fait que ces initiatives donneront lieu à un quelconque accord ou une quelconque mise en œuvre.  AccorHotels informera le cas échéant le marché dans l’hypothèse de développements le rendant nécessaire.

Ryanair dément être intéressé par Norwegian Air

Ryanair dément être intéressé par Norwegian Air. A l’occasion de la publication des résultats, le directeur général de Norwegian Air, Bjoern Kjos, a confirmé, sans donner de précision, l’existence de contacts entre les deux compagnies. « Il n’y a rien de vrai dans ces allégations, a répondu Ryanair. Nous n’avons pas contacté Norwegian et nous ne sommes aucunement intéressés ». Pour mémoire, début mai, la compagnie norvégienne à bas coûts a annoncé avoir reçu deux propositions d’IAG, la maison mère de British Airways et d’Iberia. Mais ces deux propositions ont été rejetées à l’unanimité par le conseil d’administration de Norwegian, estimant qu’elles sous-évaluaient la compagnie et ses perspectives.

BNP Paribas n’envisage pas d’acquisition majeure

BNP Paribas n’envisage pas d’acquisition majeure. Lors de l’assemblée générale du groupe bancaire, un actionnaire a demandé à la direction générale si celle-ci examinait la situation de Deutsche Bank en vue d’un possible rachat. « A un horizon visible, le groupe n’a pas l’intention d’entrer dans des opérations d’ampleur majeure parce que cela ne serait pas possible », a répondu Jean-Laurent Bonnafé, directeur général de BNP Paribas. Ajoutant : « On ne peut pas transformer, moderniser, accélérer notre métier tout en s’engageant dans des opérations d’acquisition majeure ». A la clôture, BNP Paribas affichait une capitalisation de 76,5 milliards d’euros contre 21,4 milliards d’euros pour Deutsche Bank.

Smurfit Kappa : International Paper a confirmé qu’il ne lancera pas d’offre ferme

Smurfit Kappa : International Paper a confirmé qu’il ne lancera pas d’offre ferme, à moins qu’elle ne soit recommandée par le conseil d’administration du leader européen et panaméricain de l’emballage à base de papier. International Paper (IP) estime que les deux sociétés devraient se rencontrer pour discuter du potentiel de synergie d’une société unique et mieux comprendre les perspectives de chaque société, afin d’explorer une voie vers une transaction recommandée. IP a jusqu’au 6 juin 2018 pour annoncer s’il fera ou non une offre ferme.

Pour mémoire, Smurfit Kappa a rejeté l’offre révisée d’International Paper qui « sous-évalue fondamentalement le Groupe et reste significativement inférieure aux évaluations établies par les récentes transactions du secteur ». Aussi, le conseil est convaincu que « le meilleur intérêt des parties prenantes du Groupe est de poursuivre son avenir en tant qu’entreprise indépendante ».

EDP émet un premier avis sur l’OPA de China Three Gorges

EDP  émet un premier avis sur l’OPA de China Three Gorges (CTG). A la suite de l’annonce du lancement d’une offre par CTG au prix de 3,26 € par action, le conseil d’administration du groupe d’électricité et de gaz portugais estime que « le prix offert ne reflète pas de manière adéquate la valeur d’EDP ». Et d’ajouter que « la prime implicite est faible compte tenu des usages pour la prise de contrôle d’un service public ». Le conseil émettra un avis sur les autres termes de l’offre après la publication du projet de prospectus qui donnera les détails du plan industriel.

Xerox renonce à sa fusion avec Fujifilm

Xerox renonce à sa fusion avec Fujifilm. Le fabricant américain d’imprimantes et de photocopieurs a annoncé que l’accord précédemment annoncé pour fusionner Xerox avec Fuji Xerox est résilié en raison notamment des écarts importants entre les comptes audités de Fuji Xerox et les comptes non audités fournis précédemment. Xerox a par ailleurs conclu un accord avec Carl Icahn et Darwin Deason, qui détiennent près de 15% du capital de l’entreprise, au terme duquel ces investisseurs activistes ont convenu de retirer leurs candidats au conseil d’administration lors de la prochaine assemblée générale, dont la date a été repoussée. Fujifilm a fait savoir qu’il contestait la décision unilatérale de Xerox de mettre fin à leur accord et qu’il examinerait tous les recours possibles, y compris une action en justice.


Innogy ne donne pas de recommandation relative à l’offre d’E.ON

Innogy ne donne pas de recommandation relative à l’offre d’E.ON. « Après un examen approfondi du document d’offre, le directoire et le conseil de surveillance n’émettent aucune recommandation aux actionnaires d’Innogy », est-il précisé dans un communiqué. Et d’ajouter : « Sur la base des informations disponibles et en tenant compte des avis d’équité des banques d’investissement concernées, le directoire et le conseil de surveillance considèrent que le prix par action Innogy offert par E.ON est équitable en termes absolus. Toutefois, si l’on tient compte de l’important échange d’activités entre E.ON et RWE, le directoire et le conseil de surveillance ne sont pas en mesure d’évaluer de manière concluante si le prix d’offre est équitable pour les actionnaires minoritaires ».

Au terme d’un accord, RWE, premier producteur d’électricité outre-Rhin, devrait céder à E.ON sa participation de 76,8% dans Innogy au prix de 40 € par action, valorisant Innogy 22,2 milliards d’euros. En contrepartie, RWE entrerait, via une augmentation de capital, dans E.ON à hauteur de 16,67% et récupèrerait les actifs d’E.ON et d’Innogy dans le secteur des énergies renouvelables. Enfin, RWE paierait une soulte en espèces à RWE pour combler l’écart de valeur dans les échanges d’actifs. Dès lors, E.ON lancerait une OPA au même prix de 40 € par action Innogy, soit une prime de 15,8% sur le dernier cours coté avant l’annonce (34,53 €), prix incluant les dividendes au titre des exercices 2017 et 2018 pour un montant total de 3,24 €.

Norwegian Air Shuttle (NAS) pique du nez à la Bourse d’Oslo

Norwegian Air Shuttle (NAS) pique du nez à la Bourse d’Oslo. L’action de cette compagnie aérienne norvégienne à bas coûts dévisse de 11,7%, à 268 couronnes, ramenant sa capitalisation à 11,8 milliards de couronnes (1,22 milliard d’euros). Dans un communiqué, le conseil d’administration de Norwegian confirme qu’il a reçu deux propositions conditionnelles distinctes du groupe IAG (maison mère des compagnies Iberia, British Airways, Aer Lingus et Vueling), concernant une acquisition de 100% du capital de NAS. « Ces propositions ont été examinées conjointement avec les conseillers financiers et juridiques de NAS et ont été rejetées à l’unanimité parce qu’elles sous-évaluent NAS et ses perspectives », explique la compagnie. Ajoutant : « Le conseil d’administration de NAS demeure pleinement engagé à mettre en œuvre sa stratégie annoncée, au bénéfice de tous les actionnaires ».

Shire rejette la proposition de Takeda

Shire rejette la proposition de Takeda. Le conseil d’administration du groupe pharmaceutique britannique confirme qu’il a reçu trois propositions conditionnelles de Takeda Pharmaceutical en vue d’acquérir la société, le 29 mars, le 11 avril et le 13 avril 2018. La 3e proposition comprenait 28,75 livres en actions nouvelles Takeda et 17,75 livres en numéraire, soit une contrepartie potentielle de 46,50 livres, valorisant Shire 44 milliards de livres. Sur la base de la capitalisation actuelle de Takeda, les actionnaires de Shire détiendraient environ 51% du nouvel ensemble. Après un examen approfondi, le conseil d’administration a rejeté à l’unanimité cette dernière proposition, estimant qu’elle continue de « sous-évaluer de manière significative les perspectives de croissance et le pipeline de la société ».

Hammerson ne croit plus au rapprochement avec Intu Properties

Hammerson ne croit plus au rapprochement avec Intu Properties. Le 6 décembre 2017, suite à un accord entre les conseils d’administration des deux sociétés, le groupe britannique d’immobilier commercial avait annoncé l’acquisition de son concurrent pour un montant de 3,4 milliards de livres. A l’issue de la transaction, les actionnaires du groupe Hammerson détiendraient environ 55% du capital du nouvel ensemble contre 45% pour ceux d’Intu. Mais le conseil d’administration de Hammerson considère désormais que l’acquisition proposée d’Intu n’est plus dans l’intérêt des actionnaires et annonce qu’il retire sa recommandation de voter en faveur de l’acquisition d’Intu. Selon le conseil, « les risques accrus associés à l’acquisition d’Intu l’emportent sur les avantages à long terme auxquels on peut s’attendre par rapport à d’autres options stratégiques ouvertes à la société ». L’offre de Hammerson deviendra caduque si ses actionnaires n’approuvent pas l’acquisition lors de la prochaine assemblée générale.

Bouygues dément les rumeurs

Bouygues dément les rumeurs. Suite à une dépêche publiée ce jour par l’agence Bloomberg faisant état de discussion préliminaire en vue d’une éventuelle offre sur les actifs d’Altice en France, Bouygues réitère sa mise au point : « comme tout acteur d’un marché, Bouygues étudie régulièrement les diverses hypothèses d’évolution du secteur des télécoms ; mais à ce jour il n’y a aucune discussion avec un autre opérateur et aucun mandat n’a été délivré à quelque conseil que ce soit ».

Klépierre renonce à lancer une offre sur Hammerson

Klépierre renonce à lancer une offre sur Hammerson. Klépierre confirme que le 9 avril 2018, Jean-Marc Jestin, président du directoire de Klépierre, a rencontré le président du conseil d’administration de Hammerson, David Tyler, en vue de faire une proposition améliorée pour le rachat de Hammerson dans son périmètre actuel à 635 pence par action. Cette  proposition améliorée représente une prime de 45% sur le cours non perturbé de Hammerson de 437,10 pence par action, le 16 mars 2018. Le conseil d’administration de Hammerson n’a pas réellement engagé de discussions sur cette proposition améliorée, de sorte que, après mûre réflexion, Klépierre a résolu de ne pas déposer d’offre ferme pour le rachat de Hammerson conformément à la règle 2.7 du code des rachats et des fusions de la Place de Londres.

Icade n’est pas à vendre

Icade n’est pas à vendre. Lors d’une conférence de presse consacrée aux résultats annuels de la Caisse des dépôts et consignations, Eric Lombard, son directeur général, a déclaré que le groupe foncier, détenu à hauteur de 38,99% par la CDC, n’était pas à vendre, contrairement aux rumeurs qui laissaient entendre le contraire. « La détention d’Icade s’inscrit dans le projet de long terme de la Caisse des dépôts », a déclaré Eric Lombard. Donc « non seulement nous ne souhaitons pas vendre cette participation, mais nous souhaitons continuer à la développer avec une optique de long terme dans l’intérêt général et dans l’intérêt du projet d’Icade ».

Hammerson rejette l’offre révisée de Klépierre

Hammerson rejette l’offre révisée de Klépierre. Le groupe britannique d’immobilier commercial annonce avoir reçu, dans la soirée du 9 avril 2018, une nouvelle proposition du groupe français qui porte son offre à 635 pence par action, composée à 50% en espèces et à 50% en actions nouvelles. Après examen, le conseil d’administration a décidé de la rejeter à l’unanimité, car elle ne représente qu’une « augmentation marginale » par rapport à celle du 8 mars 2018 (615 pence).

Energias de Portugal (EDP) dément des pourparlers avec Engie

Energias de Portugal (EDP) dément des pourparlers avec Engie. Suite aux informations de BFM Business faisant état de « contacts préliminaires », le groupe d’électricité et de gaz portugais, spécialisé dans les énergies renouvelables, a déclaré n’avoir noué aucun contact ni engagé aucune négociation au sujet d’une éventuelle consolidation. Après avoir gagné jusqu’à 7,7%, EDP limite ses gains à 3,7% (3,203 €).

TomTom dément les rumeurs

TomTom dément les rumeurs. En réaction aux bruits de marché, qui ont fait bondir le titre de 10,4%, à 8,15 €, le spécialiste néerlandais des systèmes cartographiques de géolocalisation et de navigation dément, dans un communiqué laconique, avoir engagé un conseiller financier pour rechercher des acheteurs potentiels.

Foncière des Régions envisage d’acquérir un portefeuille hôtelier

Foncière des Régions envisage d’acquérir un portefeuille hôtelier au Royaume-Uni. Foncière des Régions a pris connaissance des rumeurs concernant un éventuel projet d’acquisition d’un portefeuille d’hôtels situés au Royaume-Uni, à travers sa filiale dédiée à l’hôtellerie Foncière des Murs. Le groupe confirme être entrée en discussions exclusives avec Starwood Capital en vue de l’acquisition d’un portefeuille de quatorze hôtels de 4* et 5*, situés dans les principales villes du Royaume-Uni. Ce portefeuille, dont un établissement est actuellement en développement, est opéré sous la marque Principal Hotels Company. Sur ces quatorze hôtels, qui totalisent 2.626 chambres, neuf se situent en Angleterre (Birmingham, Leeds, Liverpool, Londres, Manchester, Oxford, Wotton, York), quatre en Ecosse (Edimbourg, Glasgow) et un au Pays-de-Galles (Cardiff). Selon l’avancée des discussions en cours, cette opération pourrait être finalisée d’ici la fin du 1er semestre 2018.

USG repousse l’offre de Knauf

USG repousse l’offre de Knauf. Le conseil d’administration du groupe américain de matériaux de construction a rejeté à l’unanimité la proposition non sollicitée et non contraignante de son concurrent allemand. Knauf a proposé d’acquérir chaque action au prix unitaire de 42 $, soit une prime de 25,3% sur le dernier cours coté avant l’annonce, valorisant USG (United States Gypsum), 5,9 milliards de dollars.

Selon le conseil, cette proposition « sous-évalue considérablement la société et n’est pas dans le meilleur intérêt des actionnaires d’USG ». « Notre conseil recherche toujours des moyens d’apporter de la valeur à tous nos actionnaires, mais la proposition opportuniste de Knauf est totalement inadéquate car elle ne reflète pas la valeur intrinsèque d’USG, y compris les opportunités importantes qui nous attendent », a ajouté Steven Leer, président du conseil d’administration.

Smurfit Kappa rejette l’offre révisée d’International Paper

Smurfit Kappa rejette l’offre révisée d’International Paper. Après un examen attentif, le conseil d’administration du leader européen et panaméricain de l’emballage à base de papier a décidé de rejeter à l’unanimité la proposition révisée qui « sous-évalue fondamentalement le Groupe et reste significativement inférieure aux évaluations établies par les récentes transactions du secteur ». Aussi, le conseil est convaincu que « le meilleur intérêt des parties prenantes du Groupe est de poursuivre son avenir en tant qu’entreprise indépendante ».

Selon les termes de la proposition révisée, les actionnaires de Smurfit Kappa recevraient 25,25 € en numéraire (qui serait réduit à 24,605 ​​€ après paiement du dividende de 64,5 cents, le 11 mai 2018) et 0,3028 action nouvelle International Paper pour chaque action apportée. Sur la base du cours d’International Paper, le 23 mars 2018 (50,15 $), et du taux de change actuel, la proposition révisée valoriserait chaque action Smurfit Kappa à 37,54 €, ramenée à 36,90 € après détachement du dividende.

Comme l’explique Smurfit Kappa, la proposition initiale et rejetée par le conseil d’administration le 6 mars 2018 évaluait chaque action Smurfit Kappa à 36,46 € (sans ajustement lié au dividende). La proposition révisée représente donc une augmentation de valeur de seulement 1,08 € par action, soit moins de 3%.

Target et Kroger ne discutent pas d’une fusion

Target et Kroger ne discutent pas d’une fusion. Suite à la publication d’un article par le magazine Fast Company sur des discussions entre les deux groupes américains de grande distribution en vue d’un rapprochement, une source proche du dossier a déclaré à l’agence Reuters qu’il n’y avait « rien de vrai dans cette rumeur ». « D’une manière générale, nous ne commentons ni les rumeurs ni les conjectures », a déclaré de son côté un porte-parole de Kroger. Pour consulter l’article de Fast Company : https://www.fastcompany.com/40545216/exclusive-as-grocery-wars-rage-target-and-kroger-mull-a-merger

Klépierre propose d’acquérir Hammerson qui lui oppose une fin de non-recevoir

Klépierre propose d’acquérir Hammerson qui lui oppose une fin de non-recevoir. Le spécialiste de l’immobilier de centres commerciaux a pris connaissance des récentes rumeurs concernant un éventuel rapprochement avec le groupe britannique Hammerson. Klépierre confirme avoir adressé le 8 mars 2018 au conseil d’administration une offre indicative et amicale visant à engager un dialogue constructif portant sur l’acquisition des actions, dans son périmètre actuel, à un prix de 615 pence par action ordinaire, combinant numéraire et titres Klépierre, valorisant Hammerson 4,9 milliards de livres.

Cette proposition représente une prime de 40,7 % par rapport au cours de clôture de 437,10 pence, le 16 mars 2018, dernier jour ouvré avant cette annonce. Le conseil d’administration de Hammerson a rejeté la proposition le 9 mars 2018, moins de 24 heures après l’avoir reçue. Notre proposition « ne constitue pas une offre, tient à préciser le groupe français. Elle n’oblige en aucune manière Klépierre à faire une offre ni ne prouve une intention de faire une offre au sens du Code. De même, il n’existe aucune certitude ni sur le principe du dépôt d’une offre ». Une nouvelle annonce sera faite ultérieurement si et lorsque cela sera jugé approprié.

Conformément à la Règle 2.6(a) du Code, Klépierre devra annoncer, au plus tard à 17 heures, le 16 avril 2018, soit son intention ferme de déposer une offre visant Hammerson, soit sa renonciation à déposer une telle offre. A 10 heures, l’action Klépierre cède 3,6%, à 33,49 €, ramenant sa capitalisation à 10,5 milliards d’euros.

Nordstrom rejette l’offre de retrait de la famille éponyme

Nordstrom rejette l’offre de retrait de la famille éponyme. Le comité spécial du conseil d’administration de la chaîne américaine de grands magasins a annoncé, dans un communiqué, qu’il rejetait la proposition de la famille fondatrice. L’offre de retrait, qui porte sur 21% du capital, est libellée à 50 dollars par action en numéraire, alors que le cours de l’action évolue légèrement au-dessus de ce niveau. Le comité spécial estime que le prix proposé est inadéquat et a l’intention de mettre fin aux discussions sauf si le prix était « substantiellement amélioré ».

Korian dément des pourparlers avec des fonds d’investissement

Korian dément des pourparlers avec des fonds d’investissement. Suite à une rumeur de presse, la société Korian précise, dans un communiqué laconique, qu’elle n’est à ce jour en discussion avec aucun fonds concernant un rachat de la société. Lundi, l’action du gestionnaire français de maisons de retraite avait bondi de 8,78%, à 28,98 €, l’agence Bloomberg ayant indiqué que Korian suscitait l’intérêt des sociétés d’investissements PAI Partners et KKR. En matinée, l’action baisse de 4,7%, à 27,62 €.

Suez sceptique sur un mariage avec Veolia

Suez sceptique sur un mariage avec Veolia. La volonté de Suez de relancer sa croissance ne devrait pas passer par une fusion avec son concurrent de l’eau et du traitement des déchets, Veolia, a déclaré Jean-Louis Chaussade, directeur général de Suez. Un rapprochement entre les deux sociétés « détruirait beaucoup de valeur parce que vous devriez vendre beaucoup d’actifs » pour résoudre les problèmes antitrust, a déclaré Jean-Louis Chaussade jeudi 1er mars dans une interview accordée à Bloomberg Television. « Je ne suis pas sûr que politiquement, surtout en Europe et en France, c’est quelque chose qui semble raisonnable ».

Qualcomm reste ouvert à une offre revalorisée de Broadcom

Qualcomm reste ouvert à une offre revalorisée de Broadcom. Après une réunion jugée « constructive » avec Broadcom, le 14 février dernier, le président du conseil d’administration de Qualcomm, Paul E. Jacobs, a adressé une lettre à son homologue, Hock Tan, qui laisse la porte entrouverte à une opération. Dans un premier temps, Qualcomm rappelle que le conseil d’administration du fabricant américain de semi-conducteurs rejette à l’unanimité la dernière proposition de Broadcom (82 $ par action, dont 60 $ en espèces) qui « sous-évalue la société, présente un niveau de risque inacceptable et n’est pas dans le meilleur intérêt de ses actionnaires ». Néanmoins, ajoute Paul E. Jacobs, « Notre conseil est ouvert à d’autres discussions avec Broadcom pour voir si une proposition, qui reflète la véritable valeur des actions Qualcomm et permette de lever les obstacles à la transaction, peut être obtenue ». Pour consulter la lettre de Qualcomm : https://www.qualcomm.com/news/releases/2018/02/16/qualcomm-provides-update-meeting-broadcom

Fnac Darty : Ceconomy observe le statu quo

Fnac Darty : Ceconomy observe le statu quo. Après le rachat par la SFAM de la participation de 11% détenue par le fonds d’investissement Knight Vinke, les regards se sont tournés immédiatement vers le groupe allemand Ceconomy, premier actionnaire de Fnac Darty avec 24,33% du capital. A l’occasion de la publication des résultats trimestriels, le président du directoire, Pieter Haas, a répondu à la presse : « Nous disons depuis le début que c’est un investissement financier […] Nous étudions toutes les possibilités mais ne voyons aucune raison de changer de stratégie ».

Pour rappel, le 24 août 2017, suite à l’acquisition de sa participation dans Fnac Darty, via sa filiale Metro Vierzehnte, Ceconomy avait précisé ses intentions à l’AMF dans les termes suivants : Ceconomy et Metro Vierzehnte envisagent d’acquérir des actions Fnac Darty supplémentaires en fonction des opportunités de marché, toujours dans la limite de moins de 30% du capital social et des droits de vote, mais n’ont pas l’intention de prendre le contrôle de la société.

Qualcomm rejette l’offre révisée de Broadcom

Qualcomm rejette l’offre révisée de Broadcom. Le conseil d’administration du fabricant américain de semi-conducteurs a rejeté hier à l’unanimité la nouvelle proposition non sollicitée de Broadcom (82 dollars par action, dont 60 dollars en espèces), valorisant Qualcomm 121 milliards de dollars. Le conseil d’administration estime que cette proposition « sous-évalue considérablement Qualcomm ». Pour autant, Qualcomm ne ferme pas totalement la porte à Broadcom, en se déclarant ouvert à une rencontre avec ses dirigeants. Sur le Nasdaq, l’action Qualcomm a clôturé en baisse de 4%, à 62,42 dollars.

Swiss Re confirme les discussions avec Softbank

Swiss Re confirme les discussions avec Softbank. Dans un communiqué, le géant suisse de la réassurance « informe qu’il est engagé dans des discussions préliminaires avec Softbank Group Corp. au sujet d’un éventuel investissement minoritaire dans Swiss Re ». Et d’ajouter : « Les discussions en sont à un stade très précoce. Il n’y a aucune certitude qu’une transaction sera conclue ». En matinée, l’action Swiss Re gagne 4,4%, à 94,16 francs suisses, portant sa capitalisation à 32,9 milliards de francs.

EuropaCorp répond aux rumeurs de marché

EuropaCorp répond aux rumeurs de marché. Dans un communiqué, la société prend de nouveau acte « des diverses rumeurs contradictoires et imprécises véhiculées par la presse concernant le très grand nombre de partenaires potentiels que la presse prête à la société, les mêmes organes de presse n’hésitant pas à se contredire eux-mêmes ». En matière stratégique, EuropaCorp confirme les termes de ses communiqués des 24 novembre et 23 janvier derniers. Cette stratégie consiste à se recentrer sur son cœur de métier : la production de films de long métrage en langue anglaise à hauteur de 2 à 3 films par an, la production de 2 films de long métrage en langue française, la production de séries télévisées en langue anglaise, la distribution de films et les ventes internationales.

EuropaCorp confirme de nouveau avoir entamé des discussions avec divers partenaires financiers et/ou industriels potentiels en vue d’un renforcement de ses capacités financières. La société indique que ces diverses discussions sont toutes à un stade préliminaire, qu’elles se prolongeront le temps nécessaire, que la structure d’un accord éventuel n’est pas arrêtée et qu’aucun partenaire potentiel ne bénéficie d’une exclusivité. « A ce stade toute « annonce » concernant quelque nom que ce soit comme futur partenaire de la société ne correspond pas à une information mais seulement à une spéculation », précise le studio de cinéma fondé par Luc Besson. La société informera le marché dès lors qu’un projet sera concrétisé.

EuropaCorp répond aux rumeurs de marché

EuropaCorp répond aux rumeurs de marché. La société prend de nouveau acte des divers commentaires plus ou moins contradictoires de la presse concernant la poursuite de sa restructuration et l’existence de contrefaçons dans le cadre de la trilogie Arthur. En matière stratégique et financière, EuropaCorp confirme les termes de son communiqué du 24 novembre dernier. Sa stratégie est de se recentrer sur son cœur de métier : la production de films de long métrage en langue anglaise à hauteur de 2 à 3 films par an, la production de 2 films de long métrage en langue française, la production de séries télévisées en langue anglaise, la distribution de films et les ventes internationales.

Dans ce cadre, le Groupe a déjà annoncé qu’un certain nombre d’actifs non stratégiques ont d’ores et déjà été cédés et qu’un plan de sauvegarde de l’emploi a été initié. Par ailleurs, le Groupe confirme avoir entamé des discussions avec divers partenaires financiers et/ou industriels en vue d’un renforcement de ses capacités financières. Ces discussions sont en cours et se prolongeront le temps nécessaire, la structure d’un accord éventuel n’est pas arrêtée et aucun partenaire potentiel ne bénéficie à ce stade d’une exclusivité.

En matière artistique, le Groupe précise que les commentaires parus dans la presse il y a quelques mois concernant une éventuelle contrefaçon d’EuropaCorp et de Luc Besson, notamment dans le cadre de la trilogie Arthur, sont sans objet. La Cour d’Appel de Paris a confirmé le 19 janvier 2018 le caractère secondaire de la contribution de MM. Rouchier, Bouchelaghem, Cepo et Fructus, la parfaite validité de tous les contrats et l’absence de toute contrefaçon. Les dessinateurs secondaires ont été condamnés aux dépens et à 12.000 euros de dommages et intérêts.

GKN rejette l’offre de Melrose Industries

GKN rejette l’offre de Melrose Industries. Le conseil d’administration de GKN a pris acte de la publication ce matin de l’offre de Melrose Industries (81 pence et 1,49 action nouvelle Melrose, soit une contrepartie de 430,1 pence). « Les termes de cette offre sont manifestement inchangés par rapport à la proposition non sollicitée de Melrose en date du 8 janvier 2018 que le conseil d’administration a rejeté à l’unanimité parce qu’elle sous-évaluait fondamentalement GKN », explique dans un communiqué le fabricant d’équipements destinés aux secteurs automobile et aéronautique. Aussi, conclut GKN, « les actionnaires sont invités à ne rien faire ».

Lactalis : mise au point de Bel

Lactalis : mise au point de Bel. Bel a constaté que certaines de ses marques avaient été associées à tort au portefeuille de marques de Lactalis. La société tient à rappeler que Bel est un groupe familial indépendant détenu à 71,1% par la famille fondatrice Fiévet-Bel principalement via la holding Unibel, cotée sur le compartiment A d’Euronext Paris. Si Lactalis, par l’intermédiaire de la société Sofil détient 24,1% du capital de Fromageries Bel, « Lactalis n’intervient en aucun cas dans ses activités et n’est représenté dans aucune de ses instances de gouvernance », est-il précisé. Et d’ajouter : « Aucun représentant de Lactalis ne siège au conseil d’administration de Fromageries Bel, ni au conseil de surveillance ou au directoire d’Unibel. Aucun produit Bel n’est fabriqué au sein de sites industriels de Lactalis ». Par conséquent, « les marques Bel ne peuvent être associées au portefeuille de marques de Lactalis ».

Air France-KLM dément avoir déposé une offre pour le rachat d’Alitalia

Air France-KLM dément avoir déposé une offre pour le rachat d’Alitalia. Dans un communiqué laconique, le Groupe Air France-KLM rappelle qu’il n’a pas participé au processus lancé par les autorités italiennes pour le rachat d’Alitalia. En conséquence, le groupe de transport aérien n’a eu accès à aucune information confidentielle et dément avoir déposé une offre pour le rachat de la compagnie italienne.

Bitcoin : l’AMF répond à… Nabilla

Bitcoin : l’AMF répond à… Nabilla. « Les chéris je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler du bitcoin […], je pense que c’est le moment de s’y intéresser un petit peu et en fait même si vous n’y connaissez rien ça vous permet de gagner de l’argent sans investir beaucoup », déclare cette vedette des émissions de télé-réalité dans une vidéo postée sur Snapchat et très partagée sur les réseaux sociaux. Et d’ajouter : « C’est vraiment sûr, c’est vraiment cool et si ça vous intéresse vraiment vous pouvez y aller les yeux fermés », explique Nabilla en faisant la publicité pour un site Internet. Une apologie du bitcoin qui a fait sortir l’Autorité des marchés financiers de ses gonds. « Le Bitcoin c’est très risqué ! On peut perdre toute sa mise. Pas de placement miracle. Restez à l’écart », indique le régulateur dans un tweet adressé à la jeune femme. Pour le consulter : https://twitter.com/AMF_actu?ref_src=twsrc%5Etfw&ref_url=http%3A%2F%2Fpeople.bfmtv.com%2Factualite-people%2Fnabilla-fait-de-la-pub-pour-le-bitcoin-le-gendarme-de-la-bourse-la-remet-a-sa-place-1346237.html

GoPro dément les rumeurs de cession

GoPro dément les rumeurs de cession. La société californienne, connue pour ses caméras embarquées, a tenu à démentir l’information, relayée par la chaîne CNBC et l’agence Bloomberg, selon laquelle elle avait mandaté JPMorgan Chase en vue d’une éventuelle cession. Mais GoPro, qui entend réduire ses effectifs de l’ordre de 20% et abandonner le secteur des drones (sous la marque Karma), n’exclut pas pour autant une alliance avec un acteur d’envergure « s’il y avait une opportunité », comme l’a précisé Nick Woodman, directeur général de GoPro à Bloomberg TV. Et d’ajouter : « Notre travail consiste à aligner GoPro sur le comportement des consommateurs et à chercher des opportunités pour augmenter l’attrait, la portée et la pertinence [de nos produits], ce qui est parfois plus facile avec un partenaire ». Sur le Nasdaq, l’action cède 4,1%, à 6,29 $, ce qui porte son recul à 15,5% sur les cinq dernières séances.

Ablynx repousse l’offre non sollicitée de Novo Nordisk

Ablynx repousse l’offre non sollicitée de Novo Nordisk. La biotech belge  confirme aujourd’hui avoir reçu le 22 décembre 2017 une proposition conditionnelle non sollicitée du laboratoire danois pour acquérir en numéraire la totalité des actions d’Ablynx au prix unitaire de 28 € et un CVR lié à deux événements importants à venir pouvant donner lieu à un complément de prix jusqu’à 2,50 €. « Après mûre réflexion, le conseil d’administration d’Ablynx a décidé à l’unanimité que la proposition de Novo Nordisk n’était pas dans l’intérêt de la société et de ses actionnaires, car elle sous-évalue fondamentalement le caplacizumab, le pipeline d’Ablynx, sa plate-forme, sa technologie et son savoir-faire », déclare le Dr Edwin Moses, directeur exécutif d’Ablynx. Et d’ajouter : « Le conseil ne voit aucun avantage à céder le contrôle de ses actifs sans une pleine reconnaissance de la valeur des titres détenus par les actionnaires et estime que la contrepartie proposée incluant un instrument complexe comme le CVR ne constitue pas une base de discussions ». Au final, « Nous sommes persuadés que la réalisation de notre plan stratégique créera bien plus de valeur pour les actionnaires d’Ablynx que la proposition de Novo Nordisk ». Ablynx a embauché JP Morgan comme conseiller financier pour faire valoir ses intérêts, tout en mandatant Goodwin Procter et Eubelius comme conseils juridiques.

Gemalto : Atos persiste et signe dans son OPA au prix de 46 €

Gemalto : Atos persiste et signe dans son OPA au prix de 46 €. Après le rejet hier soir par Gemalto de son avant-projet, Atos confirme sa proposition d’offre publique intégralement en numéraire au prix de 46 € par action (coupon attaché). « Ce prix reflète pleinement la juste valeur de Gemalto et présente une prime significative sur le dernier cours non affecté (environ 42%), explique le leader de la transformation digitale. L’offre a reçu un soutien marqué des marchés financiers, des investisseurs et de la communauté des analystes depuis son annonce. Elle offre aux actionnaires de Gemalto une opportunité immédiate et substantielle de valorisation de leurs actions ».

Atos réitère sa volonté d’engager des discussions et reste confiant que le conseil d’administration de Gemalto ouvrira un dialogue direct et constructif au sujet de l’offre d’Atos. Atos réaffirme le caractère amical de son offre fondée sur un projet industriel solide et attractif pour les deux sociétés, leurs employés, leurs clients et l’ensemble des autres parties prenantes. Atos, qui recrute plus de 10 000 employés par an, confirme que l’ensemble des 15 000 employés de Gemalto seront accueillis et intégrés au sein du groupe. Atos confirme également son intention d’intégrer tous les métiers de Gemalto en son sein et de maintenir la marque Gemalto.

Atos poursuit la mise en œuvre de la transaction proposée et prépare à cette fin, avec ses conseils, l’ensemble des notifications réglementaires ainsi que le projet de document d’offre devant être déposés auprès de l’autorité de marché néerlandaise (Autoriteit Financiële Markten, AFM) et des autres autorités compétentes. Par ailleurs, Atos répondra rapidement et de manière détaillée à l’ensemble des points soulevés par Gemalto dans son communiqué et sa lettre en date du 13 décembre 2017. 

Gemalto rejette l’offre non sollicitée et conditionnelle d’Atos

Gemalto rejette l’offre non sollicitée et conditionnelle d’Atos. Le leader mondial de la sécurité numérique s’estime « mieux positionné en tant qu’entreprise autonome pour poursuivre avec succès son développement et créer de la valeur à long terme pour toutes les parties prenantes, y compris ses actionnaires ». En conséquence, Gemalto rejette sans détours la proposition d’Atos en vue d’une possible offre recommandée d’acquisition au prix de 46 € par action (dividende attaché).

Le conseil d’administration de Gemalto considère que l’offre sous-estime la valeur de la société de manière significative. A ses yeux, « le moment choisi est opportuniste : le prix offert fait ressortir une décote de 27,4% par rapport au plus haut […] de l’action Gemalto sur les 12 derniers mois et une prime de seulement 3,5% par rapport au cours moyen de l’action Gemalto sur les 12 derniers mois ».

En outre, « Gemalto est bien avancé dans sa transition […] vers les marchés à forte croissance du gouvernement, de la cybersécurité des entreprises, et du machine-to-machine. Le cours de l’action ne reflète pas encore l’impact de cette transition ». Et « le prix proposé de 46 € […] se situe bien en dessous des niveaux de valorisation de sociétés spécialisées » dans ces activités.

Par ailleurs, toujours selon le conseil administration « la proposition n’offre pas de certitudes suffisantes quant à la réalisation de l’opération ». Enfin, l’offre d’Atos ne relève pas d’une approche amicale et coopérative. « Elle n’a pas été précédée des discussions préliminaires d’usage, la divulgation de l’offre a été faite unilatéralement, et Atos a fait part de son intention de déposer une offre formelle auprès de l’AFM, et ce même en l’absence d’un accord avec Gemalto ». De là à penser qu’il existe « une différence de culture d’entreprise entre les deux sociétés », il n’y a qu’un pas…

Juniper Networks : Nokia tord le cou aux rumeurs

Juniper Networks : Nokia tord le cou aux rumeurs. L’équipementier télécoms finlandais, qui n’a pas pour habitude de commenter les bruits de marché, a indiqué dans un communiqué laconique qu’il n’était pas en discussions en vue d’acquérir Juniper, réagissant ainsi à une information de la chaîne CNBC qui lui prêtait cette intention. La veille, sur le Nasdaq, l’action Juniper avait bondi de 5%, à 29,61 dollars, portant sa capitalisation à 11,1 milliards de dollars.

Uniper rejette la proposition de Fortum

Uniper rejette la proposition de Fortum. « Le prix d’offre de 21,31 euros par action (augmenté d’un dividende de 0,69 euro au titre de l’exercice 2017) ne reflète pas le potentiel d’Uniper », explique le groupe dans un communiqué. « Les perspectives d’avenir en tant qu’entreprise indépendante justifient un montant nettement plus élevé, ce qui se reflète notamment dans le cours actuel de l’action Uniper ». Aussi le directoire et le conseil de surveillance recommandent aux actionnaires d’Uniper de ne pas accepter l’offre de Fortum. Début novembre, le groupe finlandais de services aux collectivités avait indiqué qu’il n’entendait pas modifier son prix. « Nous ne relèverons pas notre offre. C’est notre dernière proposition, la meilleure et la dernière », avait déclaré Pekka Lundmark, directeur général de Fortum. A suivre.

Commerzbank : BNP Paribas ne commente pas les bruits de marché

Commerzbank : BNP Paribas ne commente pas les bruits de marché. Jean Lemierre, président du conseil d’administration du groupe bancaire français, a écarté les spéculations sur un éventuel rapprochement avec Commerzbank. « Nous sommes de bons amis. Mais nous sommes des amis. Des concurrents. Et cela nous convient », a-t-il déclaré, lors du Congrès bancaire européen à Francfort. Ajoutant : « Rien de plus, ni rumeur ni commentaire ». L’hebdomadaire WirtschaftsWoche avait révélé, le 21 septembre 2017, que le gouvernement allemand était favorable à une fusion de Commerzbank, dont l’Etat est actionnaire à 15%, avec BNP Paribas. Mais Berlin avait démenti aussitôt ces affirmations. « L’article [du magazine] Wirtschaftswoche n’est pas correct. Il n’y a aucune négociation et nous n’avons mandaté aucune banque d’investissement », avait rectifié le ministère des Finances dans un communiqué.

ADP, Française des Jeux : rien n’est décidé

ADP, Française des Jeux : rien n’est décidé. L’Agence des participations de l’Etat (APE) a démenti avoir pris une décision sur une éventuelle cession d’une part du capital d’ADP et de FDJ. « Contrairement aux déclarations parues dans la presse, aucune orientation ni a fortiori aucune décision n’a été prise par le gouvernement sur d’éventuelles évolutions du capital de FDJ ou ADP », a déclaré une porte-parole de l’APE. Ajoutant : « L’APE recourt à des conseils extérieurs financiers, juridiques, stratégiques, comme elle le fait régulièrement, afin de mener des évaluations financières et stratégiques sur les entreprises du portefeuille et sur leur capital […] Ces travaux ne donnent pas systématiquement lieu à des opérations sur le capital des entreprises concernées ».

Sprint et T-Mobile US renoncent à fusionner

Sprint et T-Mobile US renoncent à fusionner. Les 3e et 4e opérateurs de téléphonie mobile, filiales respectives de Softbank et de Deutsche Telekom, n’ont « pas été en mesure de trouver des conditions mutuellement acceptables » pour cette opération, comme le précise un communiqué. En cas d’accord, cette fusion aurait rebattu les cartes d’un secteur, actuellement dominé par AT&T et Verizon, mais qui aurait dû passer sous les fourches caudines des autorités américaines de régulation.

Hudson’s Bay confirme l’intérêt de Signa Holding pour Kaufhof

Hudson’s Bay confirme l’intérêt de Signa Holding pour Kaufhof. Suite aux différentes informations distillées par la presse, le distributeur canadien a confirmé mercredi avoir reçu une offre du groupe autrichien d’immobilier et de distribution Signa Holding pour son enseigne allemande Kaufhof, ainsi que d’autres actifs immobiliers. Signa, propriétaire de la chaîne allemande de grands magasins Karstadt, a présenté une offre d’achat « incomplète, non contraignante et non sollicitée, sans preuve de financement », indique Hudson’s Bay dans un communiqué. Et d’ajouter : « conformément à ses responsabilités, le conseil d’administration étudiera l’offre ». A la Bourse de Toronto, l’action Hudson’s Bay gagne 9,8%, à 12,38 dollars canadiens.

Akzo Nobel confirme les discussions avec Axalta Coating Systems

Akzo Nobel confirme les discussions avec Axalta Coating Systems. En réponse aux spéculations, AkzoNobel confirme qu’il mène actuellement des discussions constructives à propos d’une fusion entre Akzo Nobel Paints & Coatings et le groupe américain Axalta afin de créer une entreprise de peintures et de revêtements de premier plan. Le groupe néerlandais confirme également que la scission de son activité chimie de spécialités, qui donnera lieu au versement d’un dividende spécial, est toujours en bonne voie pour avril 2018 et n’est pas affectée par ces discussions.

Non, Google n’a pas racheté Apple pour 9 milliards de dollars !

Non, Google n’a pas racheté Apple pour 9 milliards de dollars ! Peu après l’ouverture de la Bourse de New York, l’agence de presse Dow Jones a diffusé cette fausse information sur son réseau avant de la retirer et de présenter ses excuses, en plaidant une erreur technique. Les investisseurs n’ont toutefois pas pris cette nouvelle au sérieux dans la mesure où Apple capitalise la bagatelle de 806 milliards de dollars, soit près de 90 fois le montant annoncé.

Bains de Mer à Monaco : pas de retrait de cote en vue

Bains de Mer à Monaco : pas de retrait de cote en vue. La société spécialisée dans l’exploitation de casinos et d’hôtels a pris connaissance du fait que, à l’occasion d’un échange intervenu lors de la séance publique du Conseil National de Monaco du mardi 3 octobre 2017, a été évoquée l’existence d’une réflexion sur un projet de retrait de la cote. La société souhaite porter à la connaissance du public que cette question a déjà fait régulièrement l’objet d’une revue au même titre que de nombreux autres projets stratégiques concernant son capital ou ses activités, et ce depuis de nombreuses années.  La société précise que l’étude d’un projet de cette nature n’a pas été mise à l’ordre du jour d’un quelconque organe de gouvernance de la société et qu’aucune décision n’a été prise sur le sujet.

Commerzbank : Berlin dément toute négociation

Commerzbank : Berlin dément toute négociation. Le gouvernement allemand a démenti les affirmations selon lesquelles il favoriserait une fusion de Commerzbank avec BNP Paribas. « L’article (du magazine) Wirtschaftswoche n’est pas correct. Il n’y a aucune négociation et nous n’avons mandaté aucune banque d’investissement », écrit le ministère des Finances dans un communiqué. A ses yeux, rien ne presse et son objectif est de parvenir à un bon accord pour le contribuable allemand.

« Estée Lauder n’est pas à vendre »

« Estée Lauder n’est pas à vendre ». Suite aux différents articles publiés dans la presse britannique (Evening Standard, The Sunday Times), le géant américain des produits de beauté (Estée lauder, Donna Karan, Michael Kors, Tom Ford…) a tenu à démentir les rumeurs de vente. « Estée Lauder n’est pas à vendre. Il n’y a rien de vrai dans ces rumeurs », ont expliqué les dirigeants de l’entreprise américaine, Fabrizio Freda et William Lauder, dans une lettre adressée aux salariés. En dépit de ce démenti, l’action Estée Lauder reste stable à 106,20 dollars, en hausse de 39% depuis le début de l’année, avec une capitalisation de 39 milliards de dollars.

Saur publie un démenti

Saur publie un démenti. « Suite à l’information diffusée par certains médias, Saur dément qu’un processus de vente ait été initié par ses deux grands actionnaires français [BNP Paribas et BPCE, Ndlr], précise le spécialiste du traitement des eaux dans un communiqué laconique. Ajoutant : « Aucune due diligence n’a été engagée et aucun banquier n’est mandaté pour ce faire ».

Fiat Chrysler Automobiles (FCA) persiste et signe

Fiat Chrysler Automobiles (FCA) persiste et signe. A la demande de la Commissione Nazionale per la Societa e la Borsa (Consob), l’autorité de régulation de la Bourse italienne, le constructeur automobile confirme qu’il n’a pas d’information supplémentaire à communiquer, au-delà de son communiqué publié le 21 août 2017. Et d’ajouter que FCA a pour politique de ne pas commenter les rumeurs de marché.

Fiat Chrysler Automobiles (FCA) : pas de pourparlers avec Great Wall Motors

Fiat Chrysler Automobiles (FCA) : pas de pourparlers avec Great Wall Motors. En réponse aux rumeurs faisant état d’un intérêt potentiel du constructeur chinois pour la marque Jeep, le groupe italien confirme, dans un communiqué laconique, qu’il n’a pas été approché par Great Wall Motors ni pour Jeep, ni pour une autre de ses activités. Et d’ajouter qu’il est pleinement engagé dans son plan stratégique 2014-18.

Dongfeng Motor Group n’est pas intéressé par Fiat Chrysler Automobiles (FCA)

Dongfeng Motor Group n’est pas intéressé par Fiat Chrysler Automobiles (FCA). Le constructeur chinois, cité par le site américain Automotive News, comme un éventuel prétendant, a tenu à réagir. « Nous n’avons aucun projet à l’heure actuelle », a déclaré jeudi à l’agence Reuters un porte-parole de Dongfeng Motor Group. Geely Automobile Holdings, également cité par Automotive News, a fait savoir mercredi qu’il ne comptait pas faire d’offre sur FCA. Dans la matinée, FCA cède 1,1%, à 10,82 €, mais garde une avance confortable de 25,4% depuis le début de l’année.

Gas Natural et EDP démentent l’existence de pourparlers

Gas Natural et EDP démentent l’existence de pourparlers. Après Gas Natural, c’est au tour d’Energias de Portugal (EDP) de démentir l’existence de négociations avec le groupe espagnol en vue d’une fusion des deux fournisseurs d’électricité. Lundi soir, des sources, rapportées par l’agence Reuters, avaient indiqué que le groupe espagnol Gas Natural (qui pèse 20 milliards d’euros en Bourse) était entré en contact avec son concurrent portugais (10 milliards) en vue d’une fusion qui donnerait naissance au n°4 européen des services aux collectivités en termes de capitalisation boursière.

Ipsen ne prévoit pas de rachat d’actions de grande ampleur

Ipsen ne prévoit pas de rachat d’actions de grande ampleur. Suite à l’envolée des cours du laboratoire pharmaceutique (jusqu’à +11,2% en matinée), le directeur financier du laboratoire pharmaceutique a tenu à préciser le cadre du programme de rachat d’actions, annoncé la veille au soir. « Il y a eu une confusion. Nous ne prévoyons pas de rachat d’actions d’envergure, autres que les opérations courantes », a expliqué Aymeric Le Chatelier, à l’agence Reuters. « Nous étions simplement tenus réglementairement de mettre à jour les conditions de marché pour de telles opérations en raison de la forte hausse du titre ces douze derniers mois ».

Rachat de Zodiac Aerospace : TCI demande un geste à Safran

Rachat de Zodiac Aerospace : TCI demande un geste à Safran. The Children’s Investment, fonds d’investissement britannique qui détient 3,87% du capital, reste opposé à la nouvelle offre sur l’équipementier Zodiac Aerospace au prix de 25 € par action (contre 29,47 € initialement), mais se dit prêt à se raviser si Safran faisait un dernier geste. « Il y a plusieurs aspects positifs dans le nouveau schéma de l’offre, mais le prix reste trop élevé compte tenu des risques d’exécution », écrit Chris Hohn, patron de TCI, dans un courrier en date du 25 mai aux dirigeants de Safran. « Nous entendons voter contre cet accord », ajoute-t-il, mais TCI se déclare prêt à adopter « une position plus favorable sur la transaction » si elle incluait un système de rémunération variable des dirigeants en lien avec les objectifs de synergies affichés.

Pour consulter la lettre de TCI (2 pages, en anglais) :

http://www.astrongersafran.com/Content.aspx?page=TCI_Letter_To_Safran_New_Offer_2017_05_25.pdf

Pour consulter l’analyse de TCI (13 pages, en anglais) :

http://www.astrongersafran.com/Content.aspx?page=TCI_Presentation_New_Offer_2017_05_25.pdf

Brown-Forman n’est pas à vendre

Brown-Forman n’est pas à vendre. Suite aux rumeurs faisant état d’un intérêt de Constellation Brands pour le propriétaire de la marque de whisky Jack Daniel’s, Brown-Forman a tenu mettre les points sur les i. Si l’entreprise a pour habitude de ne pas commenter les spéculations de marché, « il est important de rappeler que Brown-Forman n’est pas à vendre », ont déclaré, dans un communiqué commun, Geo. Garvin Brown IV, président du conseil d’administration, et Paul C. Varga, directeur général. Ajoutant : « Depuis près de 150 ans, la société et la famille Brown se sont engagées à préserver Brown-Forman en tant qu’entreprise prospère et familiale indépendante. Cet engagement est inchangé et notre objectif est de continuer à créer de la valeur pour tous les actionnaires pour les générations à venir ».

Bunge dément des discussions avec Glencore

Bunge dément des discussions avec Glencore. En réponse à un communiqué publié par Glencore, le négociant américain en matières premières agricoles déclare ne pas être engagé dans des discussions en vue d’un éventuel rapprochement entre les deux sociétés. Bunge continue de suivre sa stratégie au niveau mondial et à rechercher des opportunités pour stimuler sa croissance et la création de valeur, est-il précisé. Glencore Agriculture Limited (GAL), la division agricole du groupe suisse Glencore, avait indiqué avoir approché de manière informelle Bunge en vue d’un éventuel rapprochement amical. Ce qui avait fait bondir l’action Bunge de 16,6%, à 81,71 dollars, portant sa capitalisation à 11,5 milliards de dollars.

Akzo Nobel repousse l’ultime surenchère de PPG Industries

Akzo Nobel repousse l’ultime surenchère de PPG Industries. Le groupe néerlandais spécialisé dans les peintures, les revêtements et les produits chimiques a opposé une nouvelle fin de non-recevoir à la troisième proposition de son rival américain (61,50 € en espèces et 0,357 action nouvelle PPG, soit l’équivalent de 96,75 €). Celle-ci représentait pourtant une majoration de 8% sur son offre précédente et de 17% sur son offre initiale du 2 mars 2017. Mais Akzo Nobel estime que cette proposition « ne reflète pas la valeur actuelle et future » du groupe et « n’inclut pas la prime de changement de contrôle appropriée ». En tout état de cause, ses dirigeants considèrent que sa propre stratégie (notamment la scission annoncée de son activité de chimie de spécialité), offre « une meilleure voie pour la croissance et la création de valeur à long terme » et ce, « dans l’intérêt de toutes les parties prenantes ».

Abertis : Atlantia (ex-Autostrade) répond aux rumeurs de marché

Abertis : Atlantia (ex-Autostrade) répond aux rumeurs de marché. L’opérateur italien d’autoroutes, contrôlé par la famille Benetton, déclare dans un communiqué avoir exprimé au groupe espagnol Abertis un intérêt « préliminaire et générique » en vue de projets communs. Aucun accord n’a été pris et aucun plan n’a été soumis au conseil d’administration, tient toutefois à préciser l’initiateur. Abertis (qui contrôle Sanef en France) déclare, de son côté, avoir été approché par Atlantia et fait part de son intérêt pour étudier une éventuelle transaction, dont les termes ne sont pas encore précisés. Pour mémoire, en 2006, les deux concessionnaires avaient renoncé à un projet de mariage face à l’opposition du gouvernement italien. Mardi, Abertis gagnait 6,6%, à 16,29 euros, portant sa capitalisation à 16,1 milliards d’euros, tandis qu’Atlantia cédait 4,3%, à 23,09 euros, ramenant sa capitalisation à 19 milliards.

Lagardère publie un démenti

Lagardère publie un démenti. Suite à la publication en ligne d’un article intitulé « Lagardère cherche un partenaire pour ses boutiques Relay » sur le site : http://bfmbusiness.bfmtv.com en date du 28 mars 2017, il semblerait que l’ensemble de ces fausses informations ait eu un impact direct sur le cours de l’action Lagardère. Par conséquent, le groupe Lagardère tient à apporter les précisions suivantes :

• Il est faux d’affirmer que « le groupe Lagardère cherche un partenaire pour ses boutiques Relay ».

• Il est faux de soutenir que « Le groupe réfléchit à ouvrir le capital de sa branche de distribution (Lagardère Travel Retail). Une contrainte imposée par le lourd endettement d’Arnaud Lagardère ».

• Il est faux de prétendre que « le groupe Lagardère verse tous les ans 170 millions d’euros de dividendes aux actionnaires dont Arnaud [Lagardère] est le premier bénéficiaire ».

• Il est faux de dire que « Les bénéfices sont toujours insuffisants pour payer les dividendes. Sauf en 2016 quand ils ont atteint 175 millions d’euros. Du coup, Arnaud Lagardère endette son groupe familial pour continuer à les verser. »

• Il est faux d’affirmer que « Les bénéfices sont toujours insuffisants pour payer les dividendes ».

• Il est faux de laisser entendre que M. Arnaud Lagardère gère le groupe éponyme dans un intérêt personnel. Il suffit pour s’en convaincre de vérifier les majorités avec lesquelles sont adoptées les résolutions présentées à l’Assemblée Générale des actionnaires de Lagardère.

• Il est faux de laisser croire selon une source anonyme qu’ « Il [Lagardère] est prêt à vendre jusqu’à 49 % à un partenaire, … La direction y est très favorable ».

Le groupe Lagardère affirme qu’il n’y a à ce jour aucune acquisition transformatrice, et de fait aucun projet concret d’ouverture du capital de sa filiale Lagardère Travel Retail. Par conséquent, le groupe Lagardère a demandé à ses avocats d’engager toutes les procédures judiciaires nécessaires afin de faire cesser ces troubles.

Akzo Nobel rejette une deuxième offre non sollicitée de PPG Industries

Akzo Nobel rejette une deuxième offre non sollicitée de PPG Industries. Le groupe néerlandais spécialisé dans les peintures, les revêtements et les produits chimiques a opposé derechef une fin de non-recevoir à son concurrent, dont la proposition révisée représente une contrevaleur de 88,72 euros, soit 56,22 euros en numéraire (ajusté en fonction du dividende final) et 0,331 action PPG. A comparer à une première proposition de 83 euros par action.

Le conseil d’administration et le conseil de surveillance d’Akzo Nobel, ainsi que ses conseils financiers et juridiques, ont examiné en profondeur la deuxième offre de PPG, indique le groupe. Mais, selon lui, celle-ci « ne reflète pas la valeur actuelle et future d’Akzo Nobel » et « présente des risques importants pour les actionnaires et les autres parties prenantes ». Tout en jugeant la deuxième approche de PPG insuffisante, le fonds Elliot Advisors, qui détient plus de 3% du capital d’Akzo, estime néanmoins que cette proposition constitue une base crédible de discussions.

Ingenico : Worldline dément le lancement d’une offre

Ingenico : Worldline dément le lancement d’une offre. Le prestataire de services de paiement électronique, filiale à 70% du groupe Atos, « apporte un démenti formel au contenu de La Lettre de l’Expansion, datée du 20 mars 2017 ». Dans son édition de lundi, cette lettre confidentielle avait indiqué que Worldline s’apprêtait à faire une offre d’achat sur son concurrent spécialisé dans les solutions de paiement intégré. « Ingenico n’a eu aucune conversation avec Atos à ce sujet », a ajouté de son côté Ingenico. Après avoir bondi de 4,5%, à 99.25 euros, l’action Ingenico perd désormais 3,3% en milieu de matinée, à 91,84 euros, ramenant sa capitalisation à 5,6 milliards d’euros.

SFR Group : le recours d’Altice n’a pas prospéré

SFR Group : le recours d’Altice n’a pas prospéré. Suite à la décision de l’AMF de déclarer non conforme le projet d’OPE (à raison de 8 actions ordinaires Altice NV de catégorie A à émettre pour 5 actions SFR Group apportées), Altice avait décidé de déposer un recours auprès de la Cour d’appel de Paris. Or la Cour a confirmé mardi 14 mars la décision de l’AMF. En octobre 2016, l’autorité de régulation avait estimé que les éléments fournis par Altice ne permettaient pas « de considérer que l’information destinée aux actionnaires minoritaires, notamment sur la justification de la parité d’échange retenue, soit complète, compréhensible et cohérente ».

Bouygues dément toute discussion avec d’autres opérateurs télécoms

Bouygues dément toute discussion avec d’autres opérateurs télécoms. Faisant suite à l’article de La Lettre de l’Expansion du lundi 13 mars, intitulé « Orange-Bouygues : un accord en vue », le groupe Bouygues tient à démentir catégoriquement l’existence de discussions avec d’autres opérateurs en vue d’une consolidation du marché français des télécoms.

AkzoNobel rejette une offre non sollicitée de PPG Industries

AkzoNobel rejette une offre non sollicitée de PPG Industries. Selon le groupe néerlandais spécialisé dans les peintures, les revêtements et les produits chimiques, la proposition de son concurrent PPG Industries (54 euros en cash et 0,3 action PPG, soit l’équivalent de 83 euros par action AkzoNobel) « sous-estime substantiellement AkzoNobel et n’est pas dans l’intérêt de ses parties prenantes, notamment ses actionnaires, clients et salariés ». PPG Industries, qui pèse 27,5 milliards de dollars à Wall Street, n’est pas un inconnu. En décembre 2012, AkzoNobel lui avait vendu ses activités nord-américaines dans la peinture décorative pour 1,1 milliard de dollars. Mais le groupe n’est visiblement pas décidé à aller plus loin. Il annonce au contraire une réflexion en vue de se séparer de sa chimie de spécialités, qui a réalisé un chiffre d’affaires de 4,8 milliards d’euros en 2016. A midi, l’action AkzoNobel gagne 14%, à 73,42 euros, portant sa capitalisation boursière à 18,5 milliards d’euros.

Safran/Zodiac : The Children’s Investment (TCI) maintient la pression

Safran/Zodiac : The Children’s Investment (TCI) maintient la pression. Ce fonds d’investissement britannique, qui détient 3,87% du groupe aéronautique français, continue de s’opposer à l’acquisition de l’équipementier Zodiac Aerospace et réclame un vote avant le lancement de l’opération. Dans un nouveau courrier adressé aux actionnaires, en date du 27 février 2017, il estime que la gouvernance de Safran est critiquable. « Si la fusion avec Zodiac Aerospace intervient, elle sera pire ». Ajoutant : les actionnaires ont la possibilité de « transformer Safran en une entreprise normale avec une gouvernance renforcée ». Et TCI leur conseille de passer leurs titres sous la forme nominative pour obtenir des droits de vote double dans deux ans, et aussi de se faire entendre sur leur opposition à cette transaction. Pour consulter le courrier de TCI (3 pages) : http://www.astrongersafran.com/Content.aspx?page=Corporate_Governance_Letter_2017_02_27.pdf

Pfeiffer Vacuum rejette l’offre de Busch

Pfeiffer Vacuum rejette l’offre de Busch. Les organes de direction et de gestion du fabricant allemand de pompes à vide conseillent aux actionnaires de ne pas accepter l’offre de Busch au prix de 96,20 euros, estimant que la prime offerte est très inférieure à celles payées dans des transactions comparables. Le marché semble l’entendre de cette oreille. Malgré un repli de 3,5% sur les cinq dernières séances, l’action Pfeiffer Vacuum s’échange à 101,10 euros, à 5% au-dessus du prix d’offre.

Zodiac Aerospace : Safran répond à TCI

Zodiac Aerospace : Safran répond à TCI. Sous la signature de son président Ross McInnes, le conseil d’administration de Safran a décidé d’adresser une réponse à la lettre de TCI Fund Management (TCI), reçue le 14 février 2017. En substance, Safran explique que le projet d’acquisition de l’équipementier aéronautique « a une dimension stratégique claire et est en ligne avec les orientations exprimées publiquement en mars 2016 ». « Ce projet est créateur de valeur et serait mis en œuvre selon des modalités financières en ligne avec des transactions comparables », ajoute Ross McInnes. Quant à « la demande d’un vote des actionnaires de Safran avant le lancement de l’offre publique », elle « est infondée au plan juridique comme selon les principes de bonne gouvernance ». Pour consulter le courrier de Safran (6 pages) : http://www.safran-group.com/fr

Orange exclut un rachat de Canal+

Orange exclut un rachat de Canal+. « Il n’y a aucune discussion entre Vivendi et nous concernant une participation d’Orange dans Canal+ », a indiqué Stéphane Richard, PDG de l’opérateur télécoms, devant les analystes financiers, à l’occasion de la présentation des résultats annuels 2016. Ajoutant : « Il n’y a pas de discussion capitalistique. Nous parlons seulement de partenariats industriels et commerciaux qui sont déjà forts », Orange étant le premier distributeur des chaînes de Canal+.

Opel/Vauxhall : Peugeot apporte des précisions

Opel/Vauxhall : Peugeot apporte des précisions. « Depuis 2012, General Motors et le Groupe PSA ont mis en place une Alliance qui couvre à ce jour trois projets en Europe et qui a généré des synergies substantielles pour les deux groupes, explique le constructeur français. Dans ce cadre, General Motors et le Groupe PSA examinent régulièrement les opportunités d’expansion et de coopération ». Le Groupe PSA confirme examiner avec General Motors, de nombreuses initiatives stratégiques visant à améliorer sa rentabilité et son efficacité opérationnelle, y compris une acquisition potentielle d’Opel/Vauxhall. A ce stade, il n’existe aucune certitude sur la conclusion d’un éventuel accord.

Generali : Intesa Sanpaolo souffle le chaud et le froid

Generali : Intesa Sanpaolo souffle le chaud et le froid. Après avoir confirmé mardi soir que sa direction examinait un éventuel rapprochement avec la compagnie Assicurazioni Generali, la banque italienne a publié un nouveau communiqué, indiquant que « les éventuelles combinaisons industrielles avec Assicurazioni Generali » restent une « hypothèse de travail » dans le cadre de l’analyse des opportunités de croissance internes et externes du groupe. A la Bourse de Milan, Generali cède 1,4%, à 14,87 euros.